Maurice Couve de Murville

(manipulés par les gauchistes) ; • menace d'utiliser à nouveau l'art 16 ; • si fr mécontents, il faut arrêter les violences. Il va dissoudre l'Ass et se manifester par le vote (juin 68) : victoire des gaullistes. Pompidou renvoyé, remplacé par Maurice Couve de Murville (erreur car Pompidou a géré la crise). De G teste sa cote de popularité en avril 1969 → référendum : réforme du sénat et régionalisation → NON 53% → De G démissionne. Alain Potier : président par intérim. Pompidou poursuit

alinéa 1er de la Constitution de 1958 («Le Gouvernement détermine et conduit la politique de la nation») furent profondément détournées, conférant en substance un caractère «présidentialiste» au régime foncièrement parlementaire de la Ve République (Maurice Duverger préfère la qualification de régime «semi-présidentiel»). Le général de Gaulle a ainsi rapidement considéré que la dyarchie au sommet de l’Etat n’existait pas tant le chef de Gouvernement lui était soumis et qu’il «procède» de sa personne

Recherche scientifique et des questions atomiques. Outre ces ministres, on retrouve Maurice Couve de Murville aux Affaires étrangères (qui occupe ce poste depuis 1959, et ce jusqu'à sa nomination à Matignon), Roger Frey à l'Intérieur, Pierre Messmer aux Armées et Valéry Giscard d'Estaing aux Finances. À la suite de la conférence de De Gaulle rejetant l'« Europe intégrée », les cinq ministres du MRP (dont Pflimlin et Maurice Schumann) démissionnent le 15 mai 1962, conduisant à un remaniement ministériel

1er mai 1962, est chargé de la Recherche scientifique et des questions atomiques. Outre ces ministres, on retrouve Maurice Couve de Murville aux affaires étrangères, Roger Frey à l'intérieur, Pierre Messmer aux Armées et Valéry Giscard d'Estaing aux Finances. À la suite de la conférence de De Gaulle rejetant l'« Europe intégrée », les cinq ministres du MRP (dont Pflimlin et Maurice Schumann) démissionnent le 15 mai 1962, conduisant à un remaniement ministériel. Deux autres légers remaniements ont

décembre 1965 | | Parti politique | RPF (1947) UNR (1958) UDR (1968) | | République | Ve République | | Constitution | Constitution de 1958 | | Premier(s) ministre(s) | Michel Debré (1959-1962) Georges Pompidou (1962-1968) Maurice Couve de Murville (1968-1969) | | Prédécesseur | René Coty (IVe République) | | Successeur | Alain Poher (par intérim) Georges Pompidou | | Élu(e) le | {{{élection2}}} | | | | Élu(e) le | {{{élection3}}} | | | | Élu(e) le | {{{élection4}}}

Pompidou affronte seul les revendications. A son retour il dissout l’Assemblée nationale et les élections législatives qui suivent assurent le succès des gaullistes. Mais le pouvoir est affaibli. Après avoir remplacé Georges Pompidou par Maurice Couve de Murville, de G. propose un référendum sur la régionalisation qui se solde par une majorité de « non ». Il démissionne sur le champ le 27 avril 1969, se retire à Colombey-les-deux-Eglises et se consacre à la rédaction de ses Mémoires d’espoir donc

lui qui forma son ministère, en accord avec le général de Gaulle bien sûr, mais tout compte fait, plus librement qu'un président du Conseil obligé d'en passer par les exigences des chefs de partis. Le chef de l'État lui demanda de conserver Couve de Murville aux affaires étrangères, Guillaumat aux armées, et Malraux en taillant pour ce dernier un ministère des affaires culturelles qui donnerait «du relief» à son gouvernement. Il lui conseilla aussi de garder Pinay aux Finances mais il le laissa libre;

secrétaire d'État à l'Emploi auprès du ministre des Affaires sociales Jean-Marcel Jeanneney, dans le troisième gouvernement Pompidou, entamant une longue carrière ministérielle qui continuera dans tous les gouvernements successifs, dirigés par Maurice Couve de Murville, Jacques Chaban-Delmas et Pierre Messmer, jusqu'en 1974. Plus jeune membre du gouvernement en 1967, l'une de ses premières réalisations est la création de l'Agence nationale pour l'emploi. Durant mai 68, il joue un rôle capital lors des Accords

problèmes de l'emploi (Gouvernement de Georges Pompidou) 1968: Conseiller Général du canton de Meymac, réélu en 1970, en 1976 et 1982 1968-1971: Secrétaire d'Etat à l'Economie et aux Finances (Gouvernements de Georges Pompidou, Maurice Couve de Murville, Jacques Chaban-Delmas) de juin à août 1968 Député UDR de la Corrèze depuis 1969: Trésorier de la Fondation Claude Pompidou (Association venant en aide notamment aux personnes âgées et aux enfants handicapés) de 1970 à mars

Perben, Charles Paccou, Gabriel Kaspereit, Mme Martine Daugreilh, MM Eric Raoult, Richard Cazenave, Jean-Louis Masson, Mme Lucette Michaux-Chevry, MM Michel Péricard, Antoine Rufenacht, Jean-Louis Debré, Gérard Léonard, Jacques Toubon, Jean-Michel Couve, Patrick Ollier, Jean Valleix, Claude Dhinnin, François Fillon, Patrick Devedjian, Alain Cousin, Jean Kiffer, Christian Estrosi, Jean-Pierre Delalande, Pierre-Rémy Houssin, Roland Nungesser, Jean-Yves Chamard, Jean Tiberi, Georges Tranchant, Jean-Paul