Pline l'Ancien

d’inventaire est le MR 346 (n° usuel Ma 922). L’artiste est anonyme, mais nous supposons que cette oeuvre daterais de l’époque de Pline l’Ancien (approximativement du Ier au IIIème siècle). Selon les historiens, le Silène portant Dionysos serait une réplique d’une statue en bronze, aujourd’hui perdue, créée par le sculpteur grec Lysippe au IVème siècle avant Jésus Christ. Pline l’Ancien au Ier siècle après J.C. (Histoire naturelle XXXIV, 64) mentionne à Athènes un satyre de Lysippe mais sans nous le décrire

réels. * Laocoon C'est une statue hellénistique du IIième siècle av. J-C. Elle est faite d'un seul bloc de marbre. Elle a été faite par 3 sculpteur Rhodiens : Athénodoros, Polysoros, Agesandros. Nous connaissons leurs noms grâce à Pline l'Ancien dans son "Histoire Naturelle" en 37 volumes (il est mort le 24/08/79 après J-C sur la plage de Stabies). On a retrouvé cette statue en 1506 et elle a été achetée par le pape Jules II (son tombeau sculpté par Michel-Ange représente Moïse et la

Dès le ier siècle, le philosophe Sénèque constate qu'un objet observé à travers un ballon de verre rempli d'eau apparaît plus gros. À la même époque, Pline l'Ancien décrit l'utilisation d'une émeraude par l'empereur Néron pour suivre les combats de gladiateurs ; il est possible que ce soit là une lentille optique pour corriger la myopie, mais l'usage de l'émeraude peut s'expliquer également par la croyance en la vertu de Sa couleur. Le Moyen Âge voit se développer, dans les monastères en particulier

Dissertation de Philosophie Selon Pline l’Ancien, « la seule certitude, c’est que rien n’est certain». Cette homme, un naturaliste et écrivain latin qui vécu entre l’an 23 et l’an 79, affirmait à cette époque que la certitude n’était pas une certitude en elle-même. C’est pourquoi l’on se demandera s’il faut aspirer à la certitude ou non. Le problème que soulève cette question réside en ceci que si nous aspirons au savoir, alors aspirons-nous à la certitude ? Celle-ci semble être absolument nécessaire

Pline l’Ancien Le quartier de la ville où vivaient ces lavandières s'appelait "sapo" ! Le mot apparaît pour la première fois chez Pline l'Ancien, un auteur latin. Il s'agit, selon lui, d'un produit "inventé par les Gaulois pour teindre les cheveux en roux ; il se prépare avec du suif et des cendres, le meilleur avec de

86-87, fig. 41). Le bilan est donc lacunaire et très contrasté, car, répétons-le, il ne correspond pas à un inventaire mais à une approche thématique particulière de l'espace gaulois. Les premiers inventaires disponibles sont ceux de Pline l'Ancien, au Ier s. ap. J.-C., et de Ptolémée, au IIe s. Il s'agit alors d'un inventaire des cités modelées ou remodelées par le conquérant romain : il serait dangereux d'y reconnaître un simple héritage de la Gaule indépendante. La structuration

arrêté peu après l'incendie, il fait face à Néron : « Nul soldat ne te fut jamais plus fidèles aussi longtemps que tu as mérité d'être aimé. J'ai commencer à te haïr après que tu te sois révélé meurtrier […], cocher, histrion et incendiaire ». Pline l'Ancien, un érudit romain de 41 ans, est encore plus direct : « Néron à brûler Rome », écrit-il. D'autres hommes de lettres réputées comme Don Cassius Tacite ou Suétone renchérissent. Selon ce dernier, Néron n'aimait pas architecture de sa ville-le «

l'antiquité, l'ortie était une plante vénérée. Les grecs, qui en étaient très friands, la consommaient comme légume au printemps ; et le naturaliste romain Pline l'ancien, précise dans sa monumentale Histoire Naturelle que l'ortie était «d'observation religieuse pour beaucoup», et censée protéger des maladies pour l'année. Comme Pline l'ancien avait été officier de cavalerie en Germanie, il faisait certainement allusion aux Germains. Précisons que l'ortie était consacrée à Donar (ou Thunar), le

* Pline l'Ancien, 23-79 romain * Pline le Jeune, 61-114 romain * William Hamilton, 1730-1803 britannique, premier homme à exposer le fonctionnement d’un volcan scientifiquement parlant. * Barthélemy de Saint-Fond, 1741-1819 français, étudie les produits volcaniques * Déodat de Dolomieu, 1750-1801 français, étudie plutôt les minéraux que les volcans. * Jean-Baptiste Bory de Saint-Vincent, 1778-1846 français, élève des Déodat. Premier à faire une description générale du Piton de

fonctions première dans les bâtiments privée, l'héritage de la peinture hellénistique réduit et transformé en ornement. Cette fonction d’agréments des décors s'explique également par la volonté des propriétaire de montrer leurs richesse. Pline l'ancien auteur naturaliste romain contemporain de Pompéi montre bien dans son encyclopédie « histoire naturelle » cette volonté romaine d'affirmer sa classe sociale par le luxe qui émane des décors et des matière précieuse; Il montre en effet dans son