La Religion Aliène T Elle Ou Libère T Elle

qui supposerait un affranchissement perpétuel : c?est le cas de la fuite des corps lorsque l?on dit que l?univers est en expansion? - 3) indépendance d?esprit méditation, liberté spirituelle éventuellement athée par-delà toute emprise de quelque religion : théoriquement la liberté spirituelle devrait être indépendante de la liberté topologique? - 4) prière obéissance à Dieu sous-entendu comme Bonté Suprême? - 5) pouvoir d?action conformément aux lois au sein d?une société (liberté civique) sociabilité

ferrer, puis un instrument de torture. Le mot labeur a pour étymologie le mot latin labor, qui désigne le travail et la peine. Ainsi le travail semble intimement lié à la notion de souffrance, d'effort. Mais n'est il pas ne même temps celui qui le libère? I Le travail, une nécessité humaine 1. l'homme oublié de la nature, doit travailler Platon, La République, 369b L'homme est un animal sans défense, oublié par la nature, et démuni. Rien de ce dont il a besoin pour survivre ne lui a été

permettrait de survivre. Pour réparer cette erreur, Prométhée offre la technique aux Hommes, ainsi que le feu. Le travail est ici dicté par les êtres divins que sont Prométhée et Epiméthée, c’est-à-dire des Titans. Cette activité apparait dans la religion grecque de l’Antiquité comme un cadeau qui est toutefois imposé aux Hommes pour qu’ils puissent survivre. Dans ces deux exemples, le travail est infligé aux êtres humains par des créatures divines qui leur sont supérieures, mais c’est aussi le seul

dimension pénible et négative liée au seul fait qu’il s’agit d’une action dictée par l’extérieur et qui pèse sur l’être humain. Que ce soit dans les religions monothéistes ou polythéistes le travail possède, dans les récits, la caractéristique de n’être pas naturel chez l’Homme, et donc d’être imposé par un élément externe. En effet, dans la religion chrétienne, la Bible présente tout d’abord l’Homme dans la Genèse à l’état de nature, comme un être vivant dans le jardin d’Eden, où il n’a pas besoin

premier à rechercher une explication naturelle et rationnelle des maladies : la psychiatrie d’aujourd’hui lui doit beaucoup, pourtant ignoré à l’époque. Moyen-Âge : La folie était considérée comme une folie à cette époque, la doctrine de la religion ne reconnaissait pas la folie en tant que tel mais plutôt comme une manifestation du divin, possession. Les guérisseurs étaient appelés docteurs, shamans, sorciers. La médecine folklorique primait ainsi que l’utilisation de plantes. Toute personne

(Par delà le bien et le mal, 1886). En déclarant "Dieu est mort" dans "Ainsi parlait Zarathoustra" (1883), Nietzsche considère la religion comme un alibi devant la faiblesse humaine et le malheur. Il fustige la morale ascétique des Eglises et rejette Dieu que l'homme a inventé pour contraindre l'humanité à la résignation. Mais Dieu étant mort, l'homme aliéné se libère du fardeau de la transcendance divine et de ses exigences morales et métaphysiques. Nietzsche constate cependant que l'homme, qui

de moi-même) donc on comprend l’enjeu du sujet/ problème. On valorise , cette activité jusqu’à en faire un but, une fin en soi ou bien l’ingrédient indispensable d’une vie réussie. Certains parlent d’une religion du travail ou toute notre vie s’organise autour du travail Aujourd’hui, on peut ne pas travailler donc se reposer ou retourner au travail ou consommer ou donner du travail aux autres. I- Définition du travail et distinction avec

nature et conquiert sa liberté et son humanité. C'est ce que montre Hegel : en m'apprenant à retarder le moment de la satisfaction de mes désirs, le travail m'oblige à me discipliner. • Dans l'effort, l'homme se rend peu à peu maître de lui : il se libère ainsi de la nature en lui (les instincts) en transformant la nature hors de lui. Faire taire la tyrannie des instincts, n'est-ce pas là précisément être libre, n'est-ce pas là la marque propre de l'humanité ? Le travail est donc nécessaire en un second

vérité est elle une condition de l'exercice de la liberté et donc une colération positive entre eux ? Pour répondre à cette problématique, nous allons procédé en trois parties. Il est important de parler tout d'abord du fait que la vérité ne peut aliéner le libre arbitre. Seulement après éxpliqué cela, nous pourrons aborder le sujet de la soumission que l'on porte face la puissance de la vérité lorsquelle est découverte. Nous pourrons alors conclure sur le fait que la vérité est libératrice et moteur

Cependant, L'homme n'a pas besoin de savoir ce qu'est exactement la liberté pour pouvoir refuser son contraire. En effet, aucun être humain ne semble souhaiter d'être volontairement aliéné à quelque chose ou à quelqu'un. Le terme d'aliénation a tout d'abord longtemps servi à désigner l'ensemble des maladies de l'esprit. Être aliéné consistait à « rendre étranger à soi ». Effectivement, l'aliénation enferme l'homme dans une situation où il n'est plus maître de lui-même car c'est quelqu'un d'autre qui dirige