Hennissement

jdfbzljfd fjbzfjzlfd jdbflzjbfljdnf djfbz ;jdfb nbf fn f dnfb nd fnd f ;zn nfbz ;bndnf dnb fn ;zbd ;f jbdf ;zn b ;dbf dbf ;zjbd ;bf jdbf ;zdb ;n jdbfljzdn, ;fn jlfljnh jlbdf ;jzb jdbf ;zj fjbd ;fjbzdnb dhfljhzljdlf ljdhflzjnd jldbflzjdljfldnbLe hennissement est une vocalisation du cheval, succession de sons saccadés, d'abord aigus puis graduellement plus graves. Produit à l'expiration par le larynxet modulé, il permet au cheval d'exprimer ses émotions, comme la crainte et la satisfaction, et d'en

LE CHEVAL DE LANGLOIS Le cheval est très peu évoqué en sa qualité d'animal, seuls sont mentionnés la couleur de sa robe, sa crinière et son gîte. Le hennissement ne le caractérise même pas puisqu'il est assimilé au roucoulement d'une colombe ce qui confère douceur à un cri qui habituellement n'est pas mélodieux En revanche, la personnification du cheval est quai omniprésente dans ce passage, qu'il s'agisse de ses attitudes physiques ou morales, tout est mis en oeuvre pour que le cheval soit assimilé

J'était dans mon box, j'était heureux. Mais “ils” sont venus. Moi innocent j'ai passé la tête par la porte de mon box et j'ai pousser un joyeux hennissement en voyant tant de monde venir me dire bonjour. Et la je “les” ai vue. Derrière eux j'ai vu de cavalier du club pleurer. Puis j'ai entendu c'est mots que je n'es pas compris: «On ne peut pas avoir autant de chevaux il faut bien se débarrasser de ceux qui ne nous sont pas indispensable. Or ange n'a pas eu de très bon résultat au dernier concoure”

vouloir se dévorer. Puis, brusquement, ils rompaient le combat, se défiant à distance. Ils grattaient le sol furieusement et soudain s’attaquaient. La poussière volait dans le ciel, les mâchoires claquaient, les sabots frappaient le sol, et les hennissements sauvages retentissaient. On aurait dit deux lions qui se battaient. Mais peu à peu le jeune cheval faiblit, et Crin-Blanc prouva qu’il était bien resté le plus fort. Crin-Blanc était blessé. Son sang coulait le long de sa jambe. Il se léchait

tradition, tourmente et fait suffoquer les femmes pendant leur sommeil. 2 Décrivez l’incube assis sur elle, ainsi que son regard. En quoi ce personnage est-il effrayant ? Le cheval De I’Antiquité au Moyen Âge, rêver d’un cheval, entendre son hennissement ou son galop étaient de funestes présages, le cheval étant dans les croyances populaires messager de la mort. a. D’où le cheval surgit-il ? b. Décrivez sa bouche et ses yeux : quelle est son expression ? © Hatier, Paris 2013 3 Une atmosphère

l’animal : une métaphore emploie l’image de la baleine « Une baleine blanche en sortait… » -l’agonie de la Lison est mise en parallèle avec la douleur du cheval : « Justement, près d’elle, le cheval, qui n’était pas mort, gisait lui aussi […] d’un hennissement terrible […] » -Tout est fait pour créer une souffrance de la machine qui serait celle d’un être vivant : femme ou animal. II. Une scène tragique et épique. a) Tragique et pathétique. Cette souffrance apparaît à travers les registres tragiques

cas des tourbillons qui roulaient au ras du sol pendant que du foyer, les braises tombées. Ou encore la cheminée qui était entrée en terre du à la violence de l’accident. Nous pouvons également constater la description des bruits. Ainsi, le « hennissement de douleur » du cheval insiste sur la souffrance. L’analyse de « l’abominable craquement (l.14) »et  « du rugissement aigu (l.9) » montre bien que la machine est très vétuste. Les bruits décris donne un effet de réalité et permet au lecteur de

couleur revêt une valeur symbolique de la mort. On remarque que le vocabulaire est très recherché et approprié. Roger Martin du Gard utilise des mots qui marquent bien la dimension naturaliste de l’extrait, les mots utilisés sont propres au cheval « hennissement des bêtes ». On note notamment que le narrateur annonce progressivement la chute du cheval à la suite de ces descriptions ce qui concoure à créer un effet du réel. Dans cet extrait, l’effet du réel se manifeste par une présence de ponctuation

dans ses bras, au sol gît un homme morcelé les yeux révulsés et sa bouche ouverte dans un cri muet, à côté de lui, il tient dans sa main une épée brisée sur laquelle pousse une fleur. Au dessus de lui une cheval blessé semble poussé un gigantesque hennissement, les yeux écarquillés et le corps contorsionnés laissent présager la douleur, une lampe électrique ressemblant a un œil immense ou à un soleil déchiqueté, une femme stupéfaite sortant d'une fenêtre avec une lampe à pétrole pour regarder dehors

l’animal : une métaphore emploie l’image de la baleine « Une baleine blanche en sortait… » -l’agonie de la Lison est mise en parallèle avec la douleur du cheval : « Justement, près d’elle, le cheval, qui n’était pas mort, gisait lui aussi […] d’un hennissement terrible […] » -Tout est fait pour créer une souffrance de la machine qui serait celle d’un être vivant : femme ou animal. II. Une scène tragique et épique. a) Tragique et pathétique. Cette souffrance apparaît à travers les registres tragiques