Maison de Wittelsbach

Ludwig Otto Friedrich Wilhelm von Wittelsbach[1] (25 août 1845, Nymphenburg, Munich - 13 juin 1886, lac de Würm, actuellement lac de Starnberg, près du château de Berg) est le roi de Bavière de 1864 à 1886 sous le nom de Louis II. Ses autres titres sont : comte palatin du Rhin, duc de Bavière, de Franconie et de Souabe. Louis II est surtout connu comme un excentrique dont l'héritage est étroitement liée à l'histoire de l'art et de l'architecture. Il a commandé la construction de plusieurs châteaux

km à l'est de Munich en direction de Salzbourg. C'est le dernier des châteaux de Louis II de Bavière, resté inachevé. Sa particularité et qu’il ressemble au château de Versailles. Louis II de Bavière Ludwig Otto Friedrich Wilhelm von Wittelsbach Il né le 25 août 1845 à Munich et décédé le 13 juin 1886 au Lac de Starnberg prés du château de Berg) fut de 1864 à 1886 le quatrième roi de Bavière. Ses autres titres sont comte palatin du Rhin, duc de Bavière, de Franconie et de Souabe. Il

dans l'histoire comme le protecteur des arts et un bâtisseur de châteaux. Louis II de Bavière (Ludwig II von Bayern ou Ludwig Otto Frederik Wilhelm von Wittelsbach) est né le 25 août 1845 à Nymphenburg, près de Munich. Il est prince Bavarois, puis jeune roi de Bavière en 1864. Il règne jusque 1886. Il appartient à la dynastie des Wittelsbach. Il est le fils de Maximilien II Joseph [1811-1864], roi de Bavière de 1848 à 1864 et de Marie de Prusse [1825-1889]. Il est le cousin d'Élisabeth d'Autriche

1 Empire d'Occident (800-924) 2 Saint-Empire romain germanique (962-1806) 2.1 Dynastie Ottonienne 2.2 Dynastie franconienne 2.3 Maison de Supplimbourg 2.4 Maison de Hohenstaufen 2.5 Maison d'Este 2.6 Maison de Hohenstaufen 2.7 Maison de Luxembourg et Maison de Wittelsbach 2.8 Maison de Habsbourg 2.9 Maison de Wittelsbach 2.10 Maison de Lorraine 2.11 Maison de Habsbourg-Lorraine 3 Voir aussi Empire d'Occident (800-924)[modifier le code] Charlemagne vainc les Lombards et leur

Élisabeth Amélie Eugénie de Wittelsbach, dite Sissi, naît le dimanche 24 décembre 1837 dans un palais de la Ludwig strasse à Munich. Elle est le troisième enfant et la deuxième fille du duc Maximilien en Bavière et de la princesse Ludovica de Bavière. Le duc Maximilien est le chef de la branche cadette des Wittelsbach et la duchesse Ludovica la fille du roi de Bavière Maximilien Ier Joseph et de la princesse Caroline de Bade. Leur mariage était au sens le plus strict, un mariage dynastique servant

pouvoir royalCf. Frank Rexroth, p. 84-85.a. Une royauté élective : manque de stabilitéi. Absence de continuité dynastiqueCharles IV Wenceslas 1378Frédéric III Maximilien 1493ii. Absence de capitale et d’administration permanenteiii. Intérêts de la maison royale/impériale vs. intérêts de l’Empireb. Une influence très diverse sur le territoire de l’EmpirePeter MorawRégions « proches du roi » (königsnah) : Franconie (Nuremberg)Régions « ouvertes au roi » (königsoffen) : Rhin supérieurRégions « loin du

d’eux une maîtrise extraordinaire de la diction. Intérêt documentaire Cocteau déclara que sa pièce avait été « écrite en français mais pensée en allemand ». Il s’inspira en effet librement du mythe tragique de deux membres de la famille des Wittelsbach : - le roi Louis II de Bavière qui fut déclaré fou, qui étrangla son médecin avant de trouver la mort mystérieusement noyé : accident ou suicide? la disparition de celui qui était surnommé « l’aigle » reste aujourd’hui encore une énigme ; - sa

l’Empire ». Sur le moment, la Bulle réglait implicitement la question dynastique. La liste des sept princes retenus signifiait en effet clairement que les deux dynasties qui disputaient le trône aux Luxembourg (au pouvoir avec Charles IV), les Wittelsbach de Bavière d’un côté et les Habsbourg d’Autriche de l’autre, étaient exclues du jeu dans un premier temps. Chacun vote à son tour dans un ordre fixe : l’archevêque de Mayence qui vient en dernier a la capacité de départager deux candidats arrivés

de sa vie sentimentale et sociale, la « petite ville » de Combray, « cette sombre ville de Combray » (III, page 856), ville ancienne qui s’ouvrait sur une campagne humanisée, parsemée d’églises, qui était un vaste jardin, où, derrière « la vieille maison grise sur la rue » de tante Léonie, il y avait le « petit pavillon donnant sur le jardin, qu'on avait construit pour mes parents » (I, page 47), où Marcel passait ses vacances d’enfant, qui a été son « paradis perdu », dont le souvenir l’émouvait

plus symbolique. Sa situation économique est difficile, les commandes fastes du XVII° s., et surtout d’Urbain VIII ont fait augmenter les impôts. Les portes d’Alexandre Chigi a été la dernière entreprise ruineuse et a conduit à la destruction de maisons. En 1797 le traité de Tolentino et, à sa suite, l’occupation française mettaient fin à une communauté d’artistes de toutes nations et de tous genres, d’une créativité nouvelle, loin des attaches originelles, dont le ciment était la liberté garantie