Monnaie Passive Et Monnaie Active

La monnaie comme variable passive ou active et la politique monétaire David Laidler, économiste invité • Le rôle que joue la monnaie dans la transmission de la politique monétaire reste controversé. Certains voient en la monnaie une variable passive, qui réagit aux variations des prix, de la production et des taux d’intérêt; d’autres lui assignent plutôt un rôle actif dans la modification de ces variables. Les résultats empiriques militent en faveur de l’assignation d’un rôle actif à la monnaie dans

coûts de gestion, les actifs ne sont pas exclus d'un plan d'investissement à court terme. Nous nous tournons à présent vers les stratégies de couverture de risque les plus courantes. I/ L'approche passive. Les stratégies de currency overlay peuvent être passives ou actives. Un stratégie passive est relativement simple : une couverture complète du risque du change est mise en place en convertissant le montant total de l'exposition sur la devise étranger vers la devise locale. Le but de chacune

Introduction : La monnaie est un bien qui n’a pas d’utilité en soi. Son utilité n’apparait que dans le cadre d’une économie marchande, économie caractérisée par le développement des échanges. L’opposé est l’économie de subsistance. Une économie caractérisée par une forte consommation et par le faible renouvèlement des biens. La monnaie est un phénomène social. Son utilisation et son acception comme moyen de paiement repose sur la confiance des agents économiques dans le système qui l’a créé (La

lutte contre l’inflation A) Les fondements théoriques 1) Comme moyen de lutte contre l’inflation Les libéraux : pour eux la monnaie est neutre à long terme Fisher : « théorique quantitative de la monnaie, pour lui l’inflation = création monétaire trop excessive. Pour eux la monnaie ne dépend pas du taux d’intérêt. Modèle : MV=PT M= quantité de monnaie en circulation V= vitesse de circulation P= niveau général des prix T= volume de transaction Donc M augmente, P augmente car

ne peut que y avoir du chômage involontaire induits par l’insuffisance de la demande effective de biens et services. Si le niveau de la demande effective est inférieur au niveau de production permettant d’embaucher l’intégralité de la population active du chômage apparaîtra qui est du chômage involontaire. C’est un chômage conjoncturel et selon Keynes le seul moyen d’y remédier et de mettre en œuvre des politiques conjoncturelles 2/Les politiques de l’emploi 1)Politiques conjoncturelles

abandonnés leur monnaie nationale au profit d’un monnaie unique. Depuis le 1er janvier 2002, cette monnaie est intégrée dans les échanges quotidiens. Cela fait suite au Traité de Maastricht en 1992. Ce changement est l’occasion de se poser la question de savoir ce qu’est la monnaie, sachant que cette expérience récente montrant que le choix d’une monnaie est essentiellement conventionnel, mais peut être source de perturbations (perte de référence pour les acteurs). Les formes de monnaies qui ont été

besoins d’économie, et qui manifeste une croissance généralisée, continue et soutenue du niveau moyen des prix pour une longue période. L'inflation est la hausse du niveau général des prix, entraînant une baisse durable du pouvoir d'achat de la monnaie. Elle est généralement évaluée au moyen de l’Indice des prix à la consommation (IPC). En général, on parle de l'inflation des prix à la consommation des biens et services, mesurée à qualité égale. L'inflation est un phénomène persistant, autoentretenu

La monnaie est-elle neutre ? « Les activités réelles sont influencées par les variables monétaires, d’autre part, les grandeurs monétaires sont dépendantes des grandeurs réelles » explique Jean-François GOUX dans son ouvrage Macroéconomie monétaire et financière. Cet économiste français du XXIème siècle fait ici le constat d’une relation de réciprocité entre sphère monétaire et sphère réelle. La monnaie est un actif parfaitement liquide qui permet de s’acquitter de ses dettes. C’est donc un

les effets pervers des politiques budgétaires ? B/ LA POLITIQUE MONETAIRE 1/ LES OBJECTIFS : 11. Quels sont-ils ? 2/ LA THEORIE QUANTITATIVE DE LA MONNAIE : Selon les monétaristes (FRIEDMAN), le niveau général des prix est déterminé par la masse monétaire. L’inflation est donc due à un excès de monnaie en circulation. Le rôle de l’Etat devra donc être d’assurer le contrôle de la masse monétaire. 3/ LES INSTRUMENTS : • L’intervention directe sur le crédit : depuis

pas au niveau microéconomique Allocation donnée des ressources Théorie de la demande révélée ANALYSE 8 oppositions théoriques fondamentales Loi des débouchés (de Say) : tout produit nouveau crée ses débouchés, l’offre crée la demande Monnaie neutre, passive : elle n’intervient qu’au moment de l’échange. Dichotomie de la sphère réelle et monétaire. Théorie de la valeur utilité Intérêt réel : prix du temps, de l’épargne qui est une renonciation à consommer, équilibre l’épargne et l’investissement