Le Plateau Sud Camerounais

Cameroun couvre une superficie de 475 .442 Km ², mesuré du Sud à l’extrême Nord, c’est un triangle de 1200 Km de hauteur avec une base d’OUEST en EST de 800 Km. En effet, le relief du territoire camerounais est très diversifié, la similitude des facteurs géographiques permet de diviser le territoire en cinq grande zones (voire fig.1), a savoir : Le plateau de l’Adamaoua La plaine côtière Les hauts plateaux de l’ouest Le plateau Sud-Camerounais La plaine du Nord et les monts Mandaras Toutefois nous essayerons

sahéliennes, au nord, jusqu'à à la côte atlantique, au sud-ouest, et à la forêt équatoriale au sud-est. Le Cameroun est entouré par le Nigeria, le Tchad, la République centrafricaine, le Congo, le Gabon et la Guinée-Equatoriale. Le Cameroun est l’un des pays les plus variés d’Afrique tant sur le plan ethnique que géographique. Son territoire de 475442km² bénéficie d’un relief original. Des profondes forêts du sud à la savane arbustive du plateau central de l’Adamaoua ou des plaines inondables en bordure

THEME: Le plateau de l'Adamaoua INTRODUCTION Le plateau de l'Adamaoua est situé entre les plaines du nord et le plateau sud camerounais entre le 6ème et le 8ème degré de l'altitude nord. Il a une superficie de 69701 km2 environ. Il regroupe 05 départements et 21 arrondissements. Les principaux groupes humains sont les Mboum, les Duru, les Tikar, les Bayas, les Peuls. 1- ETUDE PHYSIQUE a- Le relief Le plateau de l'Adamaoua est une zone surmontée de massifs dune altitude moyenne

hautes terres de l’Ouest : Les sols volcaniques sont très fertiles, on y cultive le café (arabica, robusta), le cacao, le thé, le tabac, les cultures vivrières pour approvisionner les grandes villes  (mais, haricot, arachide, macabo). Dans le plateau Sud Camerounais : Ici on trouve le macabo, la banane, la banane plantain, le manioc. Les cultures commerciales sont dominées par le cacao, le café, le tabac, canne à sucre, palmier à huile. Dans les plateaux de l’Adamaoua : L’agriculture est secondaire et

Familles de situations : L’intégration nationale Catégories d’actions : La promotion du développement intégré Module I : Le Cameroun, pays des diversités Chapitre 1 : La diversité des ensembles biogéographiques LEÇON 1 : LA DIVERSITE PHYSIQUE DU CAMEROUN Durée : 02 heures Notions : Relief, Climat, Végétation, Hydrographie, biogéographie. Prérequis : Situation géographique du Cameroun. Exemple de situation : Les contrastes de végétation au Cameroun. Exemples d’actions : S’approprier

29 juillet 2008. *'''Essos''' : Grand quartier populaire du centre-est de Yaoundé. *'''Mimboman''': Quartier populaire du centre-est de Yaoundé. *'''Madagascar''' : Quartier populaire du nord-ouest de Yaoundé. *'''Mendong''' : Situé au sud-ouest de Yaoundé, le quartier s'est développé tout autour du camp SIC construit au début des années 1980. Mendong abrite un lycée et plusieurs établissements privés d'enseignement secondaire, ainsi que deux écoles maternelles publiques, une école primaire

d’une république unie C- Economie D- Tourisme et patrimoine : à la découverte du cœur de l’Afrique II : IMPACT DU TOURISME SUR L’ECONOMIE CAMEROUNAISE A- Options gouvernementales B- Retombées économiques et financières C- Handicaps du tourisme camerounais Troisième partie : ADOPTION DE LA POLITIQUE DE TOURISME DURABLE ET DEVELOPPEMENT DE L’ECOTOURISME AU CAMEROUN I : ADOPTION DU TOURISME DURABLE AU CAMEROUN A- planification B- administration et évaluation de l’impact sur l’environnement C- normes

on observe généralement des quartiers de cadres expatriés bien construits et des quartiers des nationaux. Ailleurs, la ségrégation est liée à la difficulté d’intégration (ou de mélange) entre les différents groupes raciaux par exemple en Afrique du Sud, aux USA. Dans les pays du 1/3 monde, c’est le regroupement ethnique qui est le plus souvent observé et qui conduit au développement de quartiers habités en majorité par les ressortissants d’un même groupe ethnique et qui porte généralement le nom

signale sur la scène politique nationale et à la communauté intellectuelle en évoquant et en fustigeant lors d’un débat télévisé, l’existence d’un « triangle équilatéral » dont les cônes se partageraient le pouvoir au détriment des autres peuples camerounais. Il a aussi, à d’autres occasions, constatant les menaces fortes qui pesaient sur les autochtones, devenus minoritaires2 dans leurs régions d’origine, proposé l’instauration du « village électoral » comme solution devant permettre la bonne expression

méritent cependant d’être visités. C’est ainsi que sur la base de recherches menées au sein de cette communauté, il nous a semblé nécessaire d’examiner dans quelle mesure le fait religieux, bien que pas du tout mis en avant par la majorité de Camerounais dans leur principale zone d’accueil en migration qu’est l’Ile-de-France, interférait significativement dans la dynamique migratoire de ce groupe au point parfois de cristalliser des postures flirtant avec un certain extrémisme naissant dans la région