La Forêt des mal-aimés

C’était Hermione la cigogne qui venait lui apporter les lettres provenant, pour la plupart, du petit village voisin. B : Comme l’INSECNET n’était toujours pas arrivé dans la vallée des p’tits bonheurs.. A : (Contrée perdu dans le fin fond de la forêt des mal-aimés) B : :.. les habitants devaient communiquer de la façon la plus simple qui soit, c’est-à-dire par courrier traditionnel. A : Un bon jour, alors que l’attachant Gustave était fin prêt à aller mettre un peu de bonheur dans la vie des Mouchevillois…

et sans nomJe lance mes chaussures par-dessus bord car je voudraisbien aller jusqu’à vous Blaise Cendrars, Feuilles de route. 1924 Tu es plus belle que le ciel et la mer Quand tu aimes il faut partirQuitte ta femme quitte ton enfantQuitte ton ami quitte ton amieQuitte ton amante quitte ton amantQuand tu aimes il faut partirLe monde est plein de nègres et de négressesDes femmes des hommes des hommes des femmesRegarde les beaux magasinsCe fiacre cet homme cette femme ce fiacreEt toutes les belles

Table of Contents Préface1 Poèmes et textes poétique6 « Tristesse » et « Désespoir » …………………………………………………………………………………………7 Dans la forêt des mal-aimés……………………………………………………………………………….8 L’Amérique ………………………………………………………………………………………………………10 Spleen ……………………………………………………………………………………………………………..12 Chanson d’automne ………………………………………………………………………………………..13 Le mois mouillé ……………………………………………………………………………………………….14 « Désir de mourir » ……………………………………………………………………………………………………..15 Salut, ô belle

paysage fait avec la lumière et le minéral, et le liquide pour les réfléchir ! ” Mon âme ne répond pas. “ Puisque tu aimes tant le repos, avec le spectacle du mouvement, veux-tu venir habiter la Hollande, cette terre béatifiante ? Peut-être te divertiras-tu dans cette contrée dont tu as souvent admiré l'image dans les musées. Que penserais-tu de Rotterdam, toi qui aimes les forêts de mâts, et les navires amarrés au pied des maisons ? ” Mon âme reste muette. “ Batavia te sourirait peut-être davantage

paysage fait avec la lumière et le minéral, et le liquide pour les réfléchir ! » Mon âme ne répond pas. « Puisque tu aimes tant le repos, avec le spectacle du mouvement, veux-tu venir habiter la Hollande, cette terre béatifiante ? Peut-être te divertiras-tu dans cette contrée dont tu as souvent admiré l’image dans les musées. Que penserais-tu de Rotterdam, toi qui aimes les forêts de mâts, et les navires amarrés au pied des maisons ? » Mon âme reste muette. « Batavia te sourirait peut-être davantage

''Comment font les oiseaux , Coquillages et poissons. Quand ils ont sur la peau Des kilos de goudron''. Monsieur Toulmonde Chanson de Aldebert, chanteur français : Pourquoi, dans les rivières, On trouve des chaussures À l'orée des forêts Des montagnes d'ordures Des usines qui crachent Des tonnes d'hydrocarbures? Comment font les oiseaux Coquillages et poissons Quand ils ont sur la peau Des kilos de goudron Si la mer n'est plus bleue Mais marron? Monsieur Toulmonde

des villages chassés Vivent dans les forêts : là chacun d’eux s’asserre12 Au ventre de leur mère, aux cavernes de terre ; Ils cherchent, quand l’humain leur refuse secours, Les bauges13 des sangliers et les roches des ours. Ce ne sont pas les grands, mais les simples paysans, Que la terre connait pour enfants complaisants14. La terre n’aime pas le sang ni les ordures15. Il ne sort des tyrans et de leurs mains impures Qu’ordure ni que sang16. Les aimés laboureurs17 Ouvragent18 son beau

tiercé Que tu n'a pas joué LA MELANCOLIE LA MELANCOLIE {text:soft-page-break} C'est voir un mendiant Chez l'conseil fiscal C'est voir deux amants Qui lis'nt le journal C'est voir sa maman Chaqu' fois qu'on s'voit mal LA MELANCOLIE C'est revoir Garbo Dans la rein' Christine C'est revoir Charlot A l'âge de Chaplin C'est Victor Hugo Et Léopoldine LA MELANCOLIE C'est sous la teinture Avoir les ch'veux blancs Et sous la parure

paysage fait avec la lumière et le minéral et le liquide pour les réfléchir ! » Mon âme ne répond pas. « Puisque tu aimes tant le repos, avec le spectacle du mouvement, veux-tu venir habiter la Hollande, cette terre béatifiante ? Peut-être te divertiras-tu dans cette contrée dont tu as souvent admiré l’image dans les musées. Que penserais-tu de Rotterdam, toi qui aimes les forêts de mats et les navires amarrés au pied des maisons. » Mon âme reste muette. « Batavia te sourirait peut-être davantage

Allons ma pauvre main, le couteau, le couteau! Traîne-toi vers une vie qui s'ouvre lugubre... Pas de faiblesse! Ne pas penser à tes enfants... que tu les aimes plus que tout,... que tu les as mis au monde... Au moins pour ce bref instant oublier tes enfants... Ensuite abandonne-toi aux pleurs... Oui, même si tu les tues, ils auront pourtant été aimés... Et moi, quelle femme malheureuse je suis! (Médée entre dans la maison et verrouille les deux battants de la porte) Texte B. Pierre CORNEILLE, Médée