Particules en suspension

Chapitre I La technique de dépôt par électrophorèse La technique de dépôt par électrophorèse s’appuie sur un phénomène rapporté au début du 19ième siècle par le scientifique russe Ruess. Celui-ci remarqua la migration de particules d’argile en suspension suite à l’application d’un champ électrique [Ruess1809]. Il fallu cependant attendre 1933 pour qu’une application concrète de l’électrophorèse soit réalisée : un brevet est alors déposé pour le recouvrement de cathode de platine par du tungstène

techniques de séparation liquide-solide basées sur le phénomène de sédimentation, qui consiste à séparer d’un liquide les particules en suspension en utilisant les forces gravitaires. Les procédés mis en œuvre diffèrent selon que l’on recherche seulement à augmenter la concentration des solides (épaississement) ou que l’on vise à obtenir un liquide claire à partir une suspension diluée (clarification), Dans le cas de la laverie MPII il s’agira d’une opération de clarification, vue qu’on vise l’obtention

appelée solutions colloïdales) ou les suspensions de fines particules ou de cellules développent avec la lumière des interactions complexes que l’œil interprète par la vision d’un trouble. Dans un milieu trouble, chaque particule se comporte comme une source secondaire de lumière. Au sein d’un milieu trouble, la lumière subit trois catégories de phénomènes principaux : - des diffusions fonctions de la forme, la taille, la composition des particules ; - des réflexions (phénomène mineur

les plus anciennes pour certaine d’entre elle qui on plus de 150 ans. Dans ces briqueteries il y a des rejets sous deux formes : sous frome de poussière, et sous forme de gaz. Les rejets sous forme de poussière sont appelés particules en suspension. Ces particules en suspension vont tomber sur le sol, ce qui expliquerait ces concentrations de poussière importante dans certain endroit de la ville. Et ce qui n’arrange rien c’est les dames qui ballait la poussière comme nous pouvons le voir sur cette

Définition : Séparation de particules par rapport à un fluide (liquide ou gaz) qui s’effectue grâce aux mouvements des particules sous l’action de la gravité. Quand on effectue une décantation statique d’un mélange de deux phases on obtient :  Particules solides en suspension dans un liquide : dépôt  Globules liquides (micelles) Calcul des forces mises en jeu : * Caractéristiques spécifiques à chaque phase pour le calcul Liquide de dispersion : masse volumique, viscosité Particules solides ou globules

chnittlichen Laboranten eigen ist ( 1 bis 1, 5 o/o), - eine Standardabweichung zwischen Labo ranten ( 1 bis 2 %) . VI. LISTE DES SYMBOLES UTILISES Symbole A D Signification Section d'une éprouvette de sédimentation. Diamètre équivalent d'une particule en sédimentation. Diamètre équivalent calculé à partir de la vitesse v 0 Unité cm ou f.Lm cm ou f.Lm cm ou f.Lm D 0 D s Diamètre équivalent calculé à partir de la vitesse v s Nombre de degrés de liberté. Accélération de la pesanteur

phase solide en suspension d’une phase fluide par passage à travers un milieu poreux. On obtient ainsi : * Un fluide clair nommé filtrat, plus ou moins clarifié (par exemple pas de particules supérieures à 100, 10 ou 1mm). * Un solide nommé gâteau, déposé sur le filtre ou soutiré en continu, plus ou moins sec. La rétention des particules lors de la filtration est le résultat de plusieurs mécanismes simultanés, qui sont principalement (figure 1) : Le tamisage Les particules sont arrêtées

désirables, qui la rendent dangereuse pour l’Homme ou pour l’environnement. Traitement physique : mécanisme permettant de retirer physiquement des objets ou particules dangereuses. Traitements chimiques : ajout de produits chimiques détruisant les particules dangereuses. Traitements biologiques : ajout de micro-organismes détruisant les particules dangereuses. Usine de traitement = usine de production d’eau potable : usine dans laquelle de l’eau prélevée dans l’environnement est traitée pour

consommation humaine ni pour l’industrie, car elle n’est pas potable, sauf de rare cas, suffisamment pure, lors de sa circulation dans le sol, à la surface de la terre ou même dans l’air, l’eau se pollue et se charge de matières en suspension ou en solution : particule d’argile, sels divers (chlorures, sulfates, carbonates de sodium, de calcium, fer, manganèse…), matières organiques (acides humique, fulviques, résidu de fabrication),gaz….etc. La présence de ces nombreuses impuretés de différentes

surface de séparation S des frottements qui se traduisent par une transformation d'énergie n chaleur et en ralentissement du solide le plus rapide. Pour les fluides (liquides ou gaz), des phénomènes analogues se produisent lorsque toutes les particules constituant le fluide ne se déplacent pas avec la même vitesse; mais à l'intérieur du fluide, les frottements ne se produisent pas sur ne surface de séparation qui n'existe pas, mais à l'intérieur du fluide A ces frottements à l'intérieur du