Peut On éprouver Du Plaisir Devant Une Tragédie

ignore sa présence, le personnages caché peut découvrir les pensées du personnages qui parle. Dans la tragédie Brittanicus,Narcisse joue un double jeu auprès de son maître Britannicus .Le spectateur se rends alors compte des réelles intentions du tyran.Le Personnages du traître relèves la cruauté d’un empereur fou. Le Double jeu permet de mener un terme à l’intrigue car cela force le personnages à passer à l’acte.Il est obligé de passer à l’acte car il ne peut pas se laisser faire. Cela oblige le

détruire pour lui qu’il n’en a aucun ! • Il se pose donc en seul maître et juge du caractère moral ou non de son action et maltraite la doctrine du sacrifice chrétien (« je prends le mal sur moi »). Le vers 1520 marque même une certaine impatience devant les scrupules d’Elmire : « Oui, madame, on s’en charge » ; le pronom indéfini par lequel il se désigne montre le peu d’importance qu’a pour lui ce genre de question. C.Tartuffe et Orgon Tartuffe révèle également sa vraie conduite dans la maison d’Orgon

le dénouement I- Situation - Présenter le personnage de Dom Juan, - Présenter Molière, - Résumer la pièce jusqu’au texte en étude. II-Lecture III-Présentation/ Problématique/Plan Confronté à la présence du surnaturel, Dom Juan ne peut rivaliser et finit châtié en enfer. Quelles sont les forces qui ont pu vaincre le grand séducteur ? Quelle dernière image ce dernier donne-t-il de lui-même ? IV-Explication A) Présence du surnaturel - Le spectre = fantôme d’un mort. Il incarne

LOUISE. - Jean-Claude, tu as vu où elle nous a placés, au sixième rang d'orchestre1, au milieu de tous les gens connus, elle n'était pas obligée, on n'est pas célèbres, on est même le contraire, elle a fait ça pour nous faire plaisir. JEAN-CLAUDE. — Je n'ai éprouvé aucun plaisir. LOUISE. - C'est bien pour ça que je ne te demande pas de lui dire « merci », là d'accord, « merci » ça pourrait avoir un petit côté hypocrite surtout si tu t'es beaucoup ennuyé, mais « bravo », franchement ! [...] JEAN-CLAUDE

Ferté-Milon le 22 décembre 1639 et mort à Paris le 21 avril 1699, est un dramaturge français considéré comme l'un des plus grands auteurs de tragédies classique. Il composa Andromaque en 1666. 2. Le succès d'Andromaque en 1667 ouvre une décennie de grande création où l'on trouve au côté d'une unique comédie (Les Plaideurs en 1668) six grandes tragédies : Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet (1672), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et Phèdre (1677). Auteur à succès mais ébranlé par

Introduction : La réflexion grecque sur l'esthétique théâtrale est relativement tardive : Platon et Aristote (IVe s. Av. J.C.) écrivent à peu près 150 ans après la naissance de la tragédie (au cours du VIe s. av. JC.), et un siècle après l'essor de la tragédie (Ve. C). Il est donc absurde de juger les tragédies grecques que nous avons conservées uniquement d’après les critères qu’ils ont formulés. * Platon ne développe pas une esthétique du théâtre à part entière : sa réflexion sur

particulières des représentations théâtrales au Siècle classique. Les deux suivants appartenaient au XXe siècle, mais tentaient de ressusciter une partie de la dramaturgie antique, notamment le rôle du chœur. Réponse : La représentation théâtrale ne peut être conçue, exécutée et finalement appréciée qu’en fonction d’un environnement systémique. Elle résulte d’un ensemble de facteurs qui interagissent ou du moins conditionnent la réalisation : espace scénique, rideau de scène, éclairages, machinerie

la Grèce antique, plus récent que la tragédie. Elle est née à Athènes au cinquième siècle av. J-C. La rivalité entre les deux genre, comédie et tragédie, va vite éclater lorsque des fêtes vont être dédiées à la comédie (et à Dionysos) pendant un jour alors que pour la tragédie trois jours y sont consacrés. Aristote sera le premier à représenter cette hirarchie dans sa poétique.La comédie est considérée comme étant moins un genre moins sérieux que la tragédie. Mais la comédie est-elle uniquement

dénoncer vices et turpitudes humains. Mais cette alternative at-elle un sens ? S’il est vrai que la visée morale peut tuer le plaisir du spectacle, que l’idée peut tuer l’art, n’y a-t-il pas un équilibre possible qui permettrait au théâtre, comme le voulait l’esthétique classique, tout à la fois de plaire et d’instruire ? N’est-ce pas là la fonction principale du théâtre ? I. Le théâtre peut et doit divertir Le théâtre est d’abord un divertissement, un loisir. 1. Divertir comme un spectacle Dans

elles-mêmes et pour elles-mêmes. Or, ce plaisir esthétique peut-il être rapporté à la satisfaction d’un intérêt de telle sorte que l’activité des artistes trouverait ainsi une utilité et se présenterait comme nécessaire et indispensable ? Ainsi, une nature morte ne plaît pas parce qu’on désire l’objet représenté mais, indépendamment de tout intérêt vital, elle plaît en raison de la seule représentation de l’objet quel qu’il soit. Le David de Michel-Ange peut plaire malgré sa non-conformité à la réalité