Jean Genet Les Bonnes Invention

l’art marocain s’apparente à celui de ses voisins maghrébins, possède des fondements aux principes opposés à ceux de l’esthétique occidentale traditionnelle puisqu’elle reste avant tout utilitaire, usuelle, symbolique, abstraite et communautaire. Jean Déjeux parle de lui comme d’un « art artisan »2 c’est-à-dire d’un art au but précis, défini d’avance par un schéma (théorique et pratique) strict, alliant l’usuel au symbolique. Plus tard, avec l’arrivée du Coran au Maghreb, l’écriture et la peinture

l’art marocain s’apparente à celui de ses voisins maghrébins, possède des fondements aux principes opposés à ceux de l’esthétique occidentale traditionnelle puisqu’elle reste avant tout utilitaire, usuelle, symbolique, abstraite et communautaire. Jean Déjeux parle de lui comme d’un « art artisan »2 c’est-à-dire d’un art au but précis, défini d’avance par un schéma (théorique et pratique) strict, alliant l’usuel au symbolique. Plus tard, avec l’arrivée du Coran au Maghreb, l’écriture et la peinture

du nord, le pouvoir des sociétés primitives amérindiennes apparait plus comme une menace que comme une nécessité. Les chefs doivent exercer leur pouvoir de façon la moins indolore qui soit pour ne pas paraitre comme une menace pour tout les autres. Jean William Lapierre qui fait la remarque suivante : il note qu’il ne faut pas se limiter au grand chef au pouvoir qu’il exerce ou non mais prendre en compte l’ensemble des relations de pouvoirs qui structurent ces sociétés anciennes. Toute ces séries

ville leur disent "bec-croisé". Mais nous on leur dit "darnagas", parce que c'est un oiseau imbécile... S'il y en a un seul dans le pays, et un seul piège, tu peux être sûr que le darnagas trouvera le piège, et qu'il se fera étrangler... C'est très bon à manger, ajouta-t-il. Tiens ! Encore un couillon de limbert ! » Il courut vers une autre stèle et ramassa un magnifique lézard. Il était d'un vert éclatant, semé sur les flancs de très petits points d'or, et, sur le dos, de lunules bleues, d'un bleu

dans le café. L’un était confiant, étourdi, généreux ; l’autre discret, méditatif, économe. Pour lui être agréable, Bouvard voulut faire faire à Pécuchet la connaissance de Barberou. C’était un ancien commis-voyageur, actuellement boursier, très bon enfant, patriote, ami des dames, et qui affectait le langage faubourien. Pécuchet le trouva déplaisant et il conduisit Bouvard chez Dumouchel. Cet auteur – (car il avait publié une petite mnémotechnie) donnait des leçons de littérature dans un pensionnat

sucre dans le café. L’un était confiant, étourdi, généreux. L’autre discret, méditatif, économe. Pour lui être agréable, Bouvard voulut faire faire à Pécuchet la connaissance de Barberou. C’était un ancien commisvoyageur, actuellement boursier, très bon enfant, patriote, ami des dames, et qui affectait le langage faubourien. Pécuchet le trouva déplaisant et il conduisit Bouvard chez Dumouchel. Cet auteur – (car il avait publié une petite mnémotechnie) donnait des leçons de littérature dans un pensionnat

sacré de tout bon fils est, comme autrefois chez les Messéniens, de les assommer sur-le-champ à grands coups de tomahawk, pour leur épargner les soucis de la décrépitude. S'ils trouvent la force de se cramponner à quelque branche, c'est qu'alors ils sont encore bons à la chasse ou à la pêche, et alors on sursoit à leur immolation. Autre exemple: chez les peuples du Nord, on aime à boire le vin, flot rayonnant où dort le cher soleil. Notre religion nationale nous avertit même que "le bon vin réjouit

.................................................................................................................................................... XI Partie 1 Le coaching, pour quoi faire ? Chapitre 1 – À propos du coaching, ce truc à la mode – Jean-Louis Fonvillars Chapitre 2 – Du coaching comme gestion et comptabilité de soi ........................ 3 – Baptiste Rappin ........................................................................................................................

Il est curieux de se rappeler maintenant les habitudes mentales de ces jours lointains. Tout au plus les habitants de la Terre s’imaginaient-ils qu’il pouvait y avoir sur la planète Mars des êtres probablement inférieurs à eux, et disposés à faire bon accueil à une expédition missionnaire. Cependant, par-delà le gouffre de l’espace, des esprits qui sont à nos esprits ce que les nôtres sont à ceux des bêtes qui périssent, des intellects vastes, calmes et impitoyables, considéraient cette terre avec

................................................................................................................................................. XI Partie 1 Le coaching, pour quoi faire ? Chapitre 1 – À propos du coaching, ce truc à la mode – Jean-Louis Fonvillars Chapitre 2 – Du coaching comme gestion et comptabilité de soi ........................ 3 – Baptiste Rappin ....................................................................................................................