Les Décombres

emportées par un tsunami peuvent recevoir divers coups par les objets projetés ou être éjectés violemment contre des objets terrestres, ces coups peuvent être mortels ou provoquer la noyade. Certaines victimes peuvent aussi être piégées sous les décombres d'habitations ou elles ne verront jamais l’intervention des secours et périront. CONCLUSION : Les catastrophes naturelles restent malheureusement à l’heure actuelle un fléau inévitable et désolant. Le Tsunami demeure une des forces naturelles

les ravages de la guerre ; des corps décharnés gisent ça et là, un cadavre est propulsé dans un arbre sur la gauche, l'arrière plan montre un paysage dévasté par la guerre. 10) -Sur le volet droite, apparaît un homme vivant qui apparaît dans les décombres ; il tente de soutenir un compagnon inerte, la tête ensanglantée. 11) -Sur la prédelle (panneau situé en bas), des corps de soldats allongés sont visibles ainsi que des rats dans ce qui ressemble à un tombeau collectif un caveau ou un abri. 12) La

pendant les mois précédent les attentats - avions de chasse empêchés d'intervenir pour intercepter les boeings détournés - nombreuses invraissemblances de la version officielle (impossibilité de retrouver intact le passeport de Mohamed Atta dans les décombres, impossibilité d'un impact d'avion contre le Pentagone...) - lois liberticides prêtes à etre adoptées seulement 6 jours après les attentats - absence d'enquête du FBI sur les attentats ( la police et le FBI ont été écartés de l'enquête qui a été

ou par le sommeil, ils ont des regards cachés par les bandages ou les masques à gaz... L’arrière-plan montre un paysage dévasté par la guerre Sur le volet droit, des corps inertes sont présentés au premier plan, un seul homme vivant parmi les décombres apparaît. Il tente en vain de soutenir un compagnon la tête ensanglantée. L’arrière-plan présente une fournaise infernale. Les couleurs sont contrastées et varient entre le gris foncé, clair et le rouge orangé. Le gris marque les soldats et leurs

un paysage dévasté par la guerre 1 Cécile Arnal Histoire des Arts pour l’Histoire Géographie Thématique : Art, Etat et pouvoir Sur le volet droit, tandis que des corps inertes sont présentés au premier plan, un seul un homme vivant parmi les décombres apparaît. Il tente en vain de soutenir un compagnon inerte, la tête ensanglantée. Le regard fixe, il scrute le spectateur, tel un appel qu’il sait déjà vain. L’arrière-plan présente une fournaise infernale. 2) Couleurs Les couleurs sont contrastées

couché, et que déjà, ce n’est pas si mal (très certainement une parodie critique de nous même qui acceptons l’inacceptable dans le monde,). Puis un couple bienheureux déboule sur scène, se trémousse comme on le ferait en discothèque, et, sur les décombres d’un monde en décomposition, se disent satisfait, tout va très bien, on a tué sa femme et ses enfants mais avec la pensée positive il n’a finalement jamais été aussi heureux. Et de les voir s’esclaffer béatement, de prétendre vivre dans le meilleur

fortune en direction de Bari. Au loin, on entendait encore les bruits assourdissants des explosions et les tirs des armées Serbes, Croates et Bosniaques. Des étincelles illuminaient le ciel dégagé. Le pays était entrain de disparaître peu à peu. Les décombres des infrastructures s’entassaient au fil des jours. Ces réfugiés fuyaient ce qu’ils appelaient un enfer terrestre. Parmi eux se trouvait notre héros, Isaak Hamidovick, celui qui avait organisé tout ce voyage clandestin. Depuis son enfance

Mondiale. Cette situation implique davantage le spectateur qui peut se sentir plus concerné par des événements qu’il n’a pas vécu. Le panneau de droite •Tandis que des corps inertes sont présentés au premier plan, un seul homme vivant parmi les décombres apparaît. Dans ses bras, il tente en vain de soutenir un compagnon inerte à la tête ensanglantée bien que bandée, peut-être déjà mort… Le regard fixe, il scrute le spectateur, tel un appel qu’ils aient déjà vain… •L’arrière-plan présente une fournaise

depuis ce 21 février, elle savait qu’il en viendrait d’autres détruisant tout, arrachant des vies sur leur passage, poussant les survivants à fuir vers le sud. Autour d’elle la ville qu’elle chérissait tant n’était plus qu’un vague souvenir, les décombres, les ruines s’étendaient partout, à droite de cette petite épicerie où elle allait chercher son pain chaque matin, il ne restait rien. L’enseigne tombée depuis longtemps à terre gisait au milieu de débris. Seul le mur Est de l’épicerie était

soient pas construite selon les normes antisismiques. Le document 3 est une photographie trouvé sur un site internet (radio-canada) Au premier plan, un homme assis au milieu des décombres de sa maison, d’ont il ne reste rien tout autour de lui, des décombres, morceaux de bois, des planches, des pierres, des bottes de foin, tout est entremêlée. En arrière plan, quelques hommes debout. J’ai choisis cette photographie car en effet la photographie démontre une