Jeunesse ouvrière chrétienne

(groupements d’ouvriers d’un même corps de métier hérités du Moyen Age) o Les sociétés de Secours Mutuels pour l’entraide face à la maladie, aux accidents, etc… o Les caisses de résistance, pour soutenir financièrement en cas de grève. o La presse ouvrière, créée et gérée par des ouvriers (ex. : le Journal l’ATELIER en 1841) - 1867 – 1868 : les chambres syndicales qui, en plus de leur rôle de représentativité, vont contribuer au développement de l’Education des Adultes - 1871 : La « Commune de Paris

A partir de la Libération, la Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC) est traversée par d'importantes tensions internes. La tendance "Reconstruction" souhaite en particulier que la CFTC se laïcise. D'abord minoritaires, ses idées favorables à l’évolution progressent peu à peu : en 1959, un rapport sur la planification démocratique est adopté en congrès, et en 1961 l'un de ses animateurs, Eugène Descamps, est élu secrétaire général de la CFTC. Il prépare alors la déconfessionnalisation

la compréhension du destin des sociétés ». En effet, la société française a été fortement marquée par le catholicisme dans son histoire, l’Eglise intervenant depuis longtemps dans les relations sociales. La France est ancrée dans une tradition chrétienne, et le christianisme implanté dès le IIe siècle, s’enracine au fil du temps dans la société. A partir du IXe siècle, la France donne l’exemple d’un peuple qui se reconnait majoritairement dans une même religion et ce n’est que récemment qu’on observe

capitalistes les accusent d'exploiter la pauvretée et la misere. De plus il reproche a l'état, sa laicité au sein des institutions publiques. Pour retrouver ses fideles et rechristianiser le monde ouvrier, une oprganisation est lancée, la JOC? jeunesse ouvrière chrétienne, qui remporte un grand succes et devient rapidement un mouvement de masse. En conclusion, l'église d'abord réticente a la civilisation moderne a su finalement s'adapter afin a la fois de garder mains mise sur ses fidels et rester jusqu'a

Jacqueson, ainsi qu'André Bellerose, embauché par le CE Michelin pour mettre en place une bibliothèque. En 1970, la section FO reçoit le ralliement de Gérard Bellaigue, militant actif venu du trotskysme. Nombre de militants chrétiens formés à la JOC (Jeunesse ouvrière chrétienne) renforcent la CFTC, qui mue en une section CFDT combative: avant tout Charles Tissier, et avec lui Ennebond Guichard, Raymond Delair, Jean Bonaldi, Pierre Wanackier, puis Guy Tixier, Jean-Claude Poeuf, Robert Pinay, Jacqueline

personnes, sont quasi-invisibles. Ils vivent de temps en temps chez un ami, un membre de la famille, retournent à la rue ou dans une gare ». Selon une citation de Charles Hoareau (militant syndicaliste et politique à Marseille, formé à la Jeunesse ouvrière chrétienne, créateur du concept des Comités Chômeurs au sein de la CGT) « Pour aider les pauvres on ne peut pas toujours rester dans la légalité. Je préfère avoir sur la conscience une porte fracturée qu’un SDF mort de froid. » Est ce que dans notre

Et 54% de la population ne se confesse jamais. Ce qui entraine une baisse de l'ordination des prêtres, -35% entre 1950 et 1960 et -70% entre 1965 et 1975. Malgré cela, les mouvements d'Action catholique comme la Jeunesse Ouvrière chrétienne (JOC), ou la Jeunesse Étudiante chrétienne (JEC) restent un grand succès. La CFTC et la CFDT crée en 1964 participe de manière importante à la sécularisation. C'est aussi à cette époque que l'on observe les premières difficultés de parti communiste à

Conclusion : l’enfant, la famille et la société 2. Jeunesse et société dans la France de l’entre-deux-guerres ➢ La jeunesse populaire : définition sociale du groupe d’âge ➢ Les mécanismes d’intégration ➢ La jeunesse bourgeoise : une définition sociale différente ➢ Des possibilités de contestation ➢ Les mouvements de jeunesse, une nouveauté de l’entre-deux-guerres ➢ Mouvements de jeunesse et conflits de générations 3. La démocratisation

création du mouvement FJT est liée au monde ouvrier, regroupant trois grandes influences, le mouvement du catholicisme social, les œuvres de jeunesse protestante et le mouvement laïc de l’éducation populaire. Les Foyers de Jeunes Travailleurs ont fait leur apparition au 19ème siècle à l’initiative d’œuvres sociales. C’est la « jeunesse ouvrière chrétienne » qui en 1926 est à l’origine de la dénomination FJT. Son principal objectif étant « d’associer les jeunes aux responsabilités matérielles

structurer notre analyse et plus globalement, pour ses nombreux conseils. De la même manière, nous souhaitons remercier Christine HUGUENIN, conseillère technique de la direction régionale de la jeunesse et des sports pour son aide et le temps qu'elle nous a consacré, notamment pour établir les constats sur la jeunesse. Nous avons réalisé de nombreux entretiens avec les différentes collectivités territoriales. Ainsi, nous tenons à remercier Mme le Maire de Gatey (39), M. le Président de la communauté