Panthéisme

Fiori de Rome. Il se distingue de son époque car il défendait la liberté de penser. La société prônait l’Église et les idées d’Aristote. Il conclue que Dieu n'est pas hors de l'univers, mais qu'il est responsable de toute matière (création du panthéisme). A cause de cela, l’Homme s’est senti bouleversé car il se sentait en sécurité avec comme seule étoile, le Soleil qui tournait autour d’eux. Tout d'un coup, tout ce qui était tenu pour vrai, s'effondrait, mais l'église ne pouvait pas accepter un

parfaitement bon ou parfaitement mauvais. Le mal est un manque de bien. Donc, s’il a créé l’être humain imparfait, c,ets parce qu’il est à la base mauvais. Vont à l’encontre de la philosophie créationnisme, mais plutôt d’une philosophie panthéisme. Panthéisme = Dieu est tout (donc le monde) L’erreur existe, mais l’humain est doté par Dieu de ce qui lui permettrait d’éviter les erreurs (la raison) La méthode (4 règles) (p.51) 1. La règle de l’évidence : éviter la précipitation et la prévention

cultes "traditionnels" selon lesquels les éléments de la nature (les pierres, le vent, les animaux) seraient dotés d'âmes ou d'esprits. Ainsi défini, il peut caractériser des sociétés extrêmement diverses, situées sur tous les continents. -Panthéisme : panthéisme, nom masculin |Sens Système religieux, philosophique, qui identifie Dieu et la nature [Religion]. | -Mysticisme : mysticisme, nom masculin |Sens 1 Croyance selon laquelle l'homme peut

refrain, « noire », est transformé en « obscure ». Ce qui rompt la monotonie et contribue à la musicalité du poème. Puis la femme, selon un rythme ternaire, est assimilée d’abord à l’arbre, ensuite au vin et enfin à la bouche. C’est l’expression d’un panthéisme qui intègre les trois règnes de l’univers dans le vers : règne végétal, règne animal, règne minéral. Le poète peint ensuite les réalités africaines que sont la savane et le tam-tam. Ce qui frappe dans ces versets, c’est le jeu des répétitions

par rapport à Dieu. Aux vers 5 et 6, apparaît une conception de l'amour comme étroitement lié à la douleur, comme ne pouvant exister que par elle. Dans la deuxième partie de la deuxième strophe, avec «celui que tout nomme» le poète manifeste son panthéisme. Les êtres aériens que sont les oiseaux servent d’intermédiaire entre l’homme cloué à la terre et la divinité. Commence au vers 13 un tableau de la nature dont on sait qu’il est très précis. Ainsi, «l’arbre» était un châtaignier qui servit, à Hugo

mêmes sentiments qui avait exalté nos pères chaque fois que la gloire couronnait la patrie ». Avec le temps après avoir donné sa démission et s'être retiré à Colombey -les - deux – Églises, De Gaulle colore cette fois patriotique de panthéisme (au sens strict le panthéisme identifie le monde à Dieu c'est-à-dire Dieu est la somme de tout ce qui existe dans l'Univers / sens courant : c'est une divination de la nature). La vieille France qu'il salut « allant et venant sans relâche de la grandeur au déclin »

dans ce texte l’expression d’un certain panthéisme. En effet, ici, la nature semble avoir une âme cachée, elle semble être animée (cf la mythologie gréco-latine qui croyait que des divinités se cachaient dans les arbres et les sources) : cela est confirmé par la personnification des deux sources à qui Colette prête des caractères opposés : « Elle se décourageait » Nous assistons à une sorte de rituel païen et la religion de Colette semble être le panthéisme. Transition : ce rapport d’une totale

prière plus collectif(dans le silence de chacun. Comme les religions ne se structurent plus autour de ces rites elles se structurent autour de loi( c’est la parole de Dieu. b. Panthéisme à la transcendance La Panthéisme : religion pré-moderne monothéiste / Transcendance : religion pré moderne MA monothéisme. Le Panthéisme : polythéisme et immanence ( Les dieux sont le monde. Les dieux sont partout la nature et le monde, ils ont immanent. Le P. mène directement au fatalisme : l’homme ne métrise pas

demi-siècle. Ce qui est remarquable de sa pensée est la philosophie, la politique, l’art. Tout est lié chez ce génie du XIXe siècle. Catholique à son début, Hugo s’oriente progressivement vers le déisme et vers le panthéisme. (Déisme : Croyance en un dieu suprême indépendamment de toute église… Panthéisme : Doctrine métaphysique faisant des Dieux la totalité du monde.) La fin de sa vie est marquée par la mort de ses deux fils et de Juliette Drouet. Il meurt en 1885 avec des funérailles nationales. Son corps

intérêt, malgré l’extrême difficulté de sa lecture : on verra dans sa philosophie un « panthéisme », qui identifie Dieu et la Nature, panthéisme qu’on assimilera à la philosophie de Leibniz, pour qui l’harmonie préétablie de l’univers créé est le miroir de la sagesse de Dieu, et qui fut l’un des premiers, parmi les penseurs allemands, à avoir voulu réconcilier la religion et la raison. De plus le « panthéisme » de Spinoza se renforce en Allemagne d’un sentiment presque religieux envers le spectacle