La Comtesse Ferraud

était mort. Au moment ou il était rester vivant sous la montagne de cadaver. Il a réussit à se faire reconnaître son identité decôte du Rhin. Après il est revenu en France. De son retour il rencontre sa femme Rose s’est remariée avec le comtesse Ferraud. Quand il est revennu personne ne l’a re connu au premier moment suite au blessure. Il était blesser à tel point qu’il était devenu meconnaissable de tout le momde même de sa femme. Enfin je vis le jour, mais à travers la neige, monsieur

assemblée, ayant à peine échangé quelques paroles avec la vicomtesse, Eugène s'était contenté de distinguer, parmi la foule des déités parisiennes qui se pressaient dans ce raoût, une de ces femmes que doit adorer tout d'abord un jeune homme. La comtesse Anastasie de Restaud, grande et bien faite, passait pour avoir l'une des plus jolies tailles de Paris. Figurez-vous de grands yeux noirs, une main magnifique, un pied bien découpé, du feu dans les mouvements, une femme que le marquis de Ronquerolles

revivre avec sa femme en faisant appel à la loi afin de retrouver son identité. Or, le monde a bougé, la société a changé, la vie a suivi son cours. De plus, Rose Chapotel, sa supposée veuve, s’est remariée durant son absence avec le comte Ferraud, homme bien en vue du nouveau pouvoir. Mais celle-ci le repousse et refuse de reconnaître son ancien mari. De son côté, l’avocat accepte d’aider le colonel en proposant une transaction à son ancienne épouse. Par dignité, Hyacinthe Chabert refuse

chez lui après 14 ans d’absence. Il découvre alors que sa succession a été liquidée et que son épouse s’est remariée avantageusement. Il se rend donc en rendez-vous chez Maître Derville, Avoué, qui est également l’homme de loi de son épouse, la Comtesse Ferraud, afin d’introduire une démarche judiciaire rétablissant son identité et lui permettant de recouvrer ses biens. Dans ce passage, le Colonel rencontre Maître Derville, et tente de le convaincre au travers d’une longue prise de parole, de la réalité

rue, située près des boulevards, aux confins du Paris de 1818, se trouve aux environs de l’actuelle Porte d’Italie). Puis le romancier nous emmène vers le luxueux faubourg Saint-Germain, rue Saint-Honoré, où se trouve l’hôtel particulier de la comtesse Ferraud, l’épouse du Colonel. Les déplacements des personnages nous font visiter Paris tel que les événements historiques l’ont façonné : on a alors l’impression de voyager dans le temps, de renouer avec l’Histoire. Le roman a donc le pouvoir de nous

bon air et de la solitude. Ce prospectus lui amena madame la comtesse de l'Ambermesnil, femme de trente-six ans, qui attendait la fin de la liquidation et le règlement d'une pension qui lui était due, en qualité de veuve d'un général mort sur les champs de bataille. Madame Vauquer soigna sa table, fit du feu dans les salons pendant près de six mois, et tint si bien les promesses de son prospectus, qu'elle y mit du sien. Aussi la comtesse disait-elle à madame Vauquer, en l'appelant chère amie, qu'elle

Léopard » 7 Molière, Tartuffe, acte III, scène 3 8 Montesquieu, Lettres persanes, lettre XXIV 9 Voltaire, Candide, ch. VI 10 Voltaire, « Prière à Dieu » 11 Le portrait du colonel Chabert 12 Enterré vivant 13 La comtesse, une excellente comédienne 14 Molière, Les Précieuses ridicules, scène 9 15 Molière, George Dandin, I, 4 16 Molière, Le Malade imaginaire, I, 4 17 Corneille, Le Cid, III, 4 18 Corneille, Polyeucte, IV, 3 19 Acte

Lorsque je suis arrivé, le tribunal n'était pas encore ouvert au public. La foule commençait à s'amasser devant le Palais de Justice. J'ai reconnu un certain nombre d'éminents personnages comme la duchesse de Ferraud, le comte de Chalmy, l'insolent baron de Faurville ou encore la délicieuse comtesse de Bocarmé. Tous étaient là pour assister au procès comme s'ils se rendaient à l'opéra. C'était en effet pour eux un simple rendez-vous mondain parmi d'autre. J'aperçois, cependant, mon ami, le baron de Tulles

bon air et de la solitude. Ce prospectus lui amena madame la comtesse de l'Ambermesnil, femme de trente-six ans, qui attendait la fin de la liquidation et le règlement d'une pension qui lui était due, en qualité de veuve d'un général mort sur les champs de bataille. Madame Vauquer soigna sa table, fit du feu dans les salons pendant près de six mois, et tint si bien les promesses de son prospectus, qu'elle y mit du sien. Aussi la comtesse disait-elle à madame Vauquer, en l'appelant chère amie, qu'elle

bon air et de la solitude. Ce prospectus lui amena madame la comtesse de l'Ambermesnil, femme de trente−six ans, qui attendait la fin de la liquidation et le règlement d'une pension qui lui était due, en qualité de veuve d'un général mort sur les champs de bataille. Madame Vauquer soigna sa table, fit du feu dans les salons pendant près de six mois, et tint si bien les promesses de son prospectus, qu'elle y mit du sien. Aussi la comtesse disait−elle à madame Vauquer, en l'appelant chère amie, qu'elle