Pauline Viardot

l’histoire de la musique : Maria Malibran, Pauline Viardot et Manuel Garcia fils, célébré aussi comme le plus éminent auteur de traités et expert en didactique du chant de son siècle. Aux côtés de Garcia père, qui chantait Almaviva, brillait la contralto Geltrude Righetti-Giorgi (1793-1862), grande admiratrice du compositeur qui devint la première Rosina. Figaro était Luigi Zamboni, l’un des « buffos » les plus prestigieux du moment. Pauline Viardot Denkmal Deux raisons ont contribuées

en une relation mère-fils62. Grâce à Chopin, le cercle des connaissances et des amis de George Sand s'élargit encore ; Chopin reçoit des écrivains (Adam Mickiewicz, Julien-Ursin Niemcewicz), des musiciens (Giacomo Meyerbeer, Joseph Dessauer, Pauline Viardot), des membres de l'aristocratie polonaise en exil (Adam Jerzy Czartoryski, Delfina Potocka)63. Cependant, Chopin se comporte comme un compagnon absorbant et tyrannique64. Les malentendus deviennent plus fréquents, d'autant plus que les enfants

composées à Nohant. À Paris, le compositeur et l'écrivaine étaient traités comme un couple marié alors qu'ils ne le furent jamais. Les deux avaient des amis communs dans les cercles artistiques de la capitale: le peintre Delacroix, la chanteuse Pauline Viardot de même que des émigrés polonais. Pendant des années, le couple a joui d'un amour et d'une amitié profonde qui, avec le temps et l'attitude hostile toujours croissante de la part du fils de George Sand, qui exercait sur elle une influence profonde

D’autres figures du monde de l’art, de la littérature, de la musique, sont  simplement évoquées, ici ou là, à la faveur de rencontres, de correspondances  ou de commandes : Chateaubriand (fig. 9), Hugo ou Lamartine, pierre-narcisse  Guérin (1774-1833), paulin Guérin (1783-1855) et Anne-Louis Girodet (17671824) auxquels le roi commande les portraits des généraux vendéens (A. Rollandboulestrau), sans oublier Gioacchino Rossini (1792-1868), vincenzo bellini (18011835) que des artistes côtoient en italie ou en Angleterre dans les années 1820 

Populo Vincente Rodriguez, dont le nom de ville était Manuel Garcia (1775-1832), né à Séville, chanteur, acteur, compositeur et patriarche de la famille de chanteurs la plus extraordinaire retenue par l’histoire de la musique : Maria Malibran, Pauline Viardot et Manuel Garcia fils, célébré aussi comme le plus éminent auteur de traités et expert en didactique du chant de son siècle. Aux côtés de Garcia père, qui chantait Almaviva, brillait la contralto Geltrude Righetti-Giorgi (1793-1862), grande

il était devenu amoureux de la cantatrice Pauline Viardot. À Pétersbourg, après les représentations, il était admis avec quelques autres dans la loge de Pauline. Au centre de cette loge on voyait une grande peau d'ours blanc. Pauline s'asseyait au centre. Le droit de s'asseoir près d'elle sur une des pattes était un honneur recherché. Tourgueniev occupait la patte n° 3. Chacun des occupants devait pendant l'entracte raconter une histoire à Mme Viardot. Comment ne pas penser à ce souvenir quand on

trouver des enregistrements, [Adolphe Adam (Giselle, ballet de 1841), Johann Friedrich Burgmüller (La Péri, ballet de 1844),Xavier Boisselot, François Bazin, Hippolyte Monpou, Félicien David (Dans un baiser, l'onde, Sultan Mahmoud, et Gazhel), Pauline Viardot (Primavera ; Sérénade ; Lamento), Ernest Reyer (Le Sélam, symphonie-oratorio), Théodore Labarre, Victor Massé. On pourra encore citer Allyre Bureau et Napoléon Henri Reber. ------------------------------------------------- Notes et références

sûr que cela ne vous fasse pas du mal au lieu de bien, par une année aussi froide et aussi malsaine que celle-ci. Ensuite, vous dépenserez de l’argent et en troisième lieu vous vous ennuierez peut-être. Ici, vous ne vous ennuierez peut-être pas. Pauline(3) y sera d’abord. Elle s’est bien trouvée de la quinzaine qu’elle vient d’y passer et elle pense sérieusement à y revenir le mois prochain. Et puis, nous serons bien gentils et nous serons aimables tant que nous pourrons. Ensuite, vous vous y porterez

dernier séjourna longtemps à Cuba et publia en 1864 à Paris un recueil de chansons faciles, pour voix et piano. Ces mélodies en forme de habanera remportèrent un immense succès et furent chantées par les grandes cantatrices de l’époque, comme Pauline Viardot-Garcia et Adelina Patti. Citons la très célèbre Paloma 26 et El Arreglito 27 qui inspira à Bizet la fameuse habanera de Carmen. Nous pouvons émettre l’hypothèse que la famille Ravel avait eu connaissance de ce recueil si prisé dans les salons

de France. Buloz ayant refusé de publier ce roman, elle rompt avec La Revue des Deux Mondes. Amitié pour Pauline l'iardot, cantatrice, sœur de la Malibran. Elle l'accompagne en tournée à Cambrai. 1841. Juin-octobre : George Sand et Chopin à Nohant. Juillet : procès avec Buloz. 1 e r novembre : début de La Revue indépendante fondée par G. Sand avec Leroux et l'iardot, mari de Pauline. Elle va y publier régulièrement ses œuvres. Publication d'Horace dans La Revue indépendante. 1842. Janvier