Julien Aime T Il Vraiment Mathilde

Présentation du texte : - comme sous-titre "Chronique du XIXe siècle" ou encore "Chronique de 1830" - publiée en 1830 - discours: narratif ; registre:polémique - raconte le conquête de la main de madame de Renâl Problématique :Quelle image du personnage de Julien Sorel cet extrait nous donne-t-il? Plan: Mouvement 1:l.1-10: La réflexion Mouvement 2:l.10-18: La résolution Mouvement 3:l.18-fin: L’action Analyse Mouvement 1:l.1-10 - “tremblant”,”malheureux”:l.1: marque le fait que l’amour est pour lui un combat

l’extérieur montre l’intérieur Grandet vient décrit comme un homme pas du tout chaleureux, avare, égoïste et totalement coupé du monde. Mais il respecte les choses que les autres possèdent (Z.3).A la maison il est encore pire qu’en public (Z.6) – vraiment désagréable… Déterminé par l’apparence: Il est un petit homme, lourd, épaisse et sa silhouette est très imposante, tanné (gegerbt) -> sa peau a beaucoup de cicatrices, des rides énormes et les yeux d’un basilic->mythologique; ses cheveux sont jaune=sale

aux flambeaux, puis à la prière silencieuse à la grotte, où j’ai vraiment ressenti la présence de Marie. Cette année, j’ai fait les piscines. Ma première impression, c’était juste de la déception parce que j’avais l’impression de ne rien ressentir. Et après un moment, je me suis senti complètement vide, je n’avais plus aucun soucis ! Le soir, je suis allée me confesser et j’ai parlé à une adulte du point écoute et cela m’a vraiment fait du bien. En plus, de tout cela, une super ambiance, des chants

théâtre et dans les romans (Richardson, écrivain anglais). La sensibilité est conçue comme une expansion de l´individu, et à la fois, comme une souffrance. Une conséquence de cette sensibilité sont les larmes, les personnages pleurent dans les œuvres : Julien Sorel (Le rouge et le noir) # Le sentiment de la nature sera reflété dans les œuvres à travers les paysages. Il y a aussi des saisons privilégiées : l´automne, qui permet de refléter la mélancolie. # La nostalgie qu´implique un sentiment de

– Le chapitre XXXI de Germinie Lacerteux (1865) des Goncourt : comme Félicité, Germinie, servante de mademoiselle de Varandeuil, aime un jeune homme qui a tiré un mauvais numéro lors de la conscription et qui va l’abandonner. POUR L’ETUDE DE LA LEGENDE DE SAINT JULIEN L’HOSPITALIER On peut conseiller quelques lectures préparatoires, et notamment : – « Saint-Julien » dans La Légende dorée (vers 1250) de Jacques de Voragine (texte 2, pp. 150-151) ; – Les Mille et Une Nuits (Xe au XIIIe siècle), traduction

héros de Stendhal se montrent vraiment eux-mêmes, sans dissimulation. Ils ont des tempéraments ardents et passionnées. À ce niveau-là, Stendhal est un héritier du romantisme. Ils sont en outre capables d’une volonté quasi surhumaine. En même temps, ils veulent voir clair en eux. C’est cela que l’on appelle le beylisme : ce besoin de voir clair et cette volonté surhumaine. Il y a une scène très célèbre dans les premiers chapitres du roman Le Rouge et le Noir : Julien Sorel est le précepteur des

lecture des romans de chevalerie et il retrouve la raison. Il meurt entouré de l’affection des siens. - L’Astrée d’Honoré d’Urfé (1607-1625): c’est un roman pastoral (qui représente la vie champêtre et les mœurs des bergers). Le berger Céladon aime la bergère Astrée, mais leurs familles se détestent et la jalousie d’un rival vient les séparer. Après bien des épreuves, ils ne parviennent pas à se révéler leurs sentiments et ils sont disposés à mourir. Mais la fontaine de Vérité d’Amour découvre

Théophile de Viau mise en scène : Benjamin Lazar collaboration artistique : Louise Moaty scénographie : Adeline Caron costumes : Alain Blanchot maquillages : Mathilde Benmoussa lumières : Christophe Naillet régie générale : Romain Juhel régie plateau : Patrick Naillet Avec Les amours tragiques de Pyrame et Thisbé Lorenzo Charoy Julien Cigana Benjamin Lazar Anne-Guersande Ledoux Louise Moaty Alexandra Rübner Nicolas Vial Lidias, Disarque, le Messager Bersiane, Syllar Pyrame La mère de Thisbé

Florence en 1817. Il abandonnera sa maîtresse Angela et tombera éperdument amoureux de Mathilde VISCONTINI mais celle-ci le rejette. Il le retranscrira dans De l’Amour. Étant donné la situation trouble en Lombardie, il regagnera la France en juin 1821. 1.5. De 1821 à 1830 À Paris, il écrira pendant dix ans. Pendant cette période, il fréquentera des salons où son esprit complexe est apprécié. Grâce à cela, il est aimé de trois femmes : Clémentine CURIAL, Alberthe de RUBEMPRÉ et Giulia RINIERI. Il publie

imagination. Selon Girard elle a lu pendant son adolescence des œuvres que Girard qualifie de médiocres et qui ont détruit en elle toute spontanéité. Chez Stendhal on retrouve aussi ce rôle de la suggestion et de l’imitation : Mathilde de la Mole imite les modèles de sa famille ; Julien de Sorel imite Napoléon le Prince de Parme imite Louis XIV et le jeune évêque de Parme mime les vieux prélats. La présence de cet Autre dans le livre entraîne une remise en cause totale de cet individualisme placé au cœur