Luminance

un écran de télévision La couleur d’un objet se définit selon trois critères : o sa longueur d’onde dominante (la teinte), exprimée en nanomètre (700,0 nm pour le rouge, 546,1 nm pour le vert, 435,8 nm pour le bleu). o son intensité (luminance) o son facteur de pureté : le taux de dilution de la couleur pure dans le blanc.   L’œil humain est capable de percevoir uniquement les radiations lumineuses entre 380 et 780 nm de longueur d’onde. Cette gamme constitue le spectre des couleurs

par mètre carré (J/m2) Irradiation Energie reçue par unité de surface et intégrée dans le temps. Unité : watt heure par mètre carré (Wh/m2) L LAI Leaf Area Index: 'indice de surface foliaire LDCM Landsat Data Continuity M ission Luminance Intensité lumineuse émise par unité d'angle solide et par unité de surface d'une source dans une direction donnée. Unité : watt par stéradian par mètre carré (W/st/m²) M M eltem On parle également d'étésien pour désigner ce vent très soutenu

GTI410 8 Lumière et couleur • Les propriétés de couleur que l’œil peut distinguer sont: teinte, saturation et luminance (hue, saturation, brightness) • Ou bien dominante, pureté, luminosité Ref: http://www.yorku.ca/eye/hsb.jpg Université du Québec École de technologie supérieure Département de génie logiciel et des TI GTI410 9 Lumière et couleur TEINTE LUMINANCE 0% ROUGE VERT BLEU SATURATION 100% 100% 0% couleurs pures Université du Québec École de technologie

système RGB n’est pas le mieux adapté pour appliqué le processus de compression car il y a une forte corrélation entre les plans RGB. Alors un changement d’espace couleur RGB vers un autre espace moins corrélé est nécessaire. Les espaces de type luminance/chrominance sont les plus adaptés à la compression car l'œil humain perçoit mieux les changements de luminosité que les changements de couleur [bOUCETTE]. Donc dans notre approche on a choisie de travailler sur l’espace YCbCr ou l’information est

suivi, continue, manuelle Mode d’exposition : PASM, modes Scènes (6), mode profondeur de champ Type de mesure : Évaluative multizone (63), pondérée centrale, sélective (9 %), ponctuelle (4 %) Histogramme : Prise de vue et consultation (luminance ou RVB) Compensation d’exposition : +/-5 IL par 0,3 ou 0,5 IL Bracketing d’exposition : 3 vues (+/-2 IL par 0,3 ou 0,5 IL) Vitesse : 1/8 000 à 30 s, synchro X 1/250e Rafales : 5,3 im/s (16 Raw, 58 Jpeg) Balance des blancs : Auto, préréglée

monde des r´seaux et celui des e e t´l´communications tend ` s’amenuiser (Bluetooth, WiFi). ee a 3 3.1 Le codage de l’information Exemple de la t´l´vision : ee Codage s´par´ de l’image et du son e e Codage des couleurs : trois crit`res Luminance, Chrominance, Saturation. e Sch´ma repr´sentant le codage du signal pour la t´l´vision : e e ee 3.2 Notions physiques Fr´quence f : nombre d’apparition d’un ´v`nement par seconde e e e P´riode P = 1/f : dur´e d’un ´v`nement e e e e Fr´quence

signal électrique appelé signal vidéo composite. Les informations transportées par ce signal vidéo sont nécessaires a la reconstitution de l’image (luminosité, couleur). Le signal vidéo traduit par une valeur plus ou moins grande les valeurs de la luminance( quotient de luminosité émise sur une surface donné ) et le signal de chrominance qui est essentielle dans le fonctionnement d’une télévision couleurs. Il est constituer de trois nombres chacun donnant la quantité de couleur primaire qu’il faut pour

photographies, ou aux images présentant une grande diversité de couleurs ou des dégradés PhotoshoP les différents modes colorimétriques - mode laB - niVeaux de gris - Bitmap ModE laB Une image en mode Lab est composée de trois couches : la couche de luminance L correspond aux niveaux de lumière de l’image ; les deux couches de chrominance a et b définissent les couleurs de l’image. Le mode Lab est utilisé comme intermédiaire par Photoshop lors de la conversion d’un mode à un autre. Méconnu du grand public

quantité des 3 couleurs. Comme il y a 6 niveaux de R, V et B, il faut 9 bits pour identifier ces niveaux. Fig. 11 bis : Au centre du triangle, il y a la zone achromatique qui provient de l’intersection entre le triangle et l’axe des gris. Ici la luminance est constante, il n’y a que la chrominance qui la varie, la teinte et la saturation. En modifiant la teinte, on modifie la couleur. La saturation représente à quel point la couleur est vive. La température de couleur. Ceci influence la couleur

malintentionnées. L’éclairage devrait donc être étudié pour éviter la création de "trous noirs" et améliorer la perception des visages. L’œil humain, en particulier dans sa vision nocturne, est sensible aux différences de contrastes (à la "luminance" qui est l’impression lumineuse que reçoit l’œil d’une surface par rapport à son environnement). Il est donc généralement possible d’abaisser le niveau d’éclairement d’ensemble en conservant les différences relatives de contrastes. Par exemple