Les Cent Vingt Journées de Sodome

Les 120 journées de Sodome (Simo) Bonjour !! Aujourd’hui nous allons vous parlez d'un Livre assez choquant pour plusieurs d’entre vous ; Les 120 journées de Sodome du Marquis de Sade.  Commençons tout d’abord par l'auteur :  ʻJe suis l’homme de la nature avant d’être celui de la sociétéʼ, disait-il ! Longtemps réduit, paradoxalement, au statut d'écrivain pornographique, le marquis de Sade est aujourd'hui considéré comme une illustre figure du patrimoine littéraire français. Derrière sa plume

Safa Théo Annaëlle Le 120 Jours de Sodome : Livre et film controversé Bio du Marquis de Sade : -Naissance : 2 Juin 1740(France) -Décès : 2 Décembre 1814 à 74 ans dans un asile. Ecrivain,romancier,philosophe et homme politique. Souvent emprisonné sous tous les régimes politiques(monarchie,république,consulat ou même empire), pour divers motifs dettes, empoisonnement et sodomie, puis enlèvement et abus sur des jeunes filles, et enfin espionnage. Bio de Pier Paolo Pasolini : -Naissance

mort de sa mère. Malgré les interventions de sa femme, il va passer cinq années dans le donjon de Vincennes, écrivant pièces de théâtre et romans pour tromper son ennui. Avant d'être transféré à la Bastille où il commence la rédaction de Cent vingt journées de Sodome (1785). En juillet 1789, dix jours avant la prise de la bastille, il est transféré à Charenton, dans un asile de fous. Il doit abandonner sa bibliothèque de six cents volumes et ses manuscrits. Il recouvre la liberté en 1790. Sa femme

possibilité. Il fut de nombreuses fois censuré, on saisit ses écrits. Lors de ces cinq années dans le donjon de Vincennes, il écrit plusieurs pièces de théatres et romans avant d’être transféré à la Bastille où il commence à écrire les Cent vingt journées de Sodome (1785) puis deux ans plus tard Les infortunes de la vertu et Aline et Valcour. En juillet 1789, dix jours avant la prise de la Bastille, Sade est transféré à Charenton dans un asile et abandonne de ce fait sa bibliothèque de six cents

réalisation, et parfois même contre sa réalisation. b) le plaisir dans le désir et non dans sa réalisation. On retrouve notamment chez un auteur comme Sade un éloge du désir lui-même indépendamment de la jouissance. Dans les Cent Vingt Journées de Sodome le libertin Durcet tient les propos suivants : « ce n’est pas dans la jouissance que consiste le bonheur, c’est dans le désir, c’est à briser les freins qu’on oppose à ce désir ». Le bonheur que définit Sade est un bonheur lié à la désobéissance

pourrait tout autant symboliser le château de la Bastille, où le divin marquis avait été emprisonné, ou le château dans lequel sont enfermées les victimes dans les Cent Vingt Journées de Sodome, roman classique du marquis de Sade, et dont Man Ray avait eu l'occasion de photographier le manuscrit. Or, dans les Cent Vingt Journées de Sodome, les victimes sont enfermées, torturées, la plupart sont tuées – mais dans un but sensuel, puisqu'il s'agit de victimes sexuelles. Il y a donc une certaine proximité

d’intrigues amoureuses… c’est aussi autour de la gastronomie que se nouent les amitiés et que se font ou défont les réputations. C’est pourquoi, les scènes de repas foisonnent dans la littérature libertine. Le souper est un moment privilégié de la journée mondaine de la même façon que les promenades, les sorties au théâtre et à l’Opéra. En général, dans les romans libertins, la rencontre se fait dans un lieu public et la sympathie qui émane de cette rencontre donne souvent lieu à une invitation à dîner

clandestines comme Justine ou les Malheurs de la vertu, La Philosophie dans le boudoir, Les Cent Vingt Journées en Sodome ou l’école du libertinage. Plusieurs des œuvres clés de la littérature érotique après le XIX siècle ont ses bases sur les œuvres du Marquis de Sade. Il a écrit cette œuvre pendant il était emprisonné à la prison de la Bastille, les pratiques et idéologies représentées pendant l’histoire du 120 journées en Sodoma reflètent sa philosophie libertine dans laquelle il fait une forte critique

sa mère. Malgré les interventions de sa femme, il va passer cinq années dans le donjon de Vincennes, écrivant pièces de théâtre et romans pour tromper son ennui, avant d'être transféré à la Bastille où il commence la rédaction des Cent vingt journées de Sodome (1785) puis, deux ans plus tard, Les infortunes de la vertu et Aline et Valcour. En juillet 1789, dix jours avant la prise de la bastille, il est transféré à Charenton, dans un asile de fous. Il doit abandonner sa bibliothèque de six cents

L’Emile ou l’Education pour Rousseau. * Lettre sur la tolérance, Traité sur le gouvernement civil, Essai sur l’entendement humain de John Locke. Ainsi que de nombreuses autres moins influentes mais importantes comme : * Les Cent vingt Journées de Sodome du Marquis de Sade * Des délits et des peines de Cesare Beccaria * Contes moraux, Les Incas, Nouveaux contes moraux de Jean-François Marmonteil Page 7