Les Décombres

qu’elle choisit le jour où la bombe atomique tombe sur leur village proche de Nagasaki pour exécuter ce projet. Elle-même, sa mère, Mariko et Yukio ne sont pas présents au village ce jour là et survivent alors que son père sera retrouvé dans les décombres de la maison et que pour tout le monde il aura été tué par la bombe.) Chaque volet de cette pentalogie retrace un morceau de cette histoire vue par l’un des protagonistes et chacun porte un secret qui sera dévoilé petit à petit.   C'est une magnifique

description détaillée. -périphrase « trou maudit » qui est connoté de façon péjorative. Il est donné par Etienne car celui-ci connait les conditions de vie difficile de la mine. Il envisage la mine comme un enfer. -Utilisation répété du pluriel «  les décombres » ligne 2, « les autres fosses » ligne 5, « les tours » ligne 7. Cela montre que le paysage est envahi par la mine. -Utilisation du présentatif « c’étaient » ligne 5 qui en avant ce qu’il suit. -choix adjectif « élevées » ligne 7 et « haut »

Tblilissi dans le Caucase, afin de retrouver sa mère adoptive Gloria Bohème dont il a été séparée depuis l'àge de 12 ans . Koumail en attendant son avion nous raconte son enfance dans le Caucase des années 1990 . Gloria l'a trouvé bébé dans les décombres d'un train qui a déraillé , sa mère gravement blessée a demandé à Gloria de s'occuper de lui avant d'être transportée vers un hôpital. Gloria récupère les passeports français de la mère et du fils prends sa tache à cœur et se promet de ramener Blaise

titre écrit en jaune, en Majuscules sur un fond sombre semble insinuer ce malheur déguisé en bonheur souhaité ou perdu… 2. L’effet de réel dans l’incipit de l’œuvre Ancrage spatiotemporel : *La vallée un endroit important qui contient les décombres des anciens et les nouveaux bâtiments modernes des riches. L’espace ici est un espace double, qui met en valeur les ruines oubliées en le comparant aux édifices modernes. Le temps reste imprécis dans la mesure où nous n’avons pas de dates exactes

avaient fuit. Il ne restait qu’un grand nuage de poussière. Tony s’écria alors : « Marie ! MARIE !! » Alexy avait presque oublié. Leur mère n’avait pas pu se défendre, elle devait être soit morte, soit enlevée. Heureusement, Tony la trouva sous des décombres, seul son visage dépassait. Ses yeux étaient fermés, il n’y avait plus rien à faire. Un hurlement s’échappa des lèvres d’Alexis, qui sentait que tout s’écroulait. Tony pleurait désespérément, comme s’il attendait une réaction, mais rien, plus rien

-Après soixante heures coincée dans la boue, Omayra Sánchez décède. Sa mort met en lumière l'incapacité des autorités colombiennes à répondre à la menace du volcan et également la lutte des secouristes pour libérer les victimes coincées dans les décombres qui auraient pu être sauvées plus rapidement sans le manque de réactivité du gouvernement. -En effet, afin de sortir de ses débris une pompe était nécessaire, pompe qui est arrivée au bout de 3 jours et en très mauvais état ce qui fait que

présente les ravages de la guerre ; des corps décharnés gisent ça et là, un cadavre est propulsé dans un arbre sur la gauche, l'arrière plan montre un paysage dévasté par la guerre. Le panneau de droite montre un homme vivant qui apparaît dans les décombres ; il tente de soutenir un compagnon inerte, la tête ensanglantée. La chronologie, présente dans le tableau, implique un cercle vicieux : Le matin (panneau de gauche), les soldats partent au front. Dans la journée (panneau central), ils subissent

en que fortement libéralisé durant la décennie 1860, le Second Empire ne survit pas à la défaite de Sedan, le 2 septembre 1870 face à la Prusse, et s'effondre. Construite sur les décombres du Second Empire et dotée d'une constitution provisoire, la Troisième République est encore à ce jour celle qui aura duré le plus logtemps ( soixant-cinq ans) dans l'histoire de la République. Mais cette République ne deviendra effective que plusieurs années après la chute de Napoléon III avec le vote des trois

première guerre nous répétais pour nous rassurer : « Ne vous inquiétez pas, quand on entend siffler un obus, il ne tombe pas sur nous ». Les sifflements, les explosions et les sirènes émettaient un vacarme épouvantable. Un chien bloqué sous les décombres hurle également. Durant la première vague, cent neuf avions furent envoyés pour décharger leurs tonnes d’engins explosifs sur Lille/Lomme/Lambersart. La deuxième vague fut plus impressionnante avec plus de cent quinze avions. Sur

en ses débuts nous montre des êtres qui ont perdu leurs attaches et leurs repères intimes aussi bien que cosmiques et qui errent, le plus souvent immobiles, à la recherche d'un introuvable refuge. Allégorie d'une humanité en souffrance dans les décombres du "Théâtre du Monde" d'où ces personnages de LA PARODIE (1949) et de L'INVASION (1950) d'ADAMOV, des BONNES (1947) et du BALCON (1957) de GENET d'EN ATTENDANT GODOT (1953) et FIN DE PARTIE (1957) de BECKETT, de LA CANTATRICE CHAUVE (1950) et de