Luminance

sont objectivement mesurables et quantifiables, par le biais des grandeurs photométriques. Les principales grandeurs utiles pour le projet d’éclairage sont: • • • • • 1.2.1 Le flux lumineux L’éclairement L’intensité lumineuse La luminance Le facteur de réflexion Flux lumineux (Unité: Lumen [Lm]) Le flux lumineux représente la quantité de lumière émise par unité de temps. Le flux lumineux est l'une des caractéristiques des sources lumineuses données par les fabricants.

EXEMPLES 1. PRINCIPES FONDAMENTAUX DE L’ECLAIRAGE Assurer un niveau d’éclairement suffisant, Assurer un niveau d’éclairement homogène et un équilibre entre les différents niveaux d’éclairement , Harmoniser les luminances et assurer un équilibre des niveaux des luminances, Assurer un contraste satisfaisant, Réduire les éblouissements, Réduire les réflexions parasites. 1.1. Tenir compte des caractéristiques de l’activité de travail : Utilisation des NTIC, TEV Dimensions des objets

émis par unité d’angle solide. 2) Eclairement E La surface ΔS’ sur un écran reçoit un flux ΔΦ de la source. L’éclairement de l’écran est par définition le flux reçu par unité de surface. ΔS est un petit élément de surface source. 3) Luminance d’une source dans une direction donnée Deux sources de même intensité produisent sur un écran le même éclairement, ces deux sources peuvent être de surfaces différentes. Pour l’observateur, qui de l’écran regarde ces deux sources, la source étendue

professeurs Dans ce document, il a été fait le choix de placer la puissance rayonnée (en W) en ordonnée du profil spectral. Dans beaucoup d’ouvrage, c’est la luminance (unité arbitraire) qui figure en ordonnée. Dans ce cas préciser l’unité nécessite des explications complémentaires auprès des élèves. On définit la luminance spectrale énergétique L d'un champ de rayonnement, dans une direction donnée, à partir de l'énergie dE transportée dans cette direction par le rayonnement de longueur

magnétoscope. Caméra vidéo pouvant fonctionner également comme un magnétoscope. Chrominance : la chrominance est la partie du signal vidéo qui comporte les informations de couleur, c'està-dire la teinte et la saturation. Est complémentaire de la luminance. Chutier : endroit où sont stockés les éléments qui vont servir à la constitution du montage. Dans un logiciel de montage non linéaire, il s'agit généralement d'un dossier dans lequel sont répertoriés les clips audio et vidéo. Codec : codeur

lumineuse, - l’éclairement, - La luminance. Ces quatres facteurs sont liés comme ceci : une source d'éclairage artificielle ( lampe électrique) rayonne dans toutes les directions de l'espace un flux lumineux. Ce flux a, dans une direction donnée une certaine intensité lumineuse. Une surface, placée à une distance donnée de cette source, reçoit un éclairement. Enfin, la surface éclairée renvoie une partie de l'éclairement reçu en direction de l'observateur: c'est la luminance. 1°) Flux lumineux Il est,

| |LUMINANCE |Multiples et sous-multiples usuels | |Dénomination |Définition |Dénominations |Valeur |Symbole | |candela par mètre carré |Luminance d'une source dont l'intensité

normalisation .Pour le radiotéléphone cellulaire numérique européen (GSM), ce débit a été ramené à 13 k bit/s. Pour un signal vidéo correspondant à une cadence de transmission de 25 images par seconde, la fréquence d’échantillonnage du signal de luminance et de 13.5 MHz et de 6.75 MHZ pour le deux signaux de chrominance. Le codage des échantillons quantifiés étant réalisé sur m = 8 bits. Le signal vidéo après numérisation est transformé en une source numérique ayant un débit binaire de 243 Mbit/s

rouge, vert et bleu (RVB). De RVB à composante et composite : V Y (luminance) R Composante Matriçage B R-Y Composite Codage Chrominance B-Y U V R V B Le signal RVB – R V V B V R B R B Par exemple pour du jaune : R V Y= 0,3 x R + 0,6 x V + 0,1 x B B – Le signal composante Années 50 : nécessité de compatibilité Signal couleur → TV N&B, et Signal N&B → TV Couleur. ↳ luminance Y + signaux couleur R-Y et B-Y Luminance : Y= 0,3 x R + 0,6 x V + 0,1 x B (R, V, B en volts ou en coefficient

Avec les vitesses d'obturation plus rapides qu'autorise la synchro HSS, on peut donc travailler à de plus grandes ouvertures. Comme la synchro HSS déclenche un cumul d'éclairs de faible puissance pendant l'exposition pour arriver au niveau de luminance correct, des vitesses d'obturation plus courtes imposent de travailler à des diaphragmes plus ouverts qui vont compenser la faible intensité des éclairs. Il en résulte que l'utilisation de vitesses d'obturation très courtes, de l'ordre du 1/2 000