Militantisme

formant, avec Élie Semoun, le duo comique Élie et Dieudonné. Il se produit ensuite en solo, tout en menant une carrière au cinéma. Parallèlement, il s'engage en politique à la fin des années 1990 ; depuis, il s'attache à faire transparaître son militantisme dans ses one-man-shows. Dieudonné est d'abord marqué à gauche, mais son image publique se modifie à partir du début des années 2000 : plusieurs de ses déclarations lui valent des premières accusations d'antisémitisme et déclenchent de vives polémiques

ici de s'interroger sur les indicateurs permettant de constater la baisse d'influence des syndicats dans la société française et d'en déterminer les causes explicatives dans un deuxième temps. 1 Les crises contemporaines du syndicalisme et du militantisme 1 Une représentativité en forte diminution La crise actuelle du syndicalisme peut se mesurer par l'évolution à la baisse des indicateurs de représentativité des principales confédérations. Depuis les années 70, le nombre d'adhérents a

forces de gauche, il convient de voir en lui la volonté qu’il soit l’instrument de visibilité extérieure pour la Solidarité française et les Jeunesses patriotes qui sont par ailleurs confrontées à la concurrence des Croix-de-feu sur le terrain du militantisme (cette dernière comme le Francisme de Marcel Bucard refuseront de s’associer à toutes initiatives du Front national). Par ailleurs, le Front national est conçu comme un moyen d’unir le plus de militant par une propagande uniquement axée sur

agissent plus directement et plus concrètement notamment en faisant du porte-à-porte. Un parti tel que le MJS affirmera qu’ils sont la « démonstration au quotidien d’une autre façon de faire de la politique » et que « cette façon de faire, c’est le militantisme de terrain ». Ils luttent avec énergie pour défendre leurs convictions mais aussi plus largement, celle du parti politique qui s’en rapproche, qu’il soit un mouvement jeune ou non. De plus, la création de ces sections jeunes est aussi un moyen

politique migratoire de la France, organisation d'homosexuels militant pour l'obtention d'un statut légal et d'une plus grande reconnaissance sociale, grève de la faim des sans-papiers (.. .). Plus profondément, il semble que ce soit la nature même du militantisme qui ait changé, évoluant vers des formes plus spontanées, en marge des partis et des formations politiques traditionnelles. Et si les mouvements sociaux ne visent plus explicitement à la transformation de la société globale, et se méfient des formes

que les hommes de valeur se découvrent et se forgent ". Le journal quotidien, qu'il tient en ces jours pénibles pour lui, montre quelques uns de ses traits de caractère que le sens populaire a vite fait de décrypter. Ne définit-il pas lui même le militantisme comme "le refus obstiné de l'arbitraire, la volonté inébranlable de résister aux influences pernicieuses et aux tentations, la combativité dans toutes les situations, la rectitude morale et intellectuelle, la franchise, le respect de la vérité

Vénissieux cela démontre la volonté des jeunes a s’inscrire dans les préoccupations de leur époques. Les jeunes développent des valeurs d’humanisme, de solidarité ils mettent leur volonté en pratique par le biais d’associations. Joindre une action militantisme leur fait partager une expérience en commun, ils se sentent rassuré. La force de se lien vient donc de l’intérêt. Les jeunes de 15-24 ans sont nettement plus généreux, c’est indéniable, cependant envers qui le sont ils le plus ? En effet, les

ailleurs, il est aussi responsable et anime avec Eric Agrokolianski et Nonna Mayer, le GERMM (Groupe d’études et de recherches sur les mutations du militantisme). Ce groupe d’étude de l’Association française de science politique réunit depuis 1994 des chercheurs travaillant sur des organisations très diverses, leur point commun étant de relever d’« un militantisme moral », aujourd’hui en plein essor, fondé sur d’autres solidarités que les solidarités de classe, et spécialisé dans des causes telles que l’antiracisme

Mais cette forme de participation politique connaît un net recul particulièrement chez les jeunes : l’abstention est de plus en plus importante en France, et les individus adhèrent de moins en moins aux partis politiques. On parle d’une crise de militantisme partisan traditionnel (le nombre d’adhérents du parti communiste est passé de 1 million en 1945 à 140.000 aujourd’hui). Les individus préfèrent un engagement à la carte (refus de suivre mécaniquement la ligne officielle d’un parti dont on se sent

cette utopie qu'on peut changer la société. Importantes conséquences politiques: dégradation des échanges politiques, le politique se désengage, on assiste à « un effondrement mental » des pouvoirs publics, une impuissance politique (érosion du militantisme) mais malgré cela on croit toujours à la politique car les NMS apportent de nouvelles formes de mobilisations et de postures politiques. Le mouvement ouvrier existe toujours, sa continuité ne résidera pas dans une reformulation de ses objectifs