La Femme Chez Diderot

Bougainville (Fiche de lecture) I. INTRODUCTION Le Supplément au voyage de Bougainville ou Dialogue entre A et B sur l’inconvénient d’attacher des idées morales à certaines actions physiques qui n’en comportent pas est un conte philosophique écrit par Denis Diderot (1713-1784), publié en volume pour la première fois en 1796, donc après la mort de l’écrivain et philosophe français. L’ouvrage s’inscrit dans un triptyque de contes moraux rédigés en 1722. Il est donc précédé de Ceci n’est pas un conte et de Madame

Humanisme - MONTAIGNE RABELAIS Le Baroque (XVIIème siècle) Classicisme - CORNEILLE - RACINE - MOLIERE LA FONTAINE LAFAYETTE DE LA BRUYERE DESCARTES Siècle des Lumières (XVIIIème siècle) VOLTAIRE MONTESQUIEU DIDEROT BEAUMARCHAIS ABBE PREVOST Le Romantisme (XIXèème siècle) - HUGO - CHATEAU BRIAND Réalisme, naturalisme BALZAC FLAUBERT HUGO ZOLA MAUPASSANT Symbolisme BAUDELAIRE RIMBAUD Au XXème siècle surréalisme

Montesquieu. Le second est un extrait de Supplément au voyage de Bougainville de Denis Diderot, le dernier est un extrait de De l’Allemagne écrit par Madame de Staël. Le premier extrait des Lettres Persanes de Montesquieu est de forme épistolaire, cette forme multiplie les points de vue et permet de relativiser les jugements émis par les personnages. L’extrait de Supplément au voyage de Bougainville, de Denis Diderot est l’un des textes qui répond le plus aux caractéristiques du dialogue philosophique

livré à lui-même, une enfance, une éducation et des débuts difficiles. Il passe deux années chez le pasteur Lambercier à Bossey (1722 - 1724). Son oncle le place comme apprenti chez un greffier, puis en 1725 chez un maître graveur. À seize ans il s’enfuit et fut recueilli à Annecy par la pieuse, Mme de Warems. La baronne l'envoie à Turin où il se convertit au catholicisme. L'année suivante, il retourna chez Mme de Warens, celle qui est à l'origine d'une grande partie de son éducation sentimentale

idées enseignées par l’Église encore omniprésente. Diderot sera un des deux auteurs phares de l’encyclopédie. Il y a aussi été l’auteur de plusieurs œuvres comme celle intitulée « le rêve de D’Alembert » publié en 1830. Cette œuvre comporte trois parties, mais la partie qui sera en question dans ce texte est celle de l’« Entretient entre Diderot et d’Alembert ».Denis Diderot veut prouver le matérialisme dans la partie « Entretient entre Diderot et d’Alembert », soit l’existence d’une seule substance:

DENIS DIDEROT   Philosophe, romancier, essayiste, dramaturge, critique d'art, polémiste, épistolier: Diderot est un auteur aux multiples facettes. Admiré d'abord en son temps comme maître d'œuvre de l'Encyclopédie, il est le plus novateur des philosophes des Lumières, dont il incarne l'esprit par son matérialisme  athée, son refus de tout dogmatisme, et sa confiance en la raison.       Né à Langres en 1713, Diderot est le fils aîné d'une famille aisée de couteliers, qui le destine à la prêtrise

Supplément au Voyage de Bougainville Diderot Le Supplément au voyage de Bougainville ou Dialogue entre A et B sur l'inconvénient d'attacher des idées morales à certaines actions physiques qui n'en comportent pas est un conte philosophique écrit par Denis Diderot (1713-1784), publié en volume pour la première fois en 1796, donc après la mort de l’écrivain et philosophe français. L’ouvrage s’inscrit dans un triptyque de contes moraux rédigés en 1722. Il est donc précédé de Ceci n’est pas un conte

philosophe avec madame la Maréchale de *** Denis Diderot est un écrivain philosophe né le 5 octobre 1713 et mort le 31 juillet 1784. Il est une grande figure du XVIII ème siècle, et est un remarquable philosophe des Lumières. Il est connu pour son travail titanesque sur l'Encyclopédie dont il est le directeur de projet. Il est également connu pour ses correspondances diverses et pour ces contes philosophiques. Les philosophes des Lumières et Diderot mènent un combat contre l'irrationnel, l'obscurantisme

Texte n°4: “L’aveu de La Pommeraye” dans Jacques le Fataliste, Diderot Justification du choix de l’extrait: Après avoir évoqué à travers les personnages d’Emma (Madame Bovary) et de Marianne (Les Lettre portugaises) les portraits de personnages féminins présentés comme “affaiblis” par leur statut de “femmes amoureuses”, il s’agit ici de montrer en quoi “ces faibles femmes” amoureuses (en tout cas en ce qui concerne la Pommeraye) peuvent également être des “âmes fortes” comme la marquise

n’attend pas vraiment que sa fille réponde aux questions qu’elle a formulées. 2- Mme de Sévigné reproche plusieurs choses à son gendre : – d’avoir laissé sa femme (la fille de Mme de Sévigné) conduire la barque (l. 4-5). – d’être encore plus imprudent que sa femme (« l’être encore plus que vous », l. 5-6) – de trop aimer sa femme et de ne rien lui refuser (« Que j’ai de la peine à comprendre sa tendresse en cette occasion ! », l. 9-10). Elle utilise l’ironie pour que son discours soit plus