La Folle Histoire de l'espace

Commentaire littéraire « Le train fou » Cet extrait ce situe à la toute fin du roman La Bête Humaine d’Émile Zola écrit en 1890. Ce roman est issu de la série Les Rougon-Macquart, Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire. Juste avant cette extrait Pecqueux découvre que sa maîtresse le trompe avec Jacques, ce qui entraîne un corps à corps sur la locomotive 608, ils chutent tout deux accidentellement et meurent broyés sous les roues de cette dernière. Sans chauffeur

t’es bien meublée en fait de maison. C’est vrai… C’t’un rêve pour un sofa de vivre ici. Par manque d’inspiration, elle personnifie donc le sofa d’une façon ridicule qui ne souligne en rien le talent de son amie. Or, Laurette a horreur de paraitre folle et n’était pas non plus en état d’ébriété, donc on peut supposer qu’elle sentait que la situation exigeait un compliment de sa part. En résumé, au moment de ce petit échec son mal-être est aussi incontestable que celui de Junior. Puis, l’autre rend

savez. Elle fait la passion de bien des gens, et son peut-être futur mari en est très jaloux ; il a toujours peur qu’elle finisse par aimer quelqu’un de ceux qui l’aiment. F1-Line : Mais il n’a rien à craindre ; elle est trop folle. H1-Stan : Comment ça ! Trop folle ? Alors, un homme ne peut pas lui paraître aimable ? N’a-t-elle pas des yeux et des oreilles ? H2-Mat : Certainement, Monsieur ! Mais une femme comme elle n’achève jamais, ni de vous regarder, ni de vous entendre. F1-Line

réalisme Son premier roman autobiographique est Le Petit Chauve, il a également écrit Les Lettres de mon moulin où il parle de sa Provence natale, près de Nîmes. Il est également connu pour Tartarin de Tarascon Jack est un roman réaliste, c’est histoire d’une enfance malheureuse, délaissé par sa mère, Jack est enfermé dans un internat puis s’y échappe et se fait engager dans la forge, puis sur un bateau. C’est un roman pathétique, réaliste et émouvant qui montre les conditions de vie d’un enfant

l’enracinement du récit dans le réel, l’espace et la temporalité constituent le fondement d’un univers qui déjoue les lois de l’illusion référentielle pour fonctionner presque de manière autonome. C’est donc le traitement particulier de ces notions intimement liées qui peut d’abord dérouter le lecteur et contribuer par là même à renforcer l’impression d’étrangeté et de mystère ressentie à la lecture des œuvres. I) Fonction structurante des lieux: des espaces - limites. L’espace dans lequel évoluent les personnages

Histoire moderne L’opinion publique au XVIIIème siècle Richelieu, ministre de Louis XIV, est convaincu que la force ne pouvant suffire à un gouvernement, l’accord au moins partiel des consciences est nécessaire à l’action des responsable politique. Quand à Louis XIV, il se décrit « informé de tout, écoutant [ses] moindres sujets ». Il sait que l’efficacité de son gouvernement et la réalisation de ses desseins dépendent étroitement de l’opinion que ses sujets ont de lui. C’est ce que représente

infectées ; l’idée fixe, délirante, le saisit tout à coup que sa jambe noircissait : il s’arrêta, s’allongea par terre, et commença à relever la jambe de sa culotte4. « J’ai oublié ma lampe électrique » pensa-t-il brusquement, et de nouveau une colère folle, impuissante, le souleva de hoquets : penché en avant dans les ténèbres épaisses, avec une obstination bovine, il essayait, en tirant sur ses reins douloureux, d’approcher son œil de sa jambe. Il sentit qu’il allait s’évanouir –la coulée de sueur froide

musicales; la rencontre des couleurs; les nombres secrets De personne à personne; accroche décroche; les couples d ‘animaux; la diligence Le nœud gordien; la fusée téléguidée; le serpent; l’oiseau silencieux Roche / papier / ciseaux; La toupie folle; histoire de mots PAGES 3 3 3 4 4 5 5 6 6 De 6 à 8 9 9 10 10 11 11 11 12 13 14 15 16 17 18 2 LES ENJEUX D’APPRENTISSAGE • La coopération est porteuse de valeurs d'avenir. C'est un moyen de se responsabiliser, de s tim uler

et le premier.Vous souvient-il de notre histoire?Moi, j'en ai gardé la mémoire:-C'était, je crois, l'été dernier.Ah! marquise, quand on y pense,Ce temps qu'en folie on dépense,Comme il nous échappe et nous fuit !Sais-tu bien, ma vieille maîtresse,Qu'à l'hiver, sans qu'il y paraisse,J'aurai vingt ans, et toi dix-huit?Eh bien ! m'amour, sans flatterie,Si ma rose est un peu pâlie,Elle a conservé sa beauté.Enfant ! jamais tête espagnoleNe fut si belle, ni si folle.-Te souviens-tu de cet été ?De nos soirs

propose au groupe DEROULEMENT : Tous les élèves sont sur le plateau (l'espace danse). Ils marchent au hasard dans tout l'espace, en évitant de dessiner des cercles, en essayant de trouver un rythme propre au groupe. Au signal du meneur, ils rétrécissent leur aire de marche, en venant occuper le centre de l'aire de jeu, sans cesser de marcher. Au signal suivant, le groupe éclate pour investir à nouveau la totalité de l'espace. Puis à nouveau au signal, ils rétrécissent leur aire, et ainsi de suite