On Ne Peut Rien Fonder Sur L Opinion

Thème du texte : analyse du rapport qu'entretiennent science et opinion → définition de l'esprit scientifique. Bachelard analyse les différents obstacles épistémologiques (ensemble de représentations du réel empêchant sa compréhension). Thèse défendue par Bachelard : c'est la première phrase du texte, non seulement l'opinion est un obstacle épistémologique (le premier) qu'il faut vaincre dans la constitution de la science, mais il faut le faire constamment, c'est un obstacle récurrent. La science

Descartes définit et justifie l’entreprise d’un doute méthodique ayant pour fonction la possibilité d’établir au moins une vérité indubitable. Contrairement à la démarche sceptique il s’agit de se servir du doute comme d’un instrument capable de fonder la vérité afin de refonder la science. Le contexte intellectuel (la lunette de Galilée a montré que nos représentations du monde étaient fausses quand bien même elles feraient autorité) tout autant qu’un enseignement traversé de thèses contradictoires

dit que du nouvel élu qu’il est dans «un état de grâce », car il a l’opinion publique avec lui ou bien qu’elle lui est favorable. Mais nous savons que cet état ne dure pas et que l’opinion publique peut se retourner facilement contre le pouvoir politique. Mais peut-on encore gouverner avec une opinion publique montée contre vous ? Il est bien plus facile pour gouverner de l’avoir à ses côtés que dressée contre. Il faut dire qu’une large part de la rhétorique politique consiste à chercher à se concilier

Mathieu Gauvin Dissertation philosophique Comment Socrate chercha-t-il à fonder une forme de vérité qui dépasse le relativisme défendu par les sophistes? Présenté à : Caroline Vilain Philosophie et rationnalité 340101MQ-000045 Collège Montmorency Le 13 décembre 2010 Dissertation philosophique On a souvent attribué à Socrate le titre de «père de la philosophie» pour ses idées nouvelles et différentes à son temps, ce qui changea radicalement la façon de penser de son époque, c’est-à-dire

surmonter, c’est parce qu’elle est privée de pensée, ne s’interroge pas et ne se pose aucune questions, elle juge selon les apparences et surtout l’intérêt. Elle « traduit des besoins en connaissances », c'est à dire qu'elle considère réellement ce qui peut être source de satisfaction, et juge trop rapidement et simplement, s’interdisant elle-même de connaître la vérité. Tous le savent, ce qui plaît ou procure satisfaction n’est pas toujours ce qui est vrai, on a parfois besoin d'imagination, de fantaisie

toujours ce que l’on désire,sans le connaître d’abord, bien que cette connaissance soit possible.Il montre tout simplement qu’on le sait pas, notre conscience nous permet pas de le savoir et que cela ne viendrais tout simplement que par le hasard.C’est au fond un texte à dimension morale avec la philosophie de l’action et psychologique, avec la philosophie des sentiments sur les « motifs » qui sont encore une fois, plus ou moins conscients qui nous retiennent ou au contraire nous poussent. On sera donc mené

personnel, comme quand on dit que l’on a ses propres opinions (convictions). Bachelard oppose radicalement science et opinion. Analysant le premier obstacle épistémologique, l’opinion, il montre que l’esprit scientifique doit penser contre l’opinion et savoir s’interroger. La croyance apparaît alors comme un obstacle de la raison. II/ Problématique et Plan de la question 3 : Question classique par excellence, l’opposition entre opinion et science peut sembler évidente. Cependant, il faut considérer

Philosophie Sujet : Toutes les opinions sont-elles tolérables? Dans un premier temps pour pouvoir être capable de disserter sur un sujet comme celui-ci, il est nécessaire de bien comprendre le sens du sujet, c'est-à-dire qu’il faut définir précisément les termes « opinion » et « tolérable ». En effet, une opinion est une idée à laquelle on croit personnellement ou collectivement. C’est une croyance qui est fondée uniquement grâce aux sources que l’on a décidé de croire, qu’elles soient justifiées

produits, toutefois sans une communication verbale significative. Mais qu’est ce qui a pu se passer dans la tête de chacun de ces individus? On ne peut passer sous silence l’influence des filtres de chacun des interlocuteurs silencieux. Ils se retrouvent face à leurs perceptions, leurs préjugés et même des stéréotypes intégrés au fond d’eux mêmes. Les deux personnages agissent et réagissent en fonction de leur perception de la situation, de leurs préjugés et de leurs stéréotypes. A

dans laquelle la vérité en est la notion principale, où le « vraie » et le « faux » semblent ainsi désigner le caractère authentique d’une réalité qui ne peut pas tromper, à laquelle on peut se fier, qui de manière courante, renvoi à la plus ancienne conception de la vérité (comme l’est exprimée celle de Platon dans le mythe célèbre de la caverne) Peut-on alors aller vers une vérité universelle tout en ayant des théories opposées ? Nous verrons qu’il y a une part de possibilité de surmonter ces oppositions