Juliette Drouet

Par la suite, il rencontra Juliette Drouet, une jeune comédienne prometteuse entretenue par de riche acteur en vogue. C’était une jeune femme charmante, brune, avec de grands yeux noirs, d’une très petite taille et d’une beauté romantique. C’était une des plus belles femmes de Paris. Il y avait une ressemblance entre elle et Adèle. La relation qu’elle entretenait avec Victor était palpitante, contrairement à celle d’Adèle. Victor Hugo était jaloux du passé de Juliette. Elle sacrifia sa liberté pour

connue de l’auteur au travers de 158 poèmes très personnels. « L’âme en fleur », deuxième des six parties de l’ouvrage aborde sans fard sa relation avec Juliette Drouet. Une plongée intime dans la vie amoureuse d’Hugo… « L’âme en fleur » contient de nombreuses évocations à la femme, mais également à la nature. La relation d’Hugo et de Juliette Drouet inspirant la majorité des poèmes, on retrouve naturellement leurs moments de bonheur leurs disputes ou encore des moments de leur vie quotidienne : le

De son côté, en 1833 il rencontre Juliette Drouet, l’autre femme de sa vie, alors qu’elle joue dans « Lucrèce Borgia ». Elle sera sa maîtresse pendant presque 50 ans. Victor Hugo consacre de nombreux poèmes à Juliette comme « Mon âme à ton cœur s’est donné » ou « Hier, la nuit d’été », écrit 3 mois après leur rencontre. Elle le suivra même pendant ses années d’exil et ils s’installeront ensemble, au retour d’Hugo, à Paris en 1870. Juliette sera entièrement dévouée à Hugo pendant toute

1856.Cette partie est marquée par l'exil. Les paysages sont plus dures. Les poèmes marqués par le doute. Beaucoup sont adressés à ses amis, sa famille, à des figures restées en France.  « j'ai cueilli cette fleur » est un poème d'amour destiné à Juliette Drouet, sa maîtresse ; c'est une lettre qu'il lui a écrite lors de son excursion sur l'Ile de Serk à laquelle elle n'avait pas participé, où l'auteur s'était exilé. Bien qu'au premiers abords il s'agisse d'un poème amoureux, c'est un texte plutôt sombre

| |1833 |2 février, première de Lucrèce Borgia; pièce dans laquelle joue Juliette Drouet. Elle deviendra quelques semaines après la | | |maîtresse de Victor Hugo et le restera jusqu'à sa mort. | |1834 |Fuite de Juliette Drouet en Bretagne. Victor Hugo la rejoint | |1841 |A sa quatrième

conjugue le verbe Aimer comme il le dit dans le premier vers du premier poème Premier ma. La plupart des textes sont inspirés par Juliette Drouet, jeune actrice avec laquelle il connut un bonheur complet pendant 50 ans. Leur liaison, commencée en février 1833, quelques jours après la première représentation de Lucrèce Borgia, s'acheva à la mort de "Mademoiselle Juliette", en 1883. Elle avait 77 ans. Victor Hugo, âgé de 81 ans au moment de la disparition de sa bien-aimée, mourut deux ans plus tard

Nous allonsétudier un poème issue de ce recueil, il est composé de cinq quatrain d’alexandrins en rimes croisées. Ce poème traite deux sujets du lyrisme : l'amour et la fuite du temps. Dans ce poème, Victor Hugoexprime son amour pour son amante Juliette Drouet et lance un défi au temps qui passe . Ce poème appartient au mouvement littéraire du romantisme. Par quels procédés Victor Hugo exprime-t-il sessentiments et rend immortelle la femme aimée ? Nous analyserons dans un premier temps l'expression

de ne plus jamais faire l’amour ensemble et de s’aimer comme avant. Juliette C’est à cette période que Victor rencontre Juliette Drouet, comédienne et actrice populaire qui fait rêver tous les hommes avec sa silhouette très fine, ses grands yeux noirs et sa petite taille. Victor Hugo serra encore plus jaloux de Juliette, de son passé et de son présent. Il décidera donc de lui payer la moitié de son nouvel appartement. Juliette qui est et restera la plupart de sa vie la femme de l’ombre passe ses

(Tombe à terre) - Victor Hugo, un sacré tombeur n’est ce pas Esméralda ? - C’est le cas de le dire ! - Prend Adèle Foucher, sa femme, son amour est égal a celui que tu éprouve pour Phoebus dans notre roman. - Ou encore ses maîtresses comme Juliette Drouet dont la première nuit d’amour est célébré par la nuit de noce de Marius et Cosette dans son roman les Misérables. « Je suis tombé par terre, C'est la faute à Voltaire, Le nez dans le ruisseau, C'est la faute à Rousseau ». Ah Gavroche issu

père. Elle se maria à dix-neuf ans, avec Charles Vacquerie, fils d'un ami des Hugo qui possédait une maison de campagne à Villequier. Trois mois après le mariage de «Didine», en septembre 1843, alors qu'il revient d'un voyage en Espagne avec Juliette Drouet, Victor apprend la tragédie par les journaux : «Le 4 septembre, Léopoldine et son mari avaient décidé d'aller en bateau à Caudebec. C'est au retour qu'avait eu lieu le drame : l'embarcation s'était retournée, Léopoldine et Charles, qui s'était