Loi de Say

Say, est connu pour sa "loi des débouchés", selon laquelle la valeur des marchandises dépend de son utilité. La loi des débouchés: "L'offre crée sa propre demande." (Keynes) C'est une version un peu caricaturale de cette loi. "Un produit offre dés cet instant, un débouché a d'autre produits pour tout le montant de sa valeur."(Say) L'offre globale, a travers les revenus qu'elle génère, offre une demande suffisante pour être absorbée. Ces revenus sont repartis en 2 catégories. 1-Consommation

Les « démonstrations » de la « loi de Say » [modifier] Plus il y a de biens produits, plus ces biens peuvent ouvrir une demande pour d'autres biens, puisque les biens nouvellement produits peuvent être offerts en échange d'autres biens. Inversement, une nouvelle demande sans production préalable n'offre en réalité aucune perspective d'échange, donc aucun débouché nouveau ; elle ne peut pas stimuler la production et dans ces conditions, la croissance passe par la stimulation de la production et

Combinaison de loi de Walras et de la loi de Say. Théorie quantitative de la monnaie est-elle compatible avec la combinaison loi de Walras et loi de Say ? Le paradoxe de Patinkin : Partons de la contrainte budgétaire d’un agent j, parmi les h agents existants, évoluant sur n marchés :∑_(i=1)^n▒〖 pi.Eij+m_j^d- (m_j ) ̃ =0〗 La combinaison de la loi de Walras et de la loi de Say :∑_(i=1)^n▒〖p_i ∑_(j=1)^h▒〖E_ij (p) 〗〗 + ∑_(j=1)^h▒〖m_j^d (p)〗 = ∑_(j=1)^h▒〖(m_j ) ̃ = M〗 (m_j^d la demande

La loi de Say: Introduction: (paragraphes 1 et 2) Jean-Batiste Say (1767-1832) est considéré comme l'un des pionniers du libéralisme économique. Il est surtout connu pour sa loi des débouchés qui stipule « l'offre crée sa propre demande », ce qui revient à dire « des produits s'échangent contre des produits ». Dans cet extrait, Say remarque que les entreprises n'ont pas de problème à produire plus, mais qu'elles ont peur de ne pas avoir suffisamment de débouchés pour leurs produits (« la

Hai IUTB – Technique de commercialization 3/30/2011 Jean-Baptiste Say Table des matieres I/ Points de repère 3 A°) Biographie 3 B°) La place de Say dans la science économique 7 II/LA VISION, PAR SAY, DE LA SOCIÉTÉ ET DE L'ÉCONOMIE 9 A°) L’économie politique, science pratique. 9 B°)Un économiste libéral 11 C°)une vision optimiste de l'évolution de l'économie 13 III/LES GRANDS THÈMES DE L'ÉCONOMIE DE SAY 17 A°)La référence à l'utilité 17 B°)La notion de services productifs

économique. Nous nous intéresserons surtout à la crise de surproduction. Tout d'abord, nous observerons que le capitalisme n'est pas parfait et qu'au fil du temps on a une vision plus précise de ce système économique; puis nous verrons que la loi des débouchés de Say, soutenue par Smith et Ricardo, a été une illusion et que cette façon de pensée est facteurs de crise. Le capitalisme repose sur la recherche du profit et l'initiative des capitalistes, le but est d'obtenir une société pacifié et dans

de l'intérêt et de la monnaie. L'expression « révolution keynésienne » a été utilisée pour la première fois par Lawrence Klein en 1947, dans un ouvrage intitulé The Keynesian revolution. Deux traits majeurs sont à souligner : la réfutation de la loi de Say, en tant que croyance en une régulation optimale par les seuls marchés, et d'autre part, la création d'un cadre analytique donnant une assise rationnelle à des politiques économiques. La Théorie générale face aux classiques[modifier | modifier

org/wiki/%C3%89cole_classique Ecole Classique https://fr.wikipedia.org/wiki/Lib%C3%A9ralisme_%C3%A9conomique Libéralisme https://books.google.be/books?id=CvmueDGuRTIC&pg=PT93&lpg=PT93&dq=say+%C3%A9cole+classique+et+n%C3%A9oclassique&source=bl&ots=RiQtBQxHDH&sig=eUXXPAyWkvn6Mdzh3LOKNukQsjU&hl=fr&sa=X&ved=0CCcQ6AEwAmoVChMIjfW8pr-KyQIVSUAaCh2vDAix#v=onepage&q=say%20%C3%A9cole%20classique%20et%20n%C3%A9oclassique&f=false Vieux doc http://www.la-fac.org/IMG/pdf/classiques_et_neo_classiques.pdf pdf résumé http://www.larousse

regroupe des économistes du XVIIIe siècle et du XIXe siècle. Ses membres les plus importants sont, en Grande-Bretagne, Adam Smith (1723-1790), David Ricardo (1772-1823), Thomas Malthus (1766-1834), John Stuart Mill (1806-1873), et en France, Jean-Baptiste Say (1767-1832) et Frédéric Bastiat (1801-1850). Le terme a été employé pour la première fois par Marx dans Le Capital[1]. Il est impossible de fixer à cette école de pensée des contours précis, que ce soit en termes de dates, d’auteurs ou de thèses

Vulgarisateur d’Adam Smith sur le continent, Jean-Baptiste Say fut incontestablement un grand pédagogue. Mais son apport théorique personnel se limite à la loi des débouchés que les Américains dénomment loi de Say : globalement, toute offre engendre sa propre demande, si bien qu’il n’est pas envisageable que des désajustements autres que sectoriels (pas assez de ceci, trop de cela) se produisent au sein du système économique. En particulier, Say écarte l’idée que des crises de surproduction (ou de sous-consommation)