Les Grands Arrets De La Jurisprudence Criminelle

Thème général : l'évolution du droit positif au regard de la jurisprudence des cours suprêmes. Bibliographie : Pradel, droit pénal général, Cujas, éd. 2012. Précis Dalloz en droit pénal général, procédure pénal. Jacques. Leroy, droit pénal général, 2012, 4éme éd, L.G.D.J et un autre de procédure pénale. Emmanuel Dreyer, Droit pénal général, 2012 Litec. Xavier Pin, Droit pénal général, 5éme édition, Dalloz, collection Cours. Serge Guinchard et Jacques Buisson, procédure pénale

collectivités locales Bulletin juridique des contrats publics Bulletin de Jurisprudence de Droit de l’Urbanisme Bulletin législatif Dalloz Bulletin officiel de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes Bulletin officiel des impôts Bulletin rapide de droit des affaires Bulletin des transports et de la logistique Bulletin des arrêts des chambres civiles de la Cour de cassation Bulletin des arrêts de la chambre criminelle de la Cour de cassation Bulletin mensuel Joly d’information des

Commentaire de l’arrêt rendu par la Chambre criminelle de la Cour de cassation le 19 octobre 2010 __________________________________________________________ Selon le lexique juridique de Gérard Cornu, la garde à vue est une « mesure de police en vertu de laquelle sont retenues, dans certains locaux non pénitentiaires et pour une durée limitée variable selon le type d’infraction, des personnes qui, tout en étant ni prévenues ni inculpées, doivent rester à la disposition des autorités de police

adoptive, si l’acte qui établi cette filiation fait en revanche l’objet d’une annulation, l’annulation de cette filiation va avoir un effet rétroactif ce qui aura des conséquences également sur la responsabilité civile sur le père ou la mère (Arrêt Criminelle 8 décembre 2004). - L’autorité parentale : il faut être le père ou la mère mais cela ne suffit pas pour être responsable du fait du mineur, il faut que es parents soient bien investi de l’autorité parentale sur leurs enfants. Ce qui sera

André Varinard, juriste, en 1984 dans son ouvrage Grands arrêts du droit criminel, met en avant l’affirmation suivante concernant l’infraction impossible. Il dit que cette infraction est «l’une des controverses les plus vives que l’on ait rencontrées dans le domaine du droit pénal ». La notion d’infraction impossible a été mise en avant au début du XIXème siècle par le théoricien allemand, Feuerbach. En effet, cette notion n’était pas envisagée auparavant par le droit romain ou l’ancien droit.

LA JURISPRUDENCE EST-ELLE UNE SOURCE DU DROIT ?   De même que nous nous sommes posé cette question : La doctrine est-elle une source du droit ? ; de même il faut se demander si la jurisprudence est une source du droit et de quelle nature. Mais, d’abord, qu’est-ce que la jurisprudence ? C’est l’ensemble des décisions rendues par les différents tribunaux d’un pays ; décisions envisagées ici, non pas du point de vue particulier de chacun des plaideurs en cause, mais du point de vue général de la

La responsabilité du chef d'entreprise: Une responsabilité illimitée ? Dans un arrêt du 30 décembre 1982, la chambre criminelle juge que " s'il est de principe que nul n'est passible de peines qu'à raison de son fait personnel, il en est autrement dans certains cas exceptionnels où des prescriptions légales engendrent l'obligation d'exercer une action directe sur le fait d'autrui ; qu'en matière d'industries règlementées, notamment celles des entreprises de démolition, il y a nécessité de faire

sanctionnées. Cet acte qui révèle l’intention criminelle constitue l’élément matériel de l’infraction, essentiel à une éventuelle répression. Si l’exécution de l’infraction est parfaite, celle ci est alors dite consommée. La violation de loi par une action et ou une omission de la part du délinquant ne fait aucun doute et sa responsabilité pénale sera mise en jeu généralement sans trop de difficultés. Cependant, il se peut que pour un motif quelconque, l’agent criminel n’est pu aller jusqu’au bout de son

Le meurtre… d’une personne déjà morte Cour de cassation (Chambre criminelle) 16 janvier 1986 (Gaz.Pal. 1986 I 377 note J.P. Doucet) Observations Georges Levasseur (Revue de science criminelle 1986 839) Observations André Vitu (Revue de science criminelle 1986 849) Cour de cassation (Chambre criminelle) 16 janvier 1986 (Gaz.Pal. 1986 I 377 note J.P. Doucet) Pour renvoyer F... P... devant la Cour d’assises sous l’accusation de tentative d’homicide volontaire l’arrêt attaqué expose

de détournement n'a été définit ni dans l'ancien, ni dans le nouveau Code pénal. Cependant, la jurisprudence s'est attachée très tôt à préciser qu'il n'exige pas que le prévenu se soit approprié la chose confiée ni qu'il en ait tiré un profit personnel. Il suffit pour constituer le détournement que le propriétaire ne puisse plus exercer ses droits sur elle, et ceci depuis un arrêt de la chambre criminelle en date du 2 décembre 1911. La même chambre élargit encore cette définition le 9 mars 2005 en