Points Communs Fantastique Réalisme

communauté d’idées, de pensées, une vision de l’humanité et de l’art (en général) s’appuyant sur des traits communs. Le romantisme s'esquisse par la revendication des poètes du « je » et du « moi ». Il se caractérise par une volonté d'explorer toutes les possibilités de l'art afin d'exprimer ses états d'âme : il est ainsi une réaction du sentiment contre la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé

s’exprimer sur les qualités d’une fiction bien tissé reprenant l’importance de la vocation, du thème, de la persuasion, et du style choisie. Il en vient ensuite à la structure du roman et les possibilités qui s’offre à chacun s’agissant du narrateur, des points de vue spatial et temporel, ainsi que son rapport à la réalité. Il finira sur les quelques procédés narratifs à maîtriser, qui sont le saut qualitatif, la boite chinoise, l’élément caché, et les vases communicants. Avec ce roman Mario Vargas Llosa

réclame du fameux clair-obscur du peintre Rembrandt pour créer une ambiance « fantastique ». Victor Hugo, qui fut aussi un génial dessinateur à l'encre, travaille son texte selon cette technique, à la limite de la caricature. Lui aussi souligne la bizarrerie de son héros « admirablement réussi», de cet être mutilé par un rictus permanent. Gwynplaine n'est pas décrit de manière réaliste, il se confond avec son rire au point de devenir «une tête de Méduse gaie», un symbole de la misère humaine non reconnue

F. Mauriac, dans son essai Le Romancier et ses personnages a écrit « Un roman tout a fait pareil à la vie ne serait composé que de points de suspensions », le roman ne serait-il alors qu’ « un miroir que l’on promène le long d’un chemin » comme l’a écrit Stendhal dans le Rouge et le Noir ou a-t-il une dimension plus complexe et qu’en est il alors de ses personnages ? De nombreux auteurs du 19e siècle intègrent leurs personnages dans un registre réaliste de manière a ce qu’ils correspondent à une

terres afin de les fertiliser. Les clichés sont en effet les lieux communs, des représentations toutes faites, qu’on retrouve souvent dans les descriptions du paysage corse et qui ont traversé les décennies jusqu’à nous. Le feu, les rocs taillés à vif créent un climat assez violent, mais de manière indirecte, par le truchement d’indices visuels qu’on repère dans le paysage : « flamme », « cendre », « taillis fourré ». 3. Le réalisme du paysage fonctionne comme un miroir : s’y reflète la personnalité

comme le rêve, le fantastique, le mystère ou encore la mort. Roman romantique : « Ruy Blas » 1838, Victor Hugo. le réalisme : né du besoin de réagir contre le romantisme, il est caractérisé par une attitude de l'artiste face au réel, qui vise à représenter le plus fidèlement possible la réalité telle qu'elle est. Roman réaliste : «  Germinal » 1885, Emile Zola le fantastique : se caractérise par l'intrusion du surnaturel dans le cadre réaliste d'un récit. Roman fantastique : Le vampire de

compte que Baudelaire a surtout un grand amour pour lui même. A part lui l'amoure doit être parfaitement sensuelle et gracieuse. 2) Animaux ? Leur représentation ? Dans l'Albatros, Baudelaire compare le poète à l'albatros, grand oiseau. Le point commun serait « ses ailes de géant l'empêchent de marcher. ». Pour le poète les ailes sont sont esprit, son imagination. Dans le serpent qui danse, Baudelaire compare une femme à un serpent qui danse, et à un bateau. « On dirait un serpent qui danse;

volonté de changer la vision du monde, s'oppose à l'autorité : jeunesse, liberté, insoumission influences du romantisme, réalisme, parnasse, symbolisme → esthétisme et écriture inclassables Verlaine : liaison et scandales (1870) Contexte 1854 – coup d'état de Napoléon → régime totalitaire modernisation (banlieues, banques, transports) 1870 – guerre franco-prussienne → « La Commune » (guerre civile dans Paris, mouvement contre la capitulation de Bonaparte) Étude I) La Tradition A) Une forme classique

sont également tous des personnages fantastiques à cause de leurs caractère exagérés, certains personnages ne sont même pas des hommes mais des créatures imaginaire. De plus, le roman peut même éloigner le lecteur de la réalité, il est vrai qu’un roman doit être captivant pour plaire aux lecteurs. L'auteur se sert donc de son imagination. Il crée des personnages irréalistes. En effet, certains romanciers veulent que leurs personnages soient hors du commun. Effectivement, L'étrange Histoire

sponsorisé par un mouvement, le réalisme magique, beaucoup plus un procédé de narration identifié par les critiques ; comme Franz Roh, introducteur de cet appellation ; pour rendre compte d’une quelconque œuvre d’art où surgissent des éléments irrationnels ou magiques dans un environnement défini comme réaliste, dans Moi, Tituba sorcière… c’est tout le contexte du roman, le cadre historique, géographique, ethnique, social et culturel. On tentera ici de cerner le réalisme magique de Maryse Condé, en