Julien Aime T Il Vraiment Mathilde

est caractérisé par l'analyse de l'hypocrisie.[2] Il s'agit du roman portant le titre Le Rouge et le Noir (1831). Par les couleurs qui sont contenues dans le titre, l'auteur entend la carriere militaire et spirituelle du héros principal Julien Sorel. Notre deuxieme roman choisi est le roman Lamiel (1840, éd. 1890), qui n'a jamais été terminé et dont la partie éditée n'est qu'une longue exposition alors que le reste du roman est resté seulement en sous-entendus dans ses notes

autre souvenir que celui de la façon dont je déambule dans la classe, pose mon cul sur un coin de bureau, ou la forme de mon visage ? Je n’en sais rien, et puis cela diffère sans doute d’un ancien élève à l’autre. Bref, la question ne m’obsède pas vraiment, hein, ce que j’en dis, c’est pour bêler la conversation. Bêh ! Revenons-en à nos moutons. Il ne me restait aucun souvenir précis de ce roman. C’était une histoire romantique, un homme aimait deux femmes, et mourait ; suis-je sûr de me souvenir

enfance difficile, il avait de durs contacts avec son père, on retrouve cette même relation entre Julien et son père. De plus, lors de la défaite de Napoléon, les rêves de Stendhal s’effondrent. Il en est de même pour ceux de Julien. Lorsque Mme de Rênal envoie la lettre fatale au marquis, Julien voit s’effondrer tout ce qu’il avait construit. 2. Présentation de l’œuvre  Résumé En 1826 vit Julien Sorel, un jeune homme de 19 ans, rejeté par son père, pauvre mais malgré tout ambitieux et extrêmement

La révolte de Julien Sorel contre la société dans Le Rouge et Le Noir Julien Sorel est personnage principal d’un grande œuvre d’Henry Bayle Stendhal, Le Rouge et le Noir. La personnalité de Julien est très complexe et contradictoire. Elevé dans une famille plébéienne, il n’avait pas l’éducation propriétaire et il ne pouvait pas gagner la bonne place dans la société dont il habite. Mais, Julien est un jeune homme d’une grande énergie et trop ambitieux. Méfiant contre cette société, il décide d’en

définitif. Le père Sorel surprend son fils, Julien, occupé à lire tout en haut de la charpente et, d'un coup violent, envoie le livre (Le Mémorial de Sainte-Hélène) dans le ruisseau et risque de faire subir le même sort à son fils. En effet, Julien, dix-neuf ans, de constitution fragile, est méprisé et haï par un père et des frères brutaux et grossiers. Le lendemain, le père Sorel se rend chez le maire et, en jouant la comédie, obtient pour Julien tout ce qu'Il veut : une chambre individuelle

Anne-Noellia Carrols, professeure agrégée, pour une classe de Première du lycée Cocteau à Miramas. Séquence 3 : le roman. Etude du Rouge et le Noir de Stendhal. Explication linéaire n°1- Partie 1, chapitre 15, « Le chant du coq », p. 105-106. Julien avait raison de s'applaudir de son courage, jamais il ne s'était imposé une

de son mari, puis finit par se faire une raison. Heureusement le petit Julien, fils du vieux montagnard Sorel, et sur lequel le choix de M. de Rênal est tombé, n’est pas tout-à-fait ce que s’était représenté l’imagination de la jeune mère. Âgé de dix-huit à dix-neuf ans, faible en apparence, avec des traits irréguliers mais délicats, un nez aquilin, un œil vif et par moment farouche, pâle et pensif, le petit Julien, toujours grondé, souvent battu par son père et par ses frères, n’a trouvé

espérances trahies par une bourgeoisie éprise d'ordre et soucieuse de préserver ses intérêts. Les héros du roman d'apprentissage font l'amère expérience d'un monde régi par l'argent dont Balzac va démonter les mécanismes. C'est ce monde que dénonce Julien Sorel dans Le Rouge et le Noir (Stendhal). L'échec de la Révolution de 1848 sonne le glas des espérances d'une génération nourrie de romantisme, dont Frédéric Moreau (L'Éducation sentimentale, Flaubert) est le représentant. Le roman d'apprentissage

La posture de Julien favorise en plus ses rêves de grandeur, car il pense alors à « la destinée de Napoléon ». La nature est présente tout au long du texte, avec notamment les « bois de Vergy », dans lesquels Julien se promène régulièrement et trouve une consolation. De plus, il est notable que, plusieurs fois, lorsque Julien Sorel a des décisions importantes à prendre ou qu’il est assailli de doutes, il passe « une soirée

entre Mme de Rênal et Julien d’une manière autre qu'elles ne le sont effectivement dans le roman. Par certains moments, Stendhal donne l'impression d'avoir oublié son texte et d'être capable de le réinventer, de pouvoir réécrire un roman sensiblement différent. Prenons quelques exemples. Dans son article, Stendhal précise pour l'épisode de la soirée sous les marronniers que « Mme de Rênal touche par hasard la main de Julien ». En fait, le texte fait apparaître que c'est Julien qui touche malencontreusement