Question rhétorique

voyons si cela continuera" l'emploie de la première personne du pluriel à l'impératif (donc "nous") du verbe voir invite le lecteur à partager, observer Dorante avec elle. Aussi, à la ligne 15 : "Est-ce qu'il ne parlera pas ?" l'emploie de cette question rhétorique relance l'intérêt du lecteur. Par ailleurs, cette scène de comédie commence aux dépends de Dorante. En effet, Araminte souligne ironiquement la gêne du jeune homme qui fait mine de ne pas vouloir s'asseoir, à la ligne 1 : "Vous n'allez pas

 « quant au berger » « ces gens la « • Utilisation d’arguments  œil pour œil dent pour dent -> « sur les animaux se font un chimérique empire » grandiloquence c. Minimisation des torts du lion • « Est-ce un péché ? Non, non » -> question rhétorique • Appuie, comme le roi , sur la gourmandise « croquant » • Retournement : le roi n’a pas offensé, il a rendu honneur ! C. La lâcheté de tous a. « On n’osa trop approfondir, du tigre, ni de l’ours, ni des autres puissances les moins pardonnables

valable pour manger l’agneau – Raison au hasard, finit par « on me l’a dit il faut que je me venge » vers 26= mensonge – Ne laisse pas répondre l’agneau b) argumentation de l’agneau - Répond à chaque fois au loup - Vers 20 question rhétorique = pour pousser le loup à reconnaître qu’il a tort

antithèse de « pure ») « Mon (breuvage) » > Le Loup se crois maître des lieux. L’agressivité du Loup visible dans l’assonance en « i » (« Si hardi » = hyperbole). Pour le Loup l’Agneau est faible et ne peut être courageux. La question du Loup est presque une question rhétorique (ou oratoire). Le futur « tu seras » montre le coté irrévocable de la sentence du Loup. « Châtié » rime avec « Témérité », cette rime donne la vrai cause de la sentence. Au vers 18 le Loup ne fait que répéter sans ajouter

crever toute ensembles » Ce tableau de l’état est négatif car personne ne commande «  le gouvernail qui ballote » b/ Le chef est celui qui doit avoir le courage de prendre une décision pour sauver la société . Ligne 27/30 on trouve une question rhétorique qui insiste sur le fait d’agir vite sans réfléchir et sans avoir de regret , en quelque sorte d’abolir ses sentiments . Le rôle de roi entraine parfois à commettre des choses immonde et voir à devenir un criminel . - Le roi est le seul à

victimes, (8) moralement du monde qui nous entoure. Pour Sophia Siméonidis cette morale s’est illustrée par la mort. Légende : Euphémisme (1), Présentation des idées comme étant rapportées.(2)Utilisation de l’indicatif,(3) antiphrase (4) , question rhétorique(5), vocabulaire péjoratif (6), mise en évidence d’incohérence(7), répétition (8).

Analyse Linéaire I/ Introduction et structure 1) la thèse : registre didactique Question rhétorique "cela est-il bine vrai?" Impératif et futur "nous éviterons" -> volonté de convaincre. 2) volonté de persuader "nous" auteur et lecteur -> volonté de l'auteur de faire passer l'action. Impératif et futur. "qui courent" : les savants vont trop vite. "la plupart des gens" : but de globaliser. 3) critique implicite d'une méthode scientifique Utilisation de "savant" ironique par antiphrase

phrases simples. Il présente vaguement un personnage dont il parlera plus en détails dans la suite du texte. La personne qui lit le roman a connaissance de l'époque où se déroule l'action c'est à dire « En 1815 » (l.1), du personnage dont il est question , « M. Charles-Francois-Bienvenu Myriel », et du lieu, en l’occurrence, « Digne ». Il utilise une analepse, pour expliquer la vie antérieure du personnage, il parle de 1815 au début dans la phrase introductrice et évoque ensuite « La révolution »

classique de comédie Dorine oppose à l’enfermement du perso dans son rôle déroutant = > Dorine brille par son ironie mal perçu par Tartuffe = > effet comique ; fausse naïveté v.860 Tartuffe devient ridicule ironie railleur v.863-866 _ Question rhétorique v.863-864 v865 : tournure négative + interrogative : mise en évidence « naïveté » de Dorine contraste avec flamme perverse de Tartuffe Dorine en profite pour dénigrer Tartuffe en le réduisant à son épiderme : au contraire = > Tartuffe

s’associent aux différences sociales. Le pluriel « séducteurs » vient augmenter l’étendue des périls qui guettent les femmes. D’autre part, le vocabulaire militaire : « assiège » ; « poignarde », renforce la notion de danger. En dernier ressort, la question rhétorique : « que peut opposer une enfant à tant d’ennemis rassemblés ? » offre l’image de la victime offerte comme le suggère le terme « enfant ». D’autre part, on remarque l’opposition entre le singulier et le pluriel « une enfant » ; « tant d’ennemis