Labour

. Un autre attributaire de la même E.A.C. dira que " cette année, personne ne fera une botte à 20 DA ". L'attributaire individuel s'appelle M.T.. Il est handicapé et marche sur deux béquilles. Il n'a pas pu faire de grands profonds travaux de labour. Il a tout simplement " gratté " la terre, comme il dit. Il estime que, parce que l'année est bonne, il pourrait avoir sept quintaux de blé à l'hectare. A l'ancien D.A.S. Melki Tahar, situé au Nord-Est de la Commune de Tamlouka, devenu ferme-pilote

les « lowlands » (GB) - Choix des espèces - Espèces introduites/autochtones (DE) - Dissémination par les oiseaux ? (DE) - Réhabilitation de l’aubépine ? (FR) - Préparation du terrain - Techniques de plantation (labours renversés) (DK) - Technique « stantard » sous-solage + labour + façons superficielles + pose plastique (FR, IT) - Pépinière, matériel végétal - Pépinière (DK, IT), choix des espèces, provenances (DK, FR, IT) - Plantation et entretiens juvéniles - Techniques d’entretien juvénile

hectares | -Le travail du sol : Une plante qui nécessite une technique particulière surtout sur les sols type limoneux-sableux présents majoritairement sur l'exploitation Vers le mois de février, après l'apport de fumier de bovins (30 T/ha), un labour sur 25-30 cm est réalisé afin d'enfouir les résidus de récolte et l'apport organique (fumier de bovins). Puis mi-mars, le passage de la herse rotative ou cultivateur afin d'ameublir le sol avant le semis et enfouir l'apport minéral du début du mois

inégale des vers représente non seulement un découpage artificiel de la prose mais sert de support à un brassage de mots, d'images voulues par l'auteur. Il y a une analogie évidente entre l'étrave du bateau et le soc des charrues, entre le charruage, le labour de la campagne et le charruage des bateaux dans la mer fendant les vagues, entre les sillons d'un champ labouré et les ondulations des vagues de la mer. Cette analogie se trouve confirmée dans le parallélisme des deux premiers vers qui comptent le

est très importante, le but est d’obtenir un lit de semis fin, homogène et sans semelle (type labour). C’est de la préparation du sol dont dépend la réussite de la récolte (on l’estime à 70%). Après les moissons (céréales) du mois de juin: Disque, détruit les mauvaises herbes puis on laisse reposer tout l’été Après une pluie, on passe le griffon ->décompacter la terre On laboure car le labour détruit de nombreuses herbes qui de ce fait, ne montent pas en graine. Rotavator ou herse rotative

circuits commerciaux. PRÉPARATION DU SOL Travail du sol La culture de carotte permet la valorisation des sols sableux et limono-sableux. Objectif : obtenir une structure homogène et légère sur une profondeur convenable et un lit de semence très fin. 1°) Labour pour un travail profond (jusqu’à 30 cm de profondeur). 2°) Travail superficiel pour affiner la terre dans les 10-15 premiers cm du sol. Pratique locale : utilisation du cultirateau qui permet la formation de planches et l'obtention d'un bon lit de

constitué de 2 toits. Tout l’air se trouve entre les deux toits et est aspiré par le ventilateur. On perd ainsi 20% d’humidité et on gagne 3 à 4°C. Gestion des cultures : L’exploitant utilise le semis direct, ainsi il ne pratique pas de labour (et ce même lors de la sécheresse de 2003). Cependant cet itinéraire technique ne résout pas le problème des adventices. Néanmoins, cette technique reste très économique. En effet, l’exploitant ne met que 20 tonnes/ha de compost au lieu de

DE LUTTE ANTI-EROSIVE Le principe est d’utiliser au plus possible les pratiques qui amoindrissent l’érosion : -planter des bambous -faire des billons -cultiver selon les courbes de niveau -pratiquer le mulching -réduire les travaux du sol (labour) -faire des terrasses ou des retenues selon la valeur de la pente : terrasses si la pente va jusqu’à 20 % ; terrasses gradins si la pente est très forte  

de l’hydrographie, de la végétation, des formations superficielles des sols et de tous les phénomènes physiques et humains pouvant êtres eux-mêmes des facteurs d’instabilités. L’utilisation des banquettes perpendiculaires à la pente ainsi que les labours en suivant les courbes de niveau sont d’excellents moyens pour stopper le ruissellement, augmentant aussi la capacité d’infiltration et empêche leur concentration en profonde rigole. De plus l’homme à la capacité d’aménager l’espace par la pratique

d'augmenter la productivité agricole. La charrue se distingue de l'araire par le fait qu'elle est munie d'un versoir qui rejette la terre d'un seul côté (travail dissymétrique), et retourne ainsi la terre, au lieu de simplement la scarifier. Le labour permet d'ameublir la terre et de la préparer à recevoir le semis. Il permet d'enfouir également les résidus des cultures précédentes, les mauvaises herbes, le fumier, et accélère la minéralisation de la matière organique. Les charrues modernes