Incipit Candide Conforme Aux Conte

l'un des principaux représentants de l'esprit des Lumières. Voltaire : (1694-1778), homme de lettres et philosophe français, auteur notamment d'essais et de contes philosophiques qui témoignent de son souci de vérité, de justice et de tolérance, Candide ou l’Optimisme (1759). Rousseau : (1712-1778), écrivain et philosophe genevois de langue française, auteur des Confessions (1781-1788), qui fut l'une des principales figures du siècle des Lumières. D’Alembert : (1717-1783) a traduit avec Diderot

J6 ; J7 ; J8 ; J9 ; J10 N1 : première nuit N1 ; N2 ; N3 ; … N8. J15 une Quinzaine se passe entre entre J 9 et J10 Première journée p. 9-11 Elle commence à « l’après-dînée » p. 11 e[1] ( = après midi) [P. 9 Adresse au lecteur : Faux incipit : Le lecteur n’aura pas les renseignements qui commencent tout roman ; le narrateur ne sera pas le garant – sens latin de Auctor– de la vérité de l’histoire qu’il rapporte. Ce garant est plutôt Jacques faisant son récit, c'est-à-dire un personnage

Voyage de Bougainville © Éditions Flammarion 2010. ISBN : 978-2-0812-3819-0 ISSN : 1269-8822 SOMMAIRE ■ Présentation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . L’esprit des Lumières Diderot ou la liberté de penser et d’écrire L’Entretien : conte ou dialogue ? L’écriture comme arme de combat Le « danger de se mettre au-dessus des lois » 9 10 14 18 24 ■ Chronologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31 Entretien d’un père avec ses enfants ■ Dossier. . . . . . . . . . . .

la nuit Proust, « un amour de Swann » extrait de Du côté de chez Swann Robbe-Grillet, Djinns Argumentation : Montaigne, Sans commencement et sans fin (extraits des Essais) La Fontaine, Fables, extraits (Livre I et VIII, notamment) Voltaire, Candide Diderot, Supplément au Voyage de Bougainville Montesquieu, Les Lettres Persanes Hugo, Les Châtiments Zola, J’accuse Poésie : Hugo, Les Contemplations Baudelaire, Les Fleurs du Mal Rimbaud, Illuminations Apollinaire, Alcools Il existe par

retenues : 1. Montaigne, Essais (1580), I, 50 « Démocrite et Héraclite », extrait. 2. La Fontaine, Fables, livre I, Préface (1668) Pour l'entretien : ▪ Lecture cursive : un conte philosophique de Voltaire au choix parmi les suivants - Zadig ou la Destinée, histoire orientale (1747) - Micromégas (1752) - Candide ou l’optimisme (1759) - L’Ingénu (1767) ▪ Lectures complémentaires : - « Démocrite et les Abdéritains » (Jean de La Fontaine, Fables, livre VIII, 26, 1678) - « Le Renard

larmes » 11 - « Je vis au milieu de l’éclat de la fortune [...] dans les bois. »  12 - «  La mer, soulevée par le vent [...] tout fut englouti. , Œuvre intégrale : Voltaire, Candide, 1759 Lectures personnelles (à compléter éventuellement) 4ème Séquence : Bas les masques ! Les Lumières : mystification et dévoilement Lectures analytiques : Groupement de textes

|Œuvre intégrale : | |Un mouvement littéraire : les Lumières |exerçant aux bienfaits. » |Voltaire, Candide, 1759 | |Le roman et ses personnages : visions de l’homme et du monde | |

sur la différence de sens entre des mots ou groupes de mots qui se prononcent de la même manière). 38. Calligramme - Poиme où les vers sont assemblés de façon à former un objet. 39. Candide - Qui présente ou qui dénote de la candeur, c'est-à-dire de l'innocence, de la sincérité, de l'ingénuité excessive. Le candide est naïf, souvent inexpérimenté. 40. Cartésien - Qui est rigoureux et méthodique, selon les principes du philosophe Descartes (XVIIe siècle). Qui procède par des déductions logiques

Diable » J. de la Fontaine, Fables, « Le Loup et l’Agneau » 2 D. Diderot, Ceci n’est pas un conte 3 Ovide, Les Métamorphoses, « Arachné » Prolongements 6 S O M M A I R E Séquence 7 Les pouvoirs du discours Bossuet, Sermon du mauvais riche V. Hugo, Discours sur la misère TEXTE 2 Voltaire, Candide D’UN TEXTE A L’AUTRE 2 A. Césaire, Discours sur le colonialisme ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE Voltaire, Candide TEXTE 3 Beccaria, Des délits et des peines D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 R. Badinter, Discours à l’Assemblée

baroque est une catégorie esthétique qui ne s'applique pas à la littérature, mais à la musique, à la peinture et à l'architecture. Le terme, emprunté au portugais où il désigne une perle irrégulière, qualifie ce qui est irrégulier, c'est-à-dire non conforme aux règles. Il est longtemps perçu dans une acception négative par rapport au classicisme. Son utilisation pour qualifier certaines oeuvres littéraires du ~xvie et du xv~iie siècle, récente, est le fait de critiques littéraires du ~xxe siècle,