La Vie Anterieur Baudelaire

org/actualites/memoire-et-oubli-de-baudelaire-dans-l-oeuvre-de-proust-matthieu-vernet_59457.php http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/litt_0047-4800_1986_num_63_3_1398 introduction I- Présentation de l'auteur et de son œuvre "Les Fleurs du Mal" 1.1 Le vécu de Baudelaire 1.2 Présentation de l’œuvre II- Baudelaire et la mémoire 2.1 La mémoire 2.2 Les souvenirs 2.3 Le rêve et l'imaginaire baudelairien 2.3.1 L'élévation 2.3.2 Les parfums et les sens III- Baudelaire et l'ennui

diffusion de la littérature · Succession de mouvements littéraires : · Romantisme expression sensibilité Victor Hugo · Réalisme reproduire la réalité Gustave Flaubert · Naturalisme Émile Zola · Symbolisme Charles Baudelaire · Plusieurs mouvements artistiques : · Romantisme expression du mouvement Delacroix · Impressionnisme paysages Informations 20e siècle : · Nouveaux thèmes  : exploration de l’intérieur

d'écriture (notamment dans les recherches formelles sur le vers libre). Si des courants antérieurs, comme le Parnasse, se réclamaient d'un art de la représentation, privilégiant par analogie la peinture, c'est le phénomène de suggestion qui se trouve au cœur de l'esthétique symboliste, et ce n'est plus la peinture qui est prise pour modèle mais la musique. En musique, Wagner, dont l'apport théorique sur l'art total est antérieur de vingt-cinq ans au manifeste du symbolisme, va profondément marquer la réflexion

Bernard, n’importe qu’elle autre affaire, gérer une situation comme un homme elle va perdre l’existence individuelle et prise au piège par son mari Thérèse murmure a Argelouse jusqu'à la mort : mariage qui continue jusqu’à la mort c'est-à-dire une vie misérable et réglée. elle est vue comme une victime, elle est méchante puis vue comme une victime mort : elle est condamnée un garçon qui domine : dominait, admirait forte présence du pronom personnel « il » « lui » :il en anaphore renforcer

combativité de cet esprit. Cette vitalité agressive est soulignée par l'opposition entre « amoureux » qui connote l'attirance produite par un tendre sentiment et « lutte » qui connote l'antagonisme et le conflit. Ainsi, nulle tendresse dans l'état antérieur de l'esprit du poète, mais le plaisir du combat, la joie de vaincre. Ces caractères guerriers sont soulignés aux deux vers suivants par les mots issus du lexique chevaleresque : éperon, ardeur et enfourcher. Cette série métaphorique représente l'esprit

» (Aimé Césaire, Le Discours sur le colonialisme) 2) En grammaire/linguistique : 2.1) Définition Conformément à son étymologie (ana- en grec signifie « en arrière », « en remontant »), le terme anaphore implique le renvoi à un élément antérieur du texte. Il s’oppose à cataphore, qui désigne le renvoi à un élément postérieur dans le texte (cata = « en bas », « en descendant »). L’anaphore constitue un phénomène plus fréquent et plus complexe que la cataphore. Certains auteurs désignent par

BRADU Pierre-Louis Dissertation : La Boue et l’or 1G6 En mai 1860, Charles Baudelaire travaille sur un épilogue qu'il souhaite achever, comme il le signale à son éditeur Poulet-Malassis : « Je travaille aux Fleurs du Mal. Dans très peu de jours, vous aurez votre paquet, et le dernier morceau ou épilogue, adressé à la ville de Paris, vous étonnera vous-même, si toutefois je le mène à bonne fin ». Dans son projet, il déclare son amour pour la ville de Paris pendant les grand travaux du

Etude du poème 87, « Les métamorphoses du vampire » Charles Baudelaire est un célèbre poète français du XIXème siècle (1821-1867). On l’associe aux mouvements post-romantique et pré-symbolique. Spleenétique, mélancolique, il présente une personnalité très complexe oscillant entre dépression et euphorie. Cette personnalité se retrouve dans les différentes sections de son unique recueil poétique versifié : Les fleurs du mal . Publié en 1857, le

Texte 3 : Les Fleurs du Mal de Baudelaire « A une passante » Explication de texte « rue assourdissante » v.1 Hyperbole Montre que la rue est très bruyante Ø Ce n’est pas un lieu paisible, propice aux rencontres Ø L’auteur semble perdu « rue […] hurlait » v.1 Personnification hyperbolique Ø Lieu agressif et sauvage Ø Agassement de la part de l’auteur « Longue, mince … l’ourlet » v.2-4 Enumération Ø Description de l’arrivée de la passante qui semble durer longtemps Ø Le temps

Hugo décrit la vie de misérables personnes dans le Paris d’autrefois et dans la France provinciale et profonde du XIXe siècle. Il met en lumière plus particulièrement un bagnard, Jean Valjean, une sorte d’accidenté de la vie et de paria de la société qui aura l’occasion de reprendre le cours de sa vie et de recommencer le chemin de la vie sur de meilleures bases comme dans une sorte de recherche de rédemption morale et philosophique qui lui permettra de s’absoudre de ses pêchés antérieurs, sans peut-être