Le Lézard

tandis que le bras droit est baissé. Le visage, s’inscrivant dans un ovale parfait est très bien détaillé. A sa gauche, le personnage s’appuie sur un tronc d’arbre, lisse sans aucun détail pouvant représenter l’écorce. Sur le tronc nous apercevons un lézard « à longue queue », se trouvant dans le champ de vision du dieu. Ainsi, s’agissant d’un dieu, nous essayerons de comprendre à quelle évocation mythologique cette sculpture pourrait faire écho et quelle pourrait en être son interprétation. ***

plan: I. La violence et la cruauté de l'Homme: 1. un fonctionnement mécanique et instinctif, une absence de conscience 2. Animalisation de l'Homme 3. L'isotopie de la violence II. La place de la Nature : 1. Personnification de la nature 2. Le lézard, une métonymie de la nature? 3. les signe d'une "réaction" de la nature III. Emergence d'un questionnement philosophique sur la vie: 1. La multiplication des questions 2. de la gêne a la prise de conscience 3. un changement de point de vue I

recherches sur ce domaine, nous avons découvert l’existence du lézard Basilic, qui est devenu le centre de notre projet. Afin de nous aider dans nos expériences, nous nous sommes rendues à l’ESPCI et avons rencontré après plusieurs échanges de mails Etienne Reyssat, étudiant en dernière année de thèse et spécialisé dans la mécanique des fluides. 2 Sommaire I. Le lézard basilic : présentation (page 4) II. Modélisation du lézard (page 5) 1. Expérience des plaques 2. Le coureur motorisé

BIODIVERSITE ET EVOLUTIONCORRECTION DES EXERCICES (PGES 82-85)❶QCM 1. b. L’évolution de la biodiversité s’observe par la modification des génomes et des espèces. 2. b. La dérive génétique peut éloigner génétiquement deux populations de la même espèce. ❷Formuler une connaissance a. Les crises biologiques sont des modifications brutales et importantes de la biodiversité. b. La dérive génétique provoque des modifications au hasard de la fréquence allélique dans une population. c. La sélection naturelle

comme les tourbières.Sa faune L’animal emblématique de la Fagne est le tétras-lyre, appelé aussi petit coq de bruyère. C’est un animal protégé que l’on trouve en nombre très limité dans la Fagne. On y rencontre encore des petits lézards, des orvets mais aussi de plus grands mammifères comme le cerf, le sanglier ou le chat sauvage.Sa floreLes plantes que l’on trouve en Fagne sont principalement des plantes de tourbière comme la drosera (une plante carnivore), la linaigrette ou encore

découvert des cristaux qui se révèlent être source d'électricité, protégés par une race primitive d'hommes-lézards. Le narrateur, Kenton J. Stanfield, est l'un des employés chargés de collecter ces cristaux. Il est équipé d'un appareil fournissant de l'oxygène – l'atmosphère de Vénus étant irrespirable -d'une combinaison de cuir, ainsi que d'une arme qui lui permet de se protéger des hommes-lézards. Lors d'une mission de routine, le narrateur rencontre une étrange structure : un labyrinthe dont les

4- Quelle « force évolutive » intervient dans l’évolution de cette population ? Pourquoi ? ▪ EXERCICE 3 : Une évolution rapide de la biodiversité  Le Lézard Podarcis Sicula introduit en 1971 sur l’île de Pod Mrcaru. Vous illustrerez l’émergence très rapide d’une nouvelle espèce de Lézard à partir d’une évolution de la population des Lézards introduits sur l’île en utilisant les documents fournis.  Le schéma, réalisé à partir des légendes fournis, indiquera les modifications issues de mutations

que le lézard basilic, le spécimen clé de ce travail. Le mot clé principal étant ce lézard, nous avons d'abord effectué de nombreuses recherches sur celui-ci, d'abord dans des encyclopédies animales au CDI et ensuite sur les moteurs de recherche Internet tel Google, dans le seul but de comprendre et d'analyser ses mouvements et ses caractéristiques physiques, qui lui permettent de courir sur l'eau. Durant notre travail, nous avons également sollicité de l'aide extérieur concernant le lézard basilic

droite. Carcasse, où est ta place ici, gêneuse, pisseuse, pot cassé ? Poulie gémissante, comme tu vas sentir les cordages tendus des quatre [mondes ! Comme je vais t’écarteler! Henri Michaux. II Francis Ponge, « Le Lézard », Le Parti-pris des choses (1942) Recueil : « Prendre le parti des choses », c’est tenter de les saisir telles qu’elles sont et de faire coïncider –telle est l’utopie pongienne – les mots avec elle. Le poète, avec humilité et aussi humour

L'interaction lézard/cactus : les fruits produits par le cactus sont mangés par le lézard. Une fois digérées, les graines se retrouvent dans les excréments et germent. L'intérêt du lézard est de trouver une source d'eau dans les fruits, celui du cactus est de trouver un moyen de dissémination dans les graines. Le cactus montre des adaptations à cette association (mutualisme) : ils produisent des fruits sucrés et riches en eau attirant les lézards et les fruits sortent à des heures où les lézards sont actifs