L Homme Est Un éternel Insatisfait

une voie injuste. Les événements récents, en l’occurrence la guerre contre le roi d’Espagne, qui mènera au traité des Pyrénées, donne une autre définition de la tyrannie : « Quand il est question de juger si l’on doit faire la guerre… c’est un seul homme qui en juge, et encore intéressé. » 2) Le caractère misérable de la condition humaine est à chercher ds l’inconstance de chacun. • C’est tout d’abord l’inconstance de l’homme, qui fait son malheur : elle tire sa source de la complexité des choses

l’Homme à être provisoirement et superficiellement heureux. Ainsi l’Homme est condamné à ne jamais être heureux car son désir est sans cesse renouvelé. Ce cycle interminable et continuel du désir illustre ainsi la misère de l’Homme, condamné à une éternel recherche du bonheur. Le désir est un manque qui ne peut jamais être comblé ou temporairement à cause de son renouvellement continuel. L’Homme est ainsi condamné à ne jamais trouver le bonheur complet. Mais si l’on suppose que du désir nait la volonté

prépondérant dans l’intrigue , un rôle central , il est le cœur de l’intrigue et son nom est repris plusieurs fois dans l’extrait . Il côtoie la haute société de Paris , qui plus est « venait l’acclamer » (l.5068). Toute la cérémonie est là pour lui , cet homme qui ne connaissait au début de sa vie parisienne que la pauvreté et les auberges négligées. Aujourd’hui il marche d’un pas calme ,la tête haute il est fier ; lui qui est mis en avant et porté en triomphe tel un héros ; La « foule noire ,bruissante

fasse un scandale lors de sa parution en 1857, la morale religieuse considérant le livre comme une apologie de l’adultère, Flaubert est accusé « d’outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes mœurs » ainsi que Laurent-Pichat (homme politique, poète et homme de lettres qui a publié la première édition de Madame Bovary «  La revue de Paris ») et l’imprimeur . Cependant après un long réquisitoire, aucune charge n’est retenue et Flaubert et ses compatriotes sont acquittés. Madame Bovary connaitra

sorte de blâme envers les « méchants ». Mais l'auteur les connaient-ils réellement? Qui est-il pour les juger ainsi? L'auteur commence par affirmer une certaine inutilité à ce sujet: « Ne me demendez pas si les tourments des méchants seront éternels ; je l'ignore et je n'ai point la vaine curiosité d'éclaircir des questions inutiles. » Il confirme par la suite ses propos précédents : « Que m'importe ce que deviendront les méchants? Je prends peu d'interêt à leur sort. » Par ces deux citations

 Homme: Membre de l'espèce humaine possédant un langage, la raison et vivant en société. Besoin: Ce dont l'absence cause un manque et dont la satisfaction est nécessaire par opposition au désir Désir: Le désir est d'abord la prise de conscience d'un manque, dont la satisfaction procure du plaisir. Platon nous invite, quant à lui, à nous en méfier, car il est insatiable, et de ce fait, source d'insatisfaction toujours recommencée. Nécessaire: ce qui ne peut pas être autrement.

celle de leurs proches. Allégorie du nazisme (la «peste brune»), ce livre est le premier grand succès littéraire de Camus, et sans doute l’un des meilleurs. Comment ne pas compatir à la détresse du docteur, à l’enchantement de l’écrivain éternel insatisfait et aux malheurs qui s’abattent sur les Oranais? III. Etude du texte 1°) Les personnages Bernard Rieux - Docteur - lutte contre la Peste durant tout le roman - sensible - humaniste. - le seul à tirer avantage de la peste -

représente le pouvoir suprême et la souveraineté, c’est ainsi un attrait masculin, de plus il est au dessus de tout autre astre, il sait tout et voit tout, on peut aussi l’associer à l’héroïsme, au courage, l’œil divin, le père originel, immuable et éternel. Celui-ci peut fertiliser la Terre, qui se lie à la fécondité, aux fonctions maternelle et nourricière, elle renvoie à l’essentiel et au concret, elle élève et nourrie les hommes. De plus elle est le symbole de la stabilité, dans laquelle l’on peut

il se rend à Paris et défie Horace qu'il tue en duel. Pauline, qui apprit la nouvelle par les journaux, retombe dans ses souffrances. Le couple se rend en Suisse et en Italie, pour permettre à Pauline de se soigner. Pauline jure à Alfred un amour éternel et décède. 4 Le récit, qui se déroule sur plusieurs années, est divisé en trois parties : 1 Alfred de Nerval raconte le jour où il a découvert Pauline dans l'abbaye. 2 Pauline raconte son mariage et avec le comte Horace, avant la rencontre

tension permanente, comme une course poursuite qui ne prend jamais fin. Quelque soit l'objet n qui existe, on dit qu'il y a toujours, constamment un objet n+1 qui nous manque. Prenons l'exemple de Don Juan, de Molière, c'est un personnage constamment insatisfait de la femme, il n'est jamais assez satisfait de la femme qu'il possède, il lui en faut toujours d'autres. Il séduit les femmes, unes par unes, mais dès qu'il en séduit une, son désir de séduire est satisfait mais un autre désir de séduction apparaît