Les Adieux D Hector Et D Andromaque

photographie », Salon de 1859, p. 743-750 ; Le Peintre de la vie moderne, p. 790-815. 9 Arthur Rimbaud, Œuvres complètes, éd. Pierre Brunel, Paris, Le Livre de Poche, coll. « La Pochothèque », 1999 : « Chant de guerre parisien » [1871], p. 239-243 ; « Adieu », Une saison en enfer [1873], p. 441. 10 Le coup d’envoi est donné malgré lui par Manet (avec le scandale d’Olympia et du Déjeuner sur l’herbe) et surtout par Baudelaire, qui ouvre malgré son aspiration à l’éternel le culte de l’Inconnu, formellement

narratifs offrent la mise en scène lugubre des derniers moments de Léonce. La dramatisation de l’épisode tient au rituel de l’exécution : voiture qui conduit le condamné sur le lieu du supplice, traversée du peloton, séparation et cérémonie des adieux, ultima verba. La scénographie laisse affleurer le souvenir douloureux des exécutions publiques, encore très présent dans la mémoire de lecteurs qui ont connu et qui ont pu être victimes des événements révolutionnaires. En arrièreplan, Delphine

narratifs offrent la mise en scène lugubre des derniers moments de Léonce. La dramatisation de l’épisode tient au rituel de l’exécution : voiture qui conduit le condamné sur le lieu du supplice, traversée du peloton, séparation et cérémonie des adieux, ultima verba. La scénographie laisse affleurer le souvenir douloureux des exécutions publiques, encore très présent dans la mémoire de lecteurs qui ont connu et qui ont pu être victimes des événements révolutionnaires. En arrièreplan, Delphine

c’est sale… » (p. 21). Quant à lui, il n’a plus d’argent, mais il a l’habitude, et il a rencontré des copains « je crois que la misère va commencer, mais une misère rigolote… », car ils festoient pour le 14 juillet. Et il conclut avant de signer : « adieu, à plus loin » (p. 22), comme si son espace modelait son action et son temps, et c’est bien le cas. L’espace est en train de diffuser ses leçons par la pratique, et de faire oublier les cartes et les leçons d’école. Mais quand le jeune Léon s’apercevra-t-il

iconographiques dont nous avons choisi d’illustrer certains aspects de notre thèse 293 .) La mode dite satanique des romantiques n’est cependant qu’une effronterie juvénile fort superficielle, sans connotation du péché, ou le vertige du mal. Le démon inspire Hector Berlioz et sa Symphonie fantastique (dont la cinquième partie a décrit Le rêve d’une nuit de sabbat) mais surtout les dessinateurs, comme Gavarni, Daumier ou Ramelet. Il devient dandy. « Dans un genre très différent, l’abbé Alphonse-Louis Constant

in the twelfth century and alleged to retrace the life of Godefroi de Bouillon (d. 1100), a variant of hagiographic fiction. Although Latin sources were used in the thirteenth century for less fanciful portraits of classical figures like Alexander, Hector and Julius Caesar, both chronicle and historical biography were committed to the general apocryphal and hortatory approach to all kinds of writing. The Histoire de Saint Louis (1309) of Jean de Joinville (b. 1225) was still locked into the hagiographic