Pisanello

Titre : PORTRAIT DE GINEVRA D'ESTE ; DIT AUSSI PORTRAIT DE MARGUERITE DE GONZAGUE Auteur/exécutant : ANTONIO PUCCIO DI GIOVANNI DI CERRETO, PISANELLO (dit) Période création/exécution : 2e quart 15e siècle Exécution : 1436 vers ou 1438 Matériaux/techniques : Tempera sur bois (planche de peuplier) Mesures : 43 H ; 30 L Sujet représenté : Portrait (Este Ginevra d', femme, à mi-corps, de profil, effet de tissu, broderie, coiffure, Italien) ; Ornementation (branche : genévrier) ; ornementation

qui ont eu ce privilège, il y a eu Jacomart et Leonardo da Besozzo à la cour de Naples et Pisanello, Mantegna et Antico à Mantoue. L'artiste peut se faire loger dans le palais du prince ou même se faire bâtir un palais ( Mantegna et Giulio Romano à Mantoue). En contrepartie, il doit être au service du prince et répondre à toutes ses demandes. Son salaire varie selon les bons vouloir du prince: Pisanello reçoit 400 ducats par an à la cour de Naples tandis que Cosme Tura 60 ducats à la cour de

Le musée du Louvre possède un petit tableau peint par Pisanello vers 1440 représentant le portrait d’une jeune fille sur fond decoré d’un semis de fleurs, de feuillages et de 3 papillons. Un peu plus tard, Albrecht Dürer introduit somptueusement l’ordre des Coléoptères dans la peinture, au tout début du 16e siècle. Pisanello, Portrait d’une jeune dame de la maison d’Este, Huilesur bois, Vers 1436-1438, H x 30 cm Pisanello, Portrait d’une jeune dame de la maison d’Este, Huilesur

Déjeuner Sur L’herbe: Édouard Manet: 1863 Titien, L’amour sacré, l’amour profane 1514 Titien «la Venus d’Urbino» vers 1538 Giorgioni «Venus Venus endormie» vers 1510 Canon de beaute Pisanello 1395 -1455), est un peintre, médailleur et miniaturiste de la Renaissance italienne Pisanello « le Portrait d’une princesse 

des artistes. Les sculpteurs N. et G. Pisano, les peintres du Trecento à Rome et les œuvres du Cimabue et du Giotto ouvrent la voie aux artistes du Quattrocento italien : Donatello, Masaccio, Brunelleschi, della Robbia, della Francesca, Boticelli, Pisanello, Mantegna, Bellini, Giorgione, parmi les plus grands. Les mécènes italiens ont pour noms Les Medicis à Florence, les Sforza à Milan. Bramante, Vinci, Michel-Ange et Raphaël font ainsi entrer la Renaissance vers sa période classique. L'influence flamande

romaine un développement considérable. Au Moyen Âge, le portrait disparaît des monnaies et ne revient qu’à la fin du quinzième siècle, en Italie avec l’apparition des monnaies dites ‘‘teston’’. L’usage de l’effigie en médaille fut inauguré par Pisanello en 1439. Pendant les périodes baroque et rococo, aux XVIIè siècle et XVIIIè siècle, les portraits prirent une importance croissante. Dans une société de plus en plus dominée par la bourgeoisie au milieu de puissantes cours, des représentations d’individus

C’est l’idée de l’histoire républicaine Dans les discours des chanceliers, il est dit que la liberté se décide sur la place Alberti dédie son traité non pas à Côme l’ancien mais au prince de Mantoue, grand admirateur du peintre gothique Pisanello Le concept : c’est la « Cosa mentale » dont parle Alberti, c’est la correspondance ente sa théorie et le contexte historique, c’est à dire : arriver à retrouver dans une peinture ou une œuvre l’idée d’une place républicaine, donc effectivement

des Hommes ont un mouvement du corps léger , en déséquilibre. -Il y a des rivalités entre les villes pour posséder les meilleurs artistes (ex : Florence/ Sienne) -Les artistes sont polyvalents (ils s'exercent dans plusieurs domaines) : -Pisanello : Peintures sur bois , peintures murales , medailles , il travaille le bronze , fait des dessins ... - Léonard De Vinci (1452-1519) : Chercheur (botanique , lois de l'optique et de la lumière ...) Toutes ses peintures sont + peintes sur bois

représentant la logique gothique. Il utilise toute une série de cercles chromatiques. L’effet lyrique est très efficace. Les décors atténuent la rigueur d’Alberti. 2.2. La peinture du gothique international Gentile da Fabriano (1370-1427) Antonio Pisanello (1395-1455) Le gothique international n’est pas un réinvestissement des valeurs gothiques, mais l’aboutissement de cet art qui existe depuis des siècles déjà. Cette tradition domine toujours, elle est partout en Europe, sauf à Florence, qui constitue

sujet qui tolére la présence des fous et des hommes d'armes habillés à la dernière mode. Paolo Caliari est né à Vérone, d'où son nom. Fils d'un tailleur de pierres, il a pour maître Giovanni Caroto, qui l'initie à la tradition de Mantegna et de Pisanello. Sa découverte de L'Assomption du Titien à la cathédrale de la ville est uen révélation. Après avoir travaillé à Trévise et à Mantoue, il débarque à Venise en 1553, où il décore la salle du Conseil des Dix au Palais des Doges. C'est là qu'il peint