La Notion De Democratie

est actuellement directeur d'études à l'EHESS et enseigne la politique à la New York University . Son domaine d'étude est la pensée politique et il est connu pour ses travaux sur le libéralisme ainsi que sur la démocratie représentative .Il est l'auteur , entre autres de « La social-démocratie ou le compromis » (1979) , « Le régime social démocrate » (1989) , et de nombreux ouvrages sur Montesquieu et la séparation des pouvoirs . Mais l'oeuvre qui va nous intéresser ici est « Principes du gouvernement

tous les niveaux, y compris politique et juridique. Nous reviendrons donc un peu plus loin sur la définition qu'il convient d'adopter pour traiter de la notion d'idéal-type. En effet, l'ambiguïté et la subjectivité qui résulte de ces termes nécessite d'autant plus de rigueur dans l'étude de notre sujet. Commençons donc par nous pencher sur la notion de régime parlementaire et ce à quoi elle renvoi. Le régime parlementaire est un régime politique, pour reprendre la définition du professeur Cohendet

CONTEXTE ET JUSTIFICATION DU NOUVEAU PROGRAMME D’EDUCATION CIVIQUE La promotion de la culture de la citoyenneté, des Droits de l’Homme, de la démocratie et de la paix est l’un des grands défis auxquels l’humanité doit faire face aujourd’hui. Il s’agit d’un défi intellectuel, moral et politique dont l’actualité est rendue encore plus brûlante par les grands bouleversements sociaux, économiques et politiques qui modifient au quotidien la structure mondiale et affectent les Etats, les peuples et les

La participation au pouvoir – Le citoyen dans la démocratie L’individu peut lui-même participer à la détermination des personnes qui le gouverneront, et participer à la détermination, de la manière, dont il sera gouverné. Dans le cadre d’un Constitutionnalisme de fondation, l’État moderne suppose que le peuple s’autogouverne ou qu’il agisse par l' intermédiaire de ses représentants, et qu’il soit toujours à l’origine du pouvoir. Section 1 : la problématique de la représentation 1 – Du gouvernement

3. La critique de la démocratie: Aristotea) la question de la compétence du peuplePlaton était contre la démocratie. Adversaire farouche de la démocratie, à l’opposé d’Aristote. Il pense qu’on peut donner le pouvoir au peuple sous certaines conditions.Politique de Aristote, chapitre III,11: cadre de sa réflexion:→ Se situe dans le cadre d’une interrogation sur la compétence du peuple. Est-ce qu’une pop pas forcément éduquée peut exercer le pouvoir ?Les institutions supposent

(historique) d’émergence de la notion Ensuite, nous essayerons de l’analyser brièvement du point de vue philosophique (avec des auteurs comme J.-J. ROUSSEAU, T. HOBBES, J. LOCKE, et G.-W.-F. HEGEL) et anthropologique. Aussi, notre compréhension du pouvoir d’Etat s’encombrera –t-il de tout cet arsenal conceptuel déployé ci-haut. Il se voudra de ce fait très pointilleux parallèlement à l’effort lourd de signification que nous avons déployé dans la compréhension de la notion de société civile. I.1.

Sujet : Démocratie et développement Introduction I. Formes de Démocratie et Types de Développement 1. Les différentes formes de démocratie 2. Les différentes conceptions du développement II. Existe-t-il une relation entre Démocratie et Développement 1. Interaction entre Démocratie et Développement a. Développement comme condition de la Démocratie b. La démocratie comme préalable au développement 2. Absence de lien entre Démocratie et Développement a. Développement sous les régimes

Droit Constitutionnel Dissertation : élections et démocratie Le 26 mars 1994 était adoptée à l’unanimité par le Conseil interparlementaire lors de sa 154ème session la déclaration sur les critères pour des élections libres et régulières. Cette déclaration précise l’importance des élections en démocratie. Depuis l’Antiquité le droit de vote en est l’un des piliers les plus importants et caractéristique. En effet la démocratie suppose que l’autorité des pouvoirs publics repose sur la

ton annonciateur ce qu'il conçoit être le plus grand péril de la démocratie et qui prendra corps au XXe siècle sous l'appellation de totalitarismes. Si dans son pressentiment, Tocqueville relie si étroitement ces deux types de régimes, il est légitime de s'intéresser sur la nature de ces liens et de déterminer le degré de responsabilité de la démocratie à l'égard des excès totalitaires. La responsabilité structurelle des démocraties dans la mise en place des régimes totalitaires a) Universalité

| | |- Emergence des représentations sur la notion de « droit de vote » | | |- Proposition et prise de connaissance d’un corpus documentaire :