Langues sémitiques

le terme pô se décline ds les langues sémitiques (hébreux, arabe, araméen) ? Médina : din = droit, droit cô valeur et cô procédure état de droit. Politique directement liée au droit. On en conclut qu’une politique injuste/inique est une contradiction ds les termes. (en arabe donia = univers) N.B : Si on ne s’en tenait qu’à la racine grecque du terme (polemos), la clé institutionnelle prioritaire c’est la police, alors que si l’on s’attache à la racine sémitique (médina), l’institution prioritaire

Parler de race sémitique est un abus de langage, une fabrication historico biologique. - Les Aryens ont créé la notion de race. Le terme même « Aryen » est issu des Vesta (Livre sacré indo- perse). Le mot pourtant n’y apparaît qu’une seule fois. Ce terme fait donc allusion évanescente au texte sacré. - Fin 18e : Naissance de la philologie[1] par les Allemands. - 19e : Les Allemands se mettent en tête de classer toutes les langues du monde. Ils créent un groupe des langues européennes

LES GROUPES SÉMITIQUES Par -------------- PRÉSENTATION GÉNÉRALE. ‫نظرة عامة‬ ‫הצגה כללית‬ L'adjectif « sémitique » dérive du nom commun « sémite », utilisé pour la première fois en Europe vers la fin du XVIIIème siècle par l'historien philologue allemand August Ludwig Von Schlözer. Il construit ce terme à partir du nom propre Sem, fils de Noé, rencontré dans la Genèse (Berechit en hébreu), de la Bible et plus spécialement au chapitre 10, verset 31 qui dit : « ‫ » אֵלֶּה בְנֵי־שֵׁם לְמִשְׁפְּחֹתָם

cunéiforme sumérien, comme nous l’avons présenté ci-dessus, sont des systèmes se référant au monde extérieur. Ils sont basés sur le son ou la vision par le sujet parlant. Les alphabets consonantiques, comme «les systèmes notant le vieux perse ou bien les langues de l’Inde, et enfin l’alphabet grec notent le son du point de vue du sujet parlant». 6 Les alphabets consonantiques n’utilisent plus de logogrammes et ne «notent pas la syllabe de la parole entendue sous ses formes variables».7 L’avantage

peut écrire des textes très basiques, comme des relevés comptables. Mais, il est impossible d'écrire des textes complexes, comme des mythes ou des traités divinatoires. Les Sumériens inventèrent d'autres signes pour leur permettrent d'écrire leur langue dans sa totalité, c'est-à-dire, d'écrire tous les sons des mots qu'ils entendaient. En cette fin de IVe millénaire, les Sumériens venait d'inventer un système complexe qui était composé de différents types de signes : 1) de pictogrammes

de la sociolinguistique : • En France On lit un peu partout que la sociolinguistique naît dans les années 70, ce qui est vrai et faux. 1.1. La dialectologie - fin XIXème - Variation + terrain Branche qui étudie les particularités régionales d'une langue, les particularités phonétiques de prononciation. La dialectologie est issue des travaux du linguiste allemand Georg Wenker et est établie comme science par le Suisse Jules Gilliéron (début XXème) qui a travaillé sur le mot "abeille" [abɛj] dont la

Venise, 1472 ! Ecritures indiennes La devanagari, du sanskrit !वनागरी (transcription et translittération IAST devanāgarī), est une écriture alphasyllabaire utilisée pour le sanskrit, le hindi, le népalais, le marāthī et plusieurs autres langues indiennes. Elle fait partie de la famille brahmique. Ecriture alphasyllabaire : chaque consonne possède une voyelle inhérente (ӑ). Si on prononce une autre voyelle, alors on modifie le signe de la consonne. IS O k kh g gh ṅ c ch j jh ñ ṭ ṭh ḍ

Bible et de l'ordre de la Nature, et que les emblèmes des deux grands principes qui sont les piliers de l'univers, ils tenaient dignement sur le seuil de ce temple qui a été conçue pour symboliser tous les mystères de Être. Dans toutes les langues sémitiques du stock les lettres J et Y sont interchangeables, comme on le voit dans l' arabe moderne "Yakub" pour "Jacob" et l'ancien hébreu "Yaveh" pour "Jéhovah". Cela nous donne la forme "Yachin," qui révèle à la fois l'énigme. Le mot signifie Yak

ligne, à chaque mot, la langue me manque et l’insuffisance du vocabulaire est telle que je suis forcé de changer des détails très souvent »6. Entre la langue obscure de Carthage (le « charabia » - le punique est une langue sémitique) et le français (le « françoys » archaïque et stérile), la langue « manque », elle souffre, et ce qu’elle évoque peu à peu s’en trouve transformé. « Je suis forcé de changer des détails très souvent » ou, si l’on veut, la recherche de cette langue manquante m’amène à dire

d’Indo-européen, qui fut retenu par les savants occidentaux et qui permettait d’ignorer la prétendue filiation directe entre Indiens et Germains. 4. Sur le sujet, consulter L. Poliakov, Le mythe aryen, Paris, Calmann-Lévy, 1994, 435 p. et M. Olender, Les langues du Paradis. Aryens et Sémites : un couple providentiel, préface de Jean-Pierre Vernant, Paris, Seuil-Gallimard, 1989, 213 p. LA QUESTION DU « TOURANISME » DES RUSSES 243 Le Touran, un concept linguistique ou politique ? Au XIXe siècle, les interrogations