La Liberté Selon Freud

l’inconscient » a dit et répété Freud. En effet lors de ses recherches sur l’inconscient et la psychanalyse, celui-ci a découvert que les rêves étaient des messages qu’une partie inconnue de nous-mêmes nous faisait parvenir, de façon déguisée, codée. Il donnait alors une réponse rationnelle aux questions que les hommes se sont toujours posées quant à l’importance de leurs rêves, leurs significations et ce qu’ils devaient en faire. Les rêves donc, selon Freud, semblent bien nous parler de nous

fait Sartre lors de sa conférence « l’existentialisme est un humanisme ». Par cela, le philosophe veut, non pas exprimer une fatalité, mais démontrer que la liberté de l’homme est absolue et que la seule chose que nous ne puissions pas faire c’est de ne pas être libre. L’homme ne peut échapper à la nécessitée du choix, principe inhérent à la liberté. Ainsi, en est-il pour Sartre, grand philosophe qui amena l’existentialisme à son apogée. Mais la question a toujours soulevé et soulève encore des interrogations

Pour Freud, il s’inscrit dans une longue série de recherches consacrées à la psychologie collective, qui commence avec Totem et tabou (1911) et se termine avec L’Homme Moïse et la religion monothéiste (1939). Totem et tabou explorait la préhistoire, les premiers interdits et l’origine pulsionnelle de la religion. L’Avenir d’une illusion, tourné vers le futur, traite de la religion de son époque. Entre ces deux textes, il y a eu une guerre, et, pour Freud, la découverte de son cancer. Comme changement

éclairé le champ de la psychanalyse en reprenant des théories de Freud et pour avoir introduit de nouveaux concepts comme le signifiant et le signifié qui structure l’inconscient comme un langage. Il définit également le stade du miroir qui lui permet d’introduire trois registres appartenant au fonctionnement psychique : l’imaginaire, le symbolique et le réel. Lacan permet à la psychanalyse d’ouvrir son champ à la psychose alors Freud lui l’a cantonné à la névrose. Les ouvrages de Lacan sont : De

lui-même. Sa capacité à penser sa propre essence fait donc la spécificité de l’homme et elle le distingue des animaux. Ainsi, selon Feuerbach, si les animaux possèdent également une conscience au sens de « sentiment de soi », « capacité de distinguer les objets sensibles, de percevoir et même de juger des choses extérieures d'après des caractères sensibles déterminés », selon Feurbach, la conscience au sens le plus strict n'existe que pour un être qui a pour objet sa propre espèce, sa propre essence

surréalisme est un mouvement qui veut postuler un retour a la vraie vie, qui veut fuir le réel. Cest une totale libérté d esprit,imagination. Les peintres surréalistes veulent fuir la machine,lindustrie,la science. Ils aiment le rêve , la psychanalyse,tout ce qu il y a en nous. Ils prêtent attention a leur propres intentions,il y a un sens caché dans leurs oeuvres.Ce sont des adeptes de Freud. Le tableau représente les célèbres « montres » devant un paysage de Catalogne. Dalí a voulu représenter

action grâce à sa conscience, grâce à sa raison. Cette capacité lui permet de choisir librement ses actes et l’empêche de faire tout ce qu’il voudrait faire selon ses seules passions. L’Homme donne de la valeur à cette loi intérieure, qui lui rend en retour l’image de sa propre valeur. A l’aube du XXIème siècle et du IIIème millénaire, Sigmund Freud publie l’Interprétation des Rêves (en 1900) dans lequel émerge l’hypothèse de l’inconscient, qui va bouleverser les idées cartésiennes qui avaient jusqu’alors

Explication du texte de Freud « Une difficulté de la psychanalyse » Inconscient et liberté Dans son article « Une difficulté de la psychanalyse » publié en 1917, Freud rend compte des trois blessures narcissiques, l'amour-propre ou l'orgueil, qu'a subi l'humanité de la part de la recherche scientifique : tout d'abord la blessure cosmologique avec Copernic qui met en avant que l'homme n'est pas le centre de l'univers ; ensuite la blessure biologique avec Darwin qui révèle que l'homme est issu de

pensée. II. L’exigence de liberté et les contraintes morales interdisent au désir de se satisfaire de la réalité. A / La recherche du plaisir peut conduire à une tyrannie douce du pouvoir, qui satisfait nos désirs pour empêcher toute révolte (Tocqueville). Si le désir se satisfait de la réalité, c’est-à-dire ici de ce qu’accorde le pouvoir dans le but de rendre les gens satisfaits, alors le risque est que l’homme ne se soucie plus de sa liberté. L’exigence de liberté interdit donc au désir de

commencer l’action, autrement dit d’être l’auteur de ses actes, qu’on peut lui attribuer un qualificatif moral. Invoquer l’inconscient, c’est annuler cette liberté. Car, c’est assigner des causes à son action. En effet, le sujet serait agi par quelque chose. Autrement dit, invoquer l’inconscient, c’est récuser qu’il y ait un sujet. Car la liberté au sens du libre arbitre présuppose que la volonté soit un pouvoir d’affirmer ou de nier sans être déterminé par quelque cause que ce soit comme Descartes