Les Contes Cruels Sombre Récits Conteur Plus Sombre

cervelle d’or » 1869 Alphonse Daudet est un écrivain et conteur dramatique du XIXème siècle, il a écrit de nombreux recueils et de poèmes dont le recueil intitulé : Les lettres de mon moulin écrit en 1869, qui est devenu aujourd’hui son oeuvre le plus connu. « La légende de l’homme à la cervelle d’or », extrait des lettres de mon moulin, est dit adresser à « la dame qui demande des histoires gaies». Ce texte est l’un des contes les plus sombres et inattendu de ce recueil, Daudet l’appelle une « légende

2 : Jack Zipes, Les contes de fées et l’art de la subversion, trad. fr. F. Ruy-Vidal, Paris, Petite bibliothèque Payot, 1986, rééd. 2007 (Fairy Tales and The Art of Subversion, Londres, 1983), p. 13 et 25 : « […] des auteurs cultivés se sont délibérément approprié, à une certaine époque, le conte oral de tradition populaire et l’ont converti en un type de discours littéraire, nourri des mœurs, pratiques et valeurs de cette époque, en vue d’obtenir que les enfants entrent plus facilement dans la civilisation

traitements à la fois calmants et excitants, et l’usage de la drogue pour calmer la douleur. Maupassant est un cyclothymique passant par des alternances d’excitation et de dépression. Mais comment croire que le conteur fantastique soit chez lui un produit de la maladie ? Du conte pessimiste, du conte cruel, au conte fantastique, il n’y a pas loin, car le fantastique de Maupassant vient du cœur et des choses, il suinte de l’univers, il est la fine pointe de la réalité. Mais le lecteur français est tellement

l’éditeur Ollendorff. Le recueil lors de sa première publication concentre un succès public considérable, la réaction publique était immédiate mais la presse comme Le Figaro était indignée et scandalisé par ce livre. L’événement a réagi comme cruelle. Maupassant va recevoir la même réaction qui avaient reçu les romans de Zola. Dans cet époque, c’était normal ce type des réactions. Zola à propos de « La Maison Tellier » mets une note comme la fin même remué « un bel exemple de l’éducation de jeunesse

& Co : Contes de fées et art contemporain Introduction : Les extravagances de Monsieur le « Conte » L’art contemporain s’est emparé des mille enchantements des contes de fées. Dragons, elfes et sorcières sont toujours présents dans la création actuelle. Vieux châteaux, cavernes profondes, chambres interdites ou forêts impénétrables figurent encore dans de nombreuses installations, vidéos, peintures ou sculptures. Conscients ou non des implications sociologiques ou psychologiques des contes d’autrefois

Les différences avec d’autres types de récits proches du conte. 1.2.1) Le mythe. 1.2.2) La légende. 1.2.3) L’épopée. 1.2.4) La fable. 1.2.5) Les autres types de contes. 1.3) Le conte, issu de la tradition orale. 1.3.1) Les sources populaires orales dans les contes de Perrault. 1.3.2) Les sources du recueil des frères Grimm. 1.4) Le conte inventé. 1.4.1) Andersen. 1.4.2) Les écrivains conteurs contemporains. Les enfants : lecteurs de contes. 2) le conte merveilleux à l’école :

conte qui pourrait se définir comme : « récit souvent assez court de faits imaginaires » (2). Dans le conte la narration fait référence à un autre temps. Michel Simonsen a parlé avec raison de « fictivité avouée » (3).On constate à la lecture du conte soumis à notre attention que toutes les vraisemblances sont possibles. Ici c’est un gigot qui est doté de pouvoir divinatoires et thérapeutiques célèbres dans toute la région .Nous voyons comme dans de nombreux contes un monde ou le bien et mal sont aux

l’objet d’un scandale. Dans son œuvre, le guyanais n’a pas hésité à critiquer ouvertement les abus de l’exploitation coloniale en Oubangui-Chari, où il était lui même collaborateur de la colonie française. Cette dénonciation sera suivie quelques années plus tard par celle d’André Gide qui, à la suite d’une expédition en Afrique, révèle au public français, dans son Voyage au Congo , les conditions misérables dans lesquelles vivent les populations africaines . De là naît un véritable mouvement de

contemporain et des nouveaux médias Session juin 2012 SOMMAIRE INTRODUCTION p 3-5 I. DE BLANCHE NEIGE À LA BELLE AU BOIS DORMANT : UN INTERÊT PARTICULIER POUR LES CONTES DE FÉES VISANT À REPRÉSENTER LA MORT p 6-13 1. Les contes de fées, de Charles Perrault aux frères Grimm : L’inspiration principale de Walt Disney p 6-9 2. Renaissance des contes à travers l’animation : Blanche Neige le commencement d’une obsession p 10-13 II. OCCULTER LA MORT POUR MIEUX LA RÉVÉLER p 14-24 1. Un fantasme d’immortalité

parle d’adaptation du conte pour le théâtre, on est tenu de parler nécessairement de changements de modes. En effet, le genre littéraire du conte et celui de l’écriture théâtrale sont très différents. Le conte est un récit narratif, dont la trame se déroule au « son » de la voix du conteur - à l’origine, le conte était oral -, les repères spatio-temporels sont flous et revêtent la plupart du temps une valeur symbolique. Le conte est souvent allégorique à valeur didactique. Le passage à l’écriture dramatique