Maurice Couve de Murville

question, approuvez-vous l'organisation provisoire des pouvoirs publics organisée par le gouvernement ?'', celle-ci n'en est pas moins une réussite (96 % de ''oui'' à la première, 66 % à la deuxième) ce qui crée des hostilités. Dès le 15 novembre, Maurice Thorez du Parti Communiste exige, en tant que premier parti de France, obtenir l'un des trois ministres clés, à savoir, la Défense nationale, l'Intérieur ou les Affaires Étrangères. Anti-copie - Biographie de Charles de Gaulle - Mes-biographie s

première question, approuvez-vous l'organisation provisoire des pouvoirs publics organisée par le gouvernement ?", celle-ci n'en est pas moins une réussite (96 % de "oui" à la première, 66 % à la deuxième) ce qui crée des hostilités. Dès le 15 novembre, Maurice Thorez du Parti Communiste exige, en tant que premier parti de France, obtenir l'un des trois ministres clés, à savoir, la Défense nationale, l'Intérieur ou les Affaires Étrangères. De Gaulle refuse et le PC renonce à ses exigences après que

ensuite, très exceptionnels. Des Conseils de cabinet ont été réunis (4+1) pendant les présidences intérimaires (1969, 1974) de M. Alain Poher, candidat centriste aux élections présidentielles de 1969, par les Premiers ministres gaullistes Maurice Couve de Murville et Pierre Messmer. De fait certaines réunions à Matignon des ministres, sous la direction du Premier ministre, sont de véritables Conseils de cabinet non-officiels. Ce fut par exemple le cas lors de la cohabitation Mitterrand-Chirac entre

les pouvoirs publics. Ainsi, André Bettencourt a mené une longue carrière politique qui l’aura conduit d’un conseil municipal à l’assemblée national et au Sénat, et du cabinet de Pierre Mendès France aux gouvernements de George Pompidou, Maurice de Couve de Murville, Jacques Chaban-Delamas et Pierre Messner. Profondément ancré à droite, il n’a pourtant jamais caché l’amitié qui le liait à François Mietterrand. C’est néanmoins de Georges Pompidou qu’il se sentait le plus proche et il n’était pas rare

élections législatives décevantes de 1967 et la crise de mai 1968. Lors de ce dernier événement, le cabinet de Georges Pompidou signe avec les principales centrales syndicales les accords de Grenelle. Le 10 juillet 1968, il est remplacé par Maurice Couve de Murville. Il se retrouve "simple" député du Cantal. Une présidence gaullienne. Georges POMPIDOU, président de la République.  L'échec du référendum sur les réformes du Sénat et des régions entraîne la démission du général de Gaulle

partis issus de la résistance, le Parti communiste, la SFIO* et le MRP* . Ils forment une coalition, le tripartisme* , et défendent un régime favorable aux partis. • Le Parti communiste, fier de son rôle pendant la Résistance, est un parti puissant. Maurice Thorez , Secrétaire général du PC, réclame les ministères les plus importants, mais de Gaulle les lui refuse. • De Gaulle démissionne le 20 janvier 1946 . Opposé à l’Assemblée constituante qui souhaite donner un grand rôle aux partis, il propose un

d’abord de façon informelle. Quelques pionniers l’ont façonné, à leur manière. Notons les avis précurseurs du publicitaire Marcel Bleustein-Blanchet à des hommes de la Quatrième République comme Pierre Mendès France, Antoine Pinay, Guy Mollet ou Maurice Bourgès-Maunoury, puis au général de Gaulle, à qui il suggère, raconte-t-il, en 1958, d’ôter ses lunettes à la télévision et de ne pas lire son texte 1. En 1965, la campagne pour l’élection du président de la République au suffrage universel prend

période se limitait à aller voter car le monde politique demeurait très largement masculin. On peut expliquer cette faible présence de femmes en politique par le fait qu'encore peu de femmes s'intéressent à la politique (explications dans le livre de Maurice Duverger en 1955). On peut en effet remarquer que les femmes s’abstiennent plus souvent que les hommes et votent plus pour les partis conservateurs que pour les partis socialistes et communistes. Alors que les partis de gauche sont ceux qui présentent

se rallient avec lui dès le premier été. Mais il est le même Charles le seul, quoi qu’il dispose d’un État-major politico-militaire brillant : le général Catroux, l’amiral Muselier, René Pleven, le professeur René Cassin, Pierre - Olivier Lapie, Maurice Schumann, Louis Vallon et le capitaine André Dewavrin. Il est seul parce que le pays pour lequel il lutte l’a condamné à mort, privation du rang militaire et confiscation des propriétés, par le tribunal militaire de Clermont – Ferrand, le 2 août 1940

autoritaires suscitent une critique croissante. Ainsi l'ORTF, détentrice du monopole de l'audiovisuel, se fait ouvertement le relais de la propagande officielle. À Paris, le préfet Maurice Papon, responsable des tueries du 17 octobre 1961 et du métro Charonne quelques années plus tôt à peine, n'a été remplacé qu'en 1967 par Maurice Grimaud, lettré humaniste venu de la gauche mendésiste. D'autre part, la politique extérieure de prestige de Charles de Gaulle et son nationalisme ne répondent pas nécessairement