Les Contes Alphonse Daudet

elle, incarne … l’essence d’une situation. b. des lors c. dès lors d. depuis lors a. alors 76 L’auteur fait preuve d’une certaine … aux grands voyages. c. inclination d. tendance a. propension b. inclinaison 77 Loin de nous … les oreilles avec ses contes extraordinaires. a. rabattre b. rabâcher c. rebacher d. rebattre 78 Il nous ravit en les racontant avec … de détails a. une luxure b. luxuriance c. un luxe d. une pléthore Questions 79 à 84 ; Cf. pages 326-327. Questions 85 à 90 pages 223-224. e.

fictive des Verdurin. ‘Gabriel de Saint-Aubin: dessinateur, peintre et graveur du XVIIIme siècle (1724-1780). L'Huître et les Plaideurs: fable de La Fontaine, IX, 9. L'édition des Fermiers généraux n'existe pas pour les Fables (il y a une édition des Contes), mais Mme Verdurin intervient immédiatement, pour chasser les références italiennes ou dix-huitièmistes de son époux au profit du japonisme qui, à la fin du siècle dernier, caractérise aussi les goûts d'Odette. Swann est d'ailleurs présent à cette

même le sourire, mais la grimace de la France; que le véritable esprit de la France était un esprit d'examen, de logique, d'amour et de pénétration patiente; et que, si cet esprit-là n'avait pas animé La Fontaine, il aurait peut-être bien écrit ses contes, mais jamais ses fables, ni cette admirable épître (j'ai montré que je la connaissais) dont sont extraits les quelques vers qu'on nous donnait à commenter. Oui, mon vieux, une charge à fond, qui va peut-être me faire recaler. Mais je m'en fous; j'avais

go. Elle pond un petit Jacques qui meurt. Un an plus tard, elle pond une petite Jeanne qui atteindra l’âge respectable de trente-deux ans avant de mourir en couches. Un an plus tard, elle pond un petit Jean qui meurt vite, un an plus tard un petit Alphonse qui meurt vite et, encore un an plus tard, une petite Éléonore qui meurt vite. En emportant sa mère avec elle. Cinq ans de mariage, cinq bébés, cinq morts. Avec obstination, Jean se remarie. Sa nouvelle épouse se nomme Yolande de Bar. Celle-ci fait

la même année et de plus les succès se sont succédé. Georges Feydeau est déjà intégré à part entière dans le cercle culturel et rencontre chez Lucien Guitry, Anatole France, Edmond Rostand, Octave Mirbeau, Alfred Capus, Jules Renard, Alphonse Allais. Probablement grâce à l’intervention d’Alexandre Dumas fils, il est nommé Chevalier de la Légion d’Honneur. Le triomphe de « La Dame de chez Maxim » lui permet pendant deux ans de se consacrer exclusivement à un autre de ses

la cour ». On peut penser que François Ier a pu apprécier l’intelligence de deux maîtresses femmes, sa mère et sa sœur : la première se montra un véritable « homme d’État » ; la seconde, un immense esprit, passant du Miroir de l’âme pécheresse aux contes de L’Heptaméron... Si cette présence féminine n’implique nullement une égalité des sexes, impensable pour l’époque, elle tend cependant à modifier les comportements dans le sens d’une plus grande civilité. L’influence féminine est double : elle polit

français), dans sa traduction anglaise. Publié en 1905 par la Maison Mazarin (Paris), ce livre rassemble plusieurs fictions d’écrivains couronnés par l’Académie française, comme Emile Souvestre, Pierre Loti, Hector Malot, Charles de Bernard, Alphonse Daudet, etc. Disponible en avril 2002, le 5 000e texte est The Notebooks of Leonardo da Vinci (Les Carnets de Léonard de Vinci), qui datent du début du 16e siècle. Un texte qui, en 2007, se trouve toujours dans le « Top 100 » des livres téléchargés.

Juliette a revêtu une longue robe claire, sûrement blanche, aux manches bouffantes ; sa coiffure est apprêtée. Quant à Roméo, il porte un costume d’apparat avec des épaulettes brillantes ; les broderies sur son pantalon évoquent des personnages de contes de fées. Un tel costume est typique des Européens nobles et riches représentés par les studios hollywoodiens. Les costumes nous apprennent ici que les personnages ont été transposés dans un autre monde et une autre époque bien éloignés de la e Vérone

strange touches of humanity ; L Hdritage^ xiv Guy de Maupassant the outcome of Maupassant's official career, a mas- ter-piece of irony and portraiture ; Yvette, a rather brutal story, which would have fared better in the hands of Alphonse Daudet ; and Monsieur Parent, a most masterly study of middle-class infidelity in Paris. All these exhibit much of their author's very finest work. Never did he "find himself" more completely ; the tool fitted exactly to his hand, and the material