Le Maître et Marguerite

Le Roi se meurt, Eugène Ionesco, 1963. Lecture analytique,  extrait 5 : « Il perçoit encore les couleurs […] 15 novembre 1962 » P.135-137 Problématiques possibles : Comment s’effectue le glissement vers la mort ? OU Comment la tirade de Marguerite crée-t-elle un univers qui dépasse le tragique et touche au symbolique et au mystique ? OU Quel sens peut-on donner à ce dénouement ? Introduction : Le théâtre de l’absurde naît suite aux traumatismes de la Seconde Guerre Mondiale et propose une

de phtisie, Marguerite Gautier, et un jeune bourgeois, Armand Duval. La narration de cette histoire d’amour constitue un récit dans le récit, puisqu’Armand Duval raconte son aventure au narrateur initial du roman. Amoureux de Marguerite, Armand devient son amant et obtient que Marguerite renonce à sa vie de courtisane pour habiter avec lui à la campagne. L’idylle est rompue par le père d’Armand, qui obtient que Marguerite renonce à Armand, lequel va croire jusqu’à la mort de Marguerite que celle-ci

fais le serment, s'exclame le prêtre. Le prêtre avait déjà une vache, elle se nommait Marguerite. Il les attache toutes les deux avec une corde dans un pré toute une nuit en pensant qu'elles pourraient s'accoupler. Malheureusement ce sont deux femelles. Jelly ne pouvait supporter de rester attachée loin de ses maîtres. La vache tira tellement fort sur la corde qu'elle la brisa. Jelly et Marguerite allèrent jusque chez le vilain et sa femme là ou elles finissent leur nuit. Le prêtre

perdre tout pouvoir sur sa vie. Il a un comportement puéril et capricieux. * Marguerite : Première épouse du roi durant son acceptation elle l’aidera de façon raisonnable et sensée sans montrer beaucoup d’affection. * Marie : Seconde femme du roi, elle va soutenir Bérenger en essayant de lui faire croire qu’il ne va pas mourir, elle contredit Marguerite. Elle est égoïste. * Le médecin : Il est du côté de Marguerite, il raisonne de la même façon et appuie les arguments de la 1ère reine en donnant

choses que des caractères qui les mettent en œuvre. » (Beaumarchais) En vous appuyant sur le corpus de documents et sur les pièces que vous connaissez, vous commenterez et apprécierez cette affirmation. • Sujet III : Écriture d’invention « Je suis maître, je parle : allez, obéissez » (Corneille, Sertorius, et Molière, L’École des femmes). Imaginez deux scènes de théâtre, l’une comique et l’autre tragique, dans lesquelles figurera cette réplique. (16 points) (4 points) -1- 1re ES et S Document

septembre 1902, à Paris. En 1862, il est directeur du service de publicité chez Hachette. Il devient journaliste et écrivain (1862- 1867) puis écrivain naturaliste (1867-1877), Triomphe de l'Assommoir (1877) qui installe Zola dans la position de maître du naturalisme. Il fait ensuite son retour dans le journalisme politique avec une lettre, J'accuse… ! (1898). Ses principales œuvres sont Thérèse Raquin, Le titre générique Les Rougon-Macquart (L'Assommoir, Nana, Germinal) puis Le Roman expérimental

Il intègre aussi, et c’est ce qui est innovant, le drame de Marguerite, nouveau personnage dont Faust va s’éprendre aux côtés de Méphistophélès. Quelques auteurs intéressés par Goethe ont émis l’hypothèse qu’il s’agisse en fait de Gretchen, le premier amour de l’écrivain (à 15 ans). Toute une tragédie de l’amour, quasi omniprésente dans le Faust définitif. Le premier s’achève sur une note restée en suspens, celui du sort de Marguerite : VOIX (de l’intérieur, s’affaiblissant en écho) Henri, Henri

l'échec total de la Damnation à Paris. Elle triomphera plus tard en 1847 à Saint-Péterbourg et Berlin. Il est incontestable qu'à travers cette musique magistrale, Berlioz avait tenté d'innover en matière de dramaturgie musicale. Il fut non seulement le maître fascinant d'un ensemble monumental, constitué du chœur et de l'orchestre, mais aussi l'inventeur d'une musique psychologique et d'une nouvelle palette de sons qui s'expriment dans sa " légende dramatique ". Cette œuvre fait penser à une peinture

-Impossible de dater la scène (Living room confondu avec trône, fenêtre ogivale qui fait référence au moyen âge, radiateurs) -Le roi : bigame, il possède tous les attributs royaux, allure (« pas assez vif »), on assiste à la déchéance physique. -Marguerite : 1ere épouse -Juliette : femme de ménage et infirmière -Marie : 2eme épouse, jeux sur les chiffres de la part de Ionesco, coquette, Répétition (suivi de Juliette, effet comique) -Le médecin : polyvalent, rôle paradoxale : il soigne et il tue

gouverner, son pouvoir sur les autres, signe que les autres personnages ne le considèrent plus comme un roi :  Perte de son autorité : plus personne ne lui obéit le garde obéit aux ordres de Marguerite, mais pas à ceux du roi même Marie, qui voudraient lui obéir, n’y parvient pas  C’est désormais Marguerite qui semble diriger le royaume. Comportement puéril : tout au long de la pièce, il se comporte comme un enfant : il a des réactions et des geste enfantins.  Comportement absurde :   Persuadé qu’il