Le Role Du Bouffon Dans La Société

Sommaire 1 Origine 1.1 Origines lointaines 2 Étymologie 3 Sur scène 4 Dans la rue 5 Son habit 6 uvres où figure Arlequin 7 Notes 8 Références Origine Origines lointaines Arlequin vu par Maurice Sand, 1860. Elles relèvent des « sannions » ou « bouffons » qui jouaient les fables atellanes, ainsi nommées de la ville d'Atella, d'où ils étaient venus, vers les premiers temps de la République romaine, pour ranimer les Romains découragés par une peste affreuse... Cicéron, émerveillé de leur jeu, s'écrie

pardonne leur maître et leur redonne leur ancien rôle. Trivelin arrive et leur dit que c’est la moral qu’il voulait leur inculquer. V) le thème de cette comédie est l’utopie : Le cadre utilisé pour le déroulement de l’histoire est un cadre idyllique l’inversion du rôle dominé/dominant A leur arrivée sur l’île, Trivelin qui en est le magistrat leur impose d’inverser leur rôle car cette île est l’île des esclaves : les esclaves

sont promises (voir la scène avec Charlotte et Pierrot). Dom juan est le maître du jeu. Il transgresse les règles sociales, il vit à l'écart, il est constamment en fuite (face aux frères d'Elvire notamment), et il représente un danger pour la société dans la mesure où il séduit toutes les femmes. Il est transgressif vis-à-vis des règles imposées par sa naissance, sa noblesse et son père. Il n'éprouve aucun respect envers ce dernier et lui souhaite même de mourir (acte IV). Il refuse de régler

marc Moura dans « quelle politique du rire ?’ article tiré du quotidien le monde de mai 2010 , ou il analyse les causes qui poussent les français à se moquer des politiques . Dans un autre texte de la même année « quand les politiques bouffent du bouffon» b.icher et G renault réfléchissent aux pression qu’exerces les politiques sur les comiques. Pierre Deproges en 1986 , comique français qui à travers son sketch « la démocratie»nous poussent à nous interroger sur notre régime politique après l‘assassinat

ancienne. Au moyen âge, les mystères (avec souvent des scènes réalistes et comiques), les miracles (édifiants et religieux), la moralité (édifiante et satirique), monologue comique (sermon joyeux plein de verve), la sotie (satire et fantaisie bouffonne), la farce surtout. Ces genres déclinent au XVIème s. souvent condamnés pour leur grossièreté. Les Humanistes méprisent ces vieux genres, Du Bellay préconise le retour à la tragédie ou à la comédie antiques. Les auteurs sont alors Jodelle, jacques

intervention de la femme-bouffon Aléfa qui permettra à sa jeune voisine Livie de résoudre la crise existentielle qu’elle traverse. Habitée d’un besoin de confort et de sécurité matérielle difficile à satisfaire dans la vie qu’elle partageait avec son mari saltimbanque, la jeune femme l’avait quitté pour retourner dans sa famille. Au cours d’une fête donnée en l’honneur de son retour au bercail, elle était, sous l’effet de l’alcool, devenue la proie d’un fantasme dans lequel Aléfa tenait le rôle principal et

discours avant d’amorcer l’exposition : Mais c'est assez de cette matière. Reprenons un peu notre discours Le discours de Sganarelle relève en apparence du burlesque*. Le fait que Molière confie les premiers et les derniers mots de sa pièce au valet bouffon inscrit la pièce dans le genre de la comédie (parfois même de la farce) . La tirade initiale de Sganarelle exploite plusieurs effets comiques ; - Elle est d’abord un éloge paradoxal [ c’est un exercice de style, hérité de l’humanisme qui est

nourriture et vin, des bouffons divertissent les invités et des ménestrels jouent de la musique et chantent. Les invités de marque sont assis à la table d'honneur. Les banquets sont aussi l'occasion au seigneur de montrer sa puissance. Les mets les plus recherchés au Moyen Age sont le paon, le cygne et la baleine. Alors qu'aujourd'hui les mets les plus recherchés sont le foie gras, les truffes, le caviar et les langoustes. Ils mangeaient avec leur doigts. A la fin du repas , bouffons et acrobates font

principaux: -Les “zanni” ou “valets-bouffons”. -Les “maîtres” ou “vieillards”. -Les amoureux. Les “Zanni” C’est le personnage comique le plus connu de la Commedia dell’arte. A la base, il portait une tenue de paysan en toile grossière, pour montrer sa pauvreté. Peu à peu, il aura des vêtements colorés( symbole de sa gaieté). C’est un meneur de l’intrigue, il joue le rôle du valet rusé. Il portait parfois un masque noir. Il fait parti des zannis ou “valets bouffons”. Arlequin (Arlecchino) C’est

comment Molière qui interprète le personnage de Sganarelle exploite les effets comiques du contraste entre l’apparence savante du discours et son sujet trivial (vulgaire). Molière confit les premières et les derniers mots au valet bouffon dont il interprétait le rôle, comme si il voulait revendiquer l’appartenance de Dom Juan au genre de la comédie. La tirade initiale exploite en effet plusieurs procédés comiques, à commencer par la forme de l’éloge paradoxale qui sera reprise par le héros dans