Hameau de la Reine

jslv-tanc-pouil-jslv-deniv.jpg En sortant de la gare, nous nous dirigeons vers le passage à niveau situé sur notre droite et nous traversons le pont sur la Hoëgne à gauche. jslv-tanc-pouil-jslv-001.jpg Juste après le pont, tournons à droite dans l'Avenue Reine Elisabeth. Nous l'empruntons sur 250 après quoi, elle se poursuit par un chemin de terre. Profitons de la vue sur la chapelle Fyon située sur le bord de la vallée au-delà de la route et de la rivière. jslv-tanc-pouil-jslv-002.jpg Le chemin monte

tout sanctuariser, supprimer tout ce qui, pour eux, représente une nuisance. Surtout pas de bruits, pas d'odeurs, pas d'activités "choquantes" pour leur petite sensibilité (la chasse) pas de bâtiments autres que "les fermes typiques". C'est le hameau de la reine Marie-Antoinette, mais sur l'ensemble du territoire. Suivant cette logique, c'est aux "autochtones", aux ruraux de s'adapter et de s'aligner. Et on s'étonne après de l'accueil que réservent les chasseurs à Bougrain-Dubourg ou à d'autres "urbains"

Baudelaire ne nous introduit pas la femme comme objet de fascination bien au contraire : " des enfats monstrueux " v2 , malgrès cette apparence physique le poète " aimé vivre auprès d'une géante " , il l'a compare même a une rein : " zux pied d'une reine un chat voluptueux " Baudelaire veut donc nous enseigner que nous pouvon srouver du beau dans ce qui est laid ( beauté intérieur sans doute ) . Le poète retombe en enfance " parcourir à loisir ses magnifiques formes " l'adjectif magnifique

géante,Comme aux pieds d'une reine un chat voluptueux.J'eusse aimé voir son corps fleurir avec son âmeEt grandit librement dans ses terribles jeux ;Deviner si son cœur couve une sombre flammeAux humides brouillards qui nagent dans ses yeux ;Parcourir à loisir ses magnifiques formes ;Ramper sur le versant de ses genoux énormes,Et parfois en été, quand les soleils malsains,Lasse, la font s'étendre à travers la campagne,Dormir nonchalamment à l'ombre de ses seins,Comme un hameau paisible au pied d'une montagne

pamplemoussiers, poiriers, pommiers, groseilliers, framboisiers, cassissiers, kiwis, pêchers, pruniers, châtaigniers Arbustes: Charmille, buis, ifs ; nombreuses essences dans le Jardin du Roi Plantes vivaces: dans le Jardin du Roi ; au Hameau de la Reine et dans le Jardin de la Reine : asters, astilbes, pivoines Dans le Petit Parc : 250000 plantes annuelles (70 espèces différentes (sauges, cosmos, diascas) ; 900 topiaires (65 formes) : spécialité de Versailles Pour les statue et les fontaines : Bronze, marbre

plans de Louis Le Vau (Vaux-le-Vicomte)], le parc qui comprend : le grand Trianon (construit par Louis XIV pour fuir la cour et pour sa favorite) le petit Trianon (construit sous Louis XV pour sa favorite) le hameau de la Reine (construit pour Marie-Antoinette) les jardins (d'André Le Nôtre), des bassins et 2000 fontaines, le grand canal, des bosquets et des grottes artificielles, des spectacles (concerts de Lully, théâtre

pieds d’une reine un chat voluptueux. J’eusse aimé voir son corps fleurir avec son âme Et grandir librement dans ses terribles jeux ; Deviner si son cœur couve une sombre flamme Aux humides brouillards qui nagent dans ses yeux ; Parcourir à loisir ses magnifiques formes ; Ramper sur le versant de ses genoux énormes, Et parfois en été, quand les soleils malsains, Lasse, la font s’étendre à travers la campagne, Dormir nonchalamment à l’ombre de ses seins, Comme un hameau paisible au

diriger les consciences d'une famille bourgeoise afin d'accaparer ses biens. Molière vise dans cette pièce les faux dévots, notamment la puissante Compagnie du Saint-Sacrement qui, si elle n'était pas approuvée par le roi, jouissait du soutien de la reine-mère. L'auteur prend ici beaucoup de risques et radicalise sa satire sociale. » Dans Tartuffe, Molière s’attaque surtout à : la fausse dévotion c. Le Misanthrope (1666) « Alceste hait l'humanité tout entière, y dénonce l'hypocrisie, la couardise

diriger les consciences d'une famille bourgeoise afin d'accaparer ses biens. Molière vise dans cette pièce les faux dévots, notamment la puissante Compagnie du Saint-Sacrement qui, si elle n'était pas approuvée par le roi, jouissait du soutien de la reine-mère. L'auteur prend ici beaucoup de risques et radicalise sa satire sociale. » Dans Tartuffe, Molière s’attaque surtout à : la fausse dévotion c. Le Misanthrope (1666) « Alceste hait l'humanité tout entière, y dénonce l'hypocrisie, la couardise

garde-robe de Marie Antoinette « La Reine avait ordinairement pour l’hiver, douze grands habits, douze petites robes de fantaisie, douze robes riches sur panier servant pour son jeu ou pour les soupers des petits appartements. Autant pour l’été, celles du printemps servaient en automne, toutes ces robes étaient réformées à la fin de chaque saison, à moins qu’elle n’en fit conserver quelques-unes qu’elle avait préférées. » Mme Campan, célèbre femme de chambre de la reine, nous donne ici un aperçu des penderies