La Villa La Roche Le Corbusier

qui fait d’un designer un grand designer ? Qui trouve t’on dans la catégorie des « grands designers » ? Et bien beaucoup de monde en fait. Je ne pourrai pas tous les citer, mais parmi eux se trouvent Ron Arad, Ora Ito, Charlotte Perriand, Le Corbusier, Marc Newson, Matali Crasset ou encore Philippe Starck. Prenons comme exemple Philippe Starck qui a construit son succès via une très large médiatisation. Philippe Starck est le créateur incontournable des années 80. Il est opportuniste autant

évidemment  sa  propre  production.   IL   fit   ses   études   d’architecture   peu   après   la   Seconde   Guerre   Mondiale.     Son   professeur,   Arne   Korsmo   (architecte   de   villas   considérées   comme   des   chefs-­‐ d'œuvre  du  fonctionnalisme  norvégien)  compta  parmi   les   principaux   esprits   qui   eurent   sur   sa   création   une   influence  précoce

de l'antiquité, il sont fasciné par les bâtiments du 15 et 16ème. Toutes ces maisons possèdent un dispositif de suite symétrique. La question de la suite symétrique les intéresse, ils vont faire un grand receuil avec des vues perspectives. Villa de Jules, ce qui dans ce bâtiment est l'ensemble, plus précisément, la composition de l'ensemble. On voit que la première cours et la partie habitation sont en lien de forme. Ce qui sépare le tout du dehors est un simple mur, l’ensemble est donc

Weißenhofsiedlung. Gropius et Mies sont plus connus pour leurs œuvres Modernistes, mais le Monument des morts de mars de Gropius, le projet d'immeuble de bureaux sur la Friedrichstraße de Mies constituent des œuvres maîtresses de l'œuvre expressionniste. Le Corbusier commença sa carrière par l'Architecture moderne mais évolua à la fin de sa vie vers des expressions plastiques inspirées de l'Expressionnisme. Au milieu du XXe siècle, dans les années 50 et 60, beaucoup d'architectes commencèrent à concevoir des

non-couleurs opposées se rencontres souvent dans les oeuvres... Cy Twombly L’artiste met en scène l’espace infini d’une peinture. Gerhard Richter Sur le tableau Himalaya, on constate un fort contraste entre la neige d’un blanc immaculé et lumineux et la roche noire. Une atmosphère pesante se dégage de ce tableaux, les montagnes sont impressionnantes. Roman Opalka Depuis 1965, l’artiste français d’origine polonaise Roman Opalka peint des nombres en ordre croissant sur des toiles, afin d’inscrire

valeur puisque la solidité de l’ouvrage est dans l’opacité du béton et non dans l’agencement des éléments. La logique d’un parcours de descente des charges disparait alors, laissant place à une apparente instabilité et un déséquilibre visuel. Villa Schminke, Löbau, Hans Scharoun Poste d’incendie de l’usine Vitra, Z. Hadid Les performances techniques du béton permettent de construire des ouvrages de portées très importantes, toujours attirantes à l’œil car elles procurent un sentiment

à la maîtriser et finalement en faire son alliée dans de véritables scénarii spatiaux. La lumière naturelle est devenue l’un des matériaux de base de toute conception architecturale. La lumière comme matière, c’est le concept que défendait Le Corbusier en 1923 dans son ouvrage “Vers une architecture” : “L’architecture est le jeu savant, correct et magnifique des volumes assemblés sous la lumière ”. “Les éléments architecturaux sont la lumière et l’ombre, le mur et l’espace ”. Elément librement

Bauhaus Après la 1GM, l'Allemagne fait un effort de renouvellement dans tous les secteurs et elle se positionne au centre de l'architecture moderne L'oeuvre de G et de ses collaborateurs au Bauhaus comme expérience collective, et celle isolée de Le Corbusier sont à l'origine du mouvement moderne 1919 : Gropius fonde le Bauhaus à Weimar. Il unit 2 écoles pro Le Bauhaus la "Maison de la construction" ou plus clairement du "projet et de la réalisation" On appelle cette école maison car aussi résidence pour

cette tendance alors universelle, semble-t-il, s’efface maintenant devant un pluralisme sans précédent de modes d’expression et d’attitudes. Si le deuxième quart du XXe siècle fut dominé par l’oeuvre des maîtres « modernes », Frank Lloyd Wright, Le Corbusier, Mies van der Rohe, Walter Gropius et Alvar Aalto, le troisième quart a subi largement l’influence de ceux que Philip Drew a désignés com me la « troisième génération des architectes modernes », c’est-à-dire ceux qui sont nés dans les trois premières

l’Anglais Aubrey Beardsley, le Français Toulouse-Lautrec  Peinture avec l’Autrichien Klimt (labyrinthe) ou le Norvégien Munch (volutes)  Danse avec Loïe Fuller, vedette des Folies Bergères en 1892  Mouvement repris en sculpture : bronze du sculpteur Roche intitulé « Loïs Fuller » (médaille d’argent Expo universelle de 1900)  Cinéma avec les films « fantastiques » de Méliès  L’art abstrait inventé par Kandinsky en 1910  Abstraction que l’on trouve en architecture avec Gaudi cf. cheminées de la Casa