La Theorie De La Finance Comportementale

I-Introduction L’hypothèse d’efficience des marchés financiers, formulé la première fois par FAMA (1965-1970) a longtemps joué un rôle important dans la théorie économique et plus précisément dans la théorie financière. Elle stipule que sur les marchés les prix reflètent à tout moment l’information pertinente disponible. En effet, la théorie traditionnelle de l’investissement suggère que les marchés sont efficients et que les cours des titres sont à tout moment à leur juste valeur. Il n’y aurait

LA FINANCE COMPORTEMENTALE OU LA PSYCHOLOGIE DE L’INVESTISSEUR La remise en cause de la théorie d’efficience des marchés est le point de départ de la finance comportementale. Selon l’hypothèse classique, les agents sont pleinement informés et rationnels, ils interprètent donc correctement ces informations, et ont pour seule motivation de maximiser leur « utilité financière ». Ils agissent en toute indépendance et leurs décisions mènent à un équilibre des prix. La théorie traditionnelle considère

THÉORIE FINANCIÈRE ET STRATÉGIE FINANCIÈRE Gérard Charreaux Lavoisier | Revue française de gestion 2006/1 - no 160 pages 109 à 137 ISSN 0338-4551 Article disponible en ligne à l'adresse: -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------http://www.cairn.info/revue-francaise-de-gestion-2006-1-page-109.htm --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

déséquilibre entre les exigences de la situation et mes ressources, nous éprouvons du stress. Certains patients ont des réactions de stress par anticipation d'une situation à laquelle ils pourraient éventuellement être confrontés. Les stresseurs : les finances, le travail, les enfants, la maladie, le deuil, le mariage, une naissance. Ils provoquent une réaction de stress avec une mobilisation psychique et physique de l'organisme (tremblements, sueur, réflexe...). Les conséquences du stress au niveau familial

Christian Marty 0632391231 Intro : Finance comportementale 1636/1637 : crise des bulbes de tulipes * spéculation – début de la finance moderne. Les spécialistes ont donné une valeur aux fleurs. 1716/ LAW Banque Royale  * avec la Banque Royale on organise l’expédition en Louisiane financé par les contribuables français qui devaient recevoir en retour l’or censé être apporté des Etats Unis = faillite de la banque royale ! 1880 : Lesseps Canal de Panama * apparition des médias Crise

19) alexandre.pellaton@wanadoo.fr THEORIES DE LA FIRME I.A.E Montpellier Année universitaire 2006/2007 Master 1 commun Firme = F° de Production Théorie néo-classique de la firme Remises en cause Baumol Simon Liebenstein Chandler Cyert et March Théorie des conventions Firme = système cognitif collectif Théorie des droits de propriété Théorie de l’agence Firme = nœud de contrats Théorie des coûts de transaction Théorie évolutionniste Firme = alternative

fr Résumé : La gouvernance d'entreprise, thématique restée longtemps marginalisée, a pris depuis une dizaine d'années une importance croissante. Ce sujet, traité alternativement sous un angle plutôt stratégique, financier, ou comportemental a donné naissance à des théories contradictoires. Ces divergences résultent plus profondément de clivages idéologiques et philosophiques. Les idées philosophiques émanant d'auteurs tels que Machiavel, Kant, ou encore Locke et Marx, permettent de comprendre la

1) Théorie des perspectives : La théorie de perspective, théorie économique développé par Daniel Kahneman et Amos Tversky en 1979. C’est une théorie qui remet en cause la théorie de l’utilité espéré et essaye d’expliquer les anomalies et les contradictions apparentes dans les comportements humain. Elle permet d’effectuer les calculs de l’utilité sur les changements de richesse, entre gains et pertes, et non sur la richesse finale comme c’est le cas dans le cadre de l’utilité espéré, Cette théorie

pour finalement les mettre en parallèle avec des modèles purement économiques, dans le but d'illustrer la science économique. Si la méthode scientifique économique est comparable à celles des sciences dures, alors la démarche à suivre est la même : théorie, observation puis conclusion. Tout ceci sur base de modèles afin d'en simplifier la compréhension et l'application, ainsi qu'à des échelles différentes (micro et macro économie) qu'il confronte à l'étude plus ou moins en profondeur d'un atome ou d'une

se spécialise dans les statistiques . Parcours professionnel : Il a enseigné brièvement au Collège de New York puis s’est installé à Pittsburgh à l’institut technologique de Carnegie en 1948 pour enseigner les statistiques dans le domaine de la finance et de la comptabilité. Il enseigne également l’économie et l’administration industrielle pendant les 14 prochaines années, puis a été nommé doyen de la graduate school of industrial administration. En 1972, il devient le 6ème président de