Le Bonheur Dans Madame Bovary

jusqu’à sa mort corriger Flaubert comme il corrigeait les devoirs de ses élèves. Il est remarquable que l’homme de talent ait eu sur l’homme de génie une influence incomparablement plus grande que l’homme de génie sur l’homme de talent. Ce fut un des bonheurs de Flaubert de posséder cette amitié vigilante, scolaire, utile. Et si lui qui n’aimait pas Racine admirait Boileau, c’est qu’il avait, comme Racine, son Boileau. Cette même année, fut-ce sa Du Parc ou sa Champmeslé qu’il eut ? En tout cas, comme

HISTOIRE LITTERAIRE FRANCAISE PAR MOUVEMENTS. * XVIème siècle : * L’humanisme : se propose de replacer l’homme au centre de la conception du monde en vue de son bonheur, d’encourager le savoir, et de répandre toutes les formes d’art. Ex : Erasme,Eloge de la folie  ; Rabelais,Gargentua ; Montaigne,Essais… * La pléiade (2ème moitié du siècle) : groupe de sept poètes cherchant un renouveau de la poèsie et de la langue française, et replongeant dans les grands thèmes antiques.

monde d'habitudes paisible et insignifiant. Cependant, cette description est parcimonieuse et métamorphose la réalité. Le verbe « miroitait » traduit métaphoriquement le mirage qui anime Emma. Les images de grandeur, « plus vague que Emma Bovary, jeune mariée, mène à Yonville une vie qu'elle juge médiocre et peu conforme à ses rêves. Elle se met à imaginer la vie parisienne. Paris, plus vague que l'océan, miroitait donc aux yeux d'Emma dans une atmosphère vermeille. La vie nombreuse

| | |MARIVAUX, Le Paysan parvenu, l’incipit et extrait du ch 1 | | |FLAUBERT, Madame Bovary , extrait de l’incipit | | |ZOLA, L’Assomoir ch X, portrait de Gervaise p 27 Hatier Littérature 1e

dont Jean François Millet «  les glaneuses », des paysannes recherchant des épis de blé pour se nourrir. Théodore de Rousseau «  la clairière dans la petite futaie » , Rosa Bonheur «  labourage nivernais » qui comme on peut le voir des bœufs incroyablement réalistes faire le labour de la terre afin de l’aérer. Honoré Daumier (1808-1879) est non seulement

bataille pdt guerres napoléoniennes, son récit va s’insérer dans le récit de sa rencontre avec l’avoué. Manon Lescot , François Prévost chevalier Dégrieux entame un récit dans un autre récit. « Nous » Flaubert dans Bovary (épisode du Chabovary). · Instance extérieure au récit : NARRATEUR

phrase exclamative du roman de Balzac : "A nous deux maintenant !". Aussi, la réussite du jeune homme est retrouvée dans un autre roman de La comédie humaine qui est Illusions Perdues. Repères chronologiques. Madame Bovary, Gustave Flaubert, 1857 (manuel p.292-293) Madame de Bovary, est un ouvrage littéraire qui a été inspiré par deux faits divers : l'affaire Delamare et l'affaire Loursel. L'affaire Delamare, qui date de 1844, met en scène un veuf qui se remarie avec une jeune fille de dix-sept

Raymond et aimée par Sir Ralph Brown. Dans son oeuvre, Sand attache plus d’importance aux épanchements des personnages qu’à leurs actions. Chateaubriand fait de même dans Atala ; il s'exprime avec exaltation sur l’amour et la mort, la peine et le bonheur. Attala évoque une passion tragique où l'héroïne se suicide. Ces deux exemples nous montrent à quel point le roman peut nous transporter dans une dimension fantasmatique et bouleversante, agréable aussi, car libératrice, presque cathartique...

en France où il commence alors sa carrière d’écrivain. Son premier grand succès en 1877 est L’assommoir. Cette reconnaissance lui permet de rencontrer d’autres grands écrivains comme Maupassant. Les livres suivants confirment sa réussite; Nana, Au bonheur des dames, Germinal ou L’Œuvre. Zola gagne alors de 80 000 à 100000 francs par an. Il écrit beaucoup de romans qui ont l’un après l’autre un grand succès ; Ses œuvres donnent alors au naturalisme une réussite éclatante. Le 29 septembre 1902, Zola

prince de Clèves, ébloui par sa beauté, la demande en mariage. Mademoiselle de Chartres accepte ce mariage de raison. Trop tard, la Princesse de Clèves rencontre le duc de Nemours. Naît entre eux une passion immédiate et partagée, à laquelle sa mère, Madame de Chartres la conjure de renoncer : « ne craignez point de prendre des partis trop rudes et trop difficiles, quelque affreux qu’ils vous paraissent d’abord : ils seront plus doux dans les suites que les malheurs d’une galanterie ». Le roman décrit